Certes l’Algérie dispose de réserves de changes considérables, près de 200 milliards de dollars, et c’est elle qui aujourd’hui prête des capitaux au FMI. Mais, selon l’institution de Washington, cette situation confortable ne doit pas masquer une réalité moins brillante car, pour assurer son niveau élevé de dépenses, le pays a impérativement besoin d’un baril de pétrole à 121 dollars.
Le FMI appelle donc l'Algérie à tout mettre en œuvre pour transformer cette conjoncture exceptionnelle en une prospérité durable, à se libérer de son addiction aux recettes pétrolières (les hydrocarbures ont représenté 97,05% du volume global des exportations durant les 11 premiers mois de 2012) et à développer sans délai d’autres secteurs économiques pourvoyeurs de devises.
La recommandation n’est pas nouvelle, mais elle prend cette fois ci un caractère d’urgence car, ces dernières années, l’Algérie a augmenté ses importations et ses dépenses sociales dans des proportions vertigineuses. La situation pourrait devenir rapidement explosive si demain le cours du baril
de pétrole venait à flancher. Or l’hypothèse est tout à fait plausible dans le contexte économique mondial actuel
ecofin
Le FMI appelle donc l'Algérie à tout mettre en œuvre pour transformer cette conjoncture exceptionnelle en une prospérité durable, à se libérer de son addiction aux recettes pétrolières (les hydrocarbures ont représenté 97,05% du volume global des exportations durant les 11 premiers mois de 2012) et à développer sans délai d’autres secteurs économiques pourvoyeurs de devises.
La recommandation n’est pas nouvelle, mais elle prend cette fois ci un caractère d’urgence car, ces dernières années, l’Algérie a augmenté ses importations et ses dépenses sociales dans des proportions vertigineuses. La situation pourrait devenir rapidement explosive si demain le cours du baril
de pétrole venait à flancher. Or l’hypothèse est tout à fait plausible dans le contexte économique mondial actuel
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