Dans l'état actuel de l'Irak, l'ouverture du secteur pétrolier aux investisseurs étrangers et privés me fait plutôt peur car cela me donne le sentiment de voir brader aux rapaces ce secteur et que l'investissemnt ne sera pas si bénéfique et rentable que ça au pays qui est toujours en guerre et en pleine instabilité.
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Le secteur pétrolier irakien, à l’exception de la prospection et de l’extraction, sera bientôt ouvert aux investisseurs privés et étrangers, a affirmé hier devant le Parlement irakien le ministre du Pétrole, Hussein Chahristani. «La loi permettra au secteur privé mais aussi aux étrangers d’investir dans tous les domaines du secteur pétrolier, à l’exception de la prospection et de l’extraction qui seront réservées à l’Etat irakien», a révélé le ministre en évoquant la nouvelle loi sur les investissements, actuellement en discussion au Parlement.
Le raffinage et la distribution, deux des gros points faibles de l’industrie en Irak, ainsi que la pétrochimie seront donc ouverts aux investisseurs étrangers. Il a précisé qu’une nouvelle loi devait également permettre aux étrangers de pouvoir importer des produits finis et d’ouvrir et de gérer des stations d’essence en Irak.
Le ministre qui revient d’un voyage aux Etats-Unis a d’ailleurs confié que les compagnies étrangères avaient montré «un sérieux intérêt» pour le secteur en Irak, se montrant désireuses «d’aider les compagnies pétrolières irakiennes mais aussi de travailler seules» dans le pays.
L’Irak est considéré comme le pays qui dispose de la deuxième plus grande réserve pétrolière de la planète. Il produit un peu plus de 2 millions de pétrole brut par jour, mais paradoxalement, l’essence se fait rare dans le pays.
Par le jeune indépendant
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Le secteur pétrolier irakien, à l’exception de la prospection et de l’extraction, sera bientôt ouvert aux investisseurs privés et étrangers, a affirmé hier devant le Parlement irakien le ministre du Pétrole, Hussein Chahristani. «La loi permettra au secteur privé mais aussi aux étrangers d’investir dans tous les domaines du secteur pétrolier, à l’exception de la prospection et de l’extraction qui seront réservées à l’Etat irakien», a révélé le ministre en évoquant la nouvelle loi sur les investissements, actuellement en discussion au Parlement.
Le raffinage et la distribution, deux des gros points faibles de l’industrie en Irak, ainsi que la pétrochimie seront donc ouverts aux investisseurs étrangers. Il a précisé qu’une nouvelle loi devait également permettre aux étrangers de pouvoir importer des produits finis et d’ouvrir et de gérer des stations d’essence en Irak.
Le ministre qui revient d’un voyage aux Etats-Unis a d’ailleurs confié que les compagnies étrangères avaient montré «un sérieux intérêt» pour le secteur en Irak, se montrant désireuses «d’aider les compagnies pétrolières irakiennes mais aussi de travailler seules» dans le pays.
L’Irak est considéré comme le pays qui dispose de la deuxième plus grande réserve pétrolière de la planète. Il produit un peu plus de 2 millions de pétrole brut par jour, mais paradoxalement, l’essence se fait rare dans le pays.
Par le jeune indépendant
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