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La guerre contre l'avenir et l'avancée de la planète que mène le pays terroriste d'Israel est sans issue .
Il faut que ses dirigeant sachent que les atrocités contre l'humanité qu'ils opèrent chaque jours et ceci avec l'autorisation unique des Etats Unis est sans issue .
Ils faut qu'ils sachent que c'est toujours l'humain qui a le dernier mot .
Ils faut qu'ils sachent que la communauté internationale , pour l'instant impuissante , observe et retiens .
Ils faut qu'ils sachent que les Libanais et leurs enfants qui paient le prix de leur folie sanguinaire sont des martyrs de l'humanité .
Le mouvement de résistance qui va se structurer ne se fera pas sur votre terrain qui n'est que de sang et de haine .
Au contraire ..
Vivre et surtout vous être indifferent sera notre combat .
La planète n'a pas besoin de vous pour avancer .
Je sais , c'est de ceci que vous rager .
L'humanité avance , car elle est partout .
L'Etat d'Israel a enfanté un veritable monstre
Il faut que ses dirigeant sachent que les atrocités contre l'humanité qu'ils opèrent chaque jours et ceci avec l'autorisation unique des Etats Unis est sans issue .
Ils faut qu'ils sachent que c'est toujours l'humain qui a le dernier mot .
Ils faut qu'ils sachent que la communauté internationale , pour l'instant impuissante , observe et retiens .
Ils faut qu'ils sachent que les Libanais et leurs enfants qui paient le prix de leur folie sanguinaire sont des martyrs de l'humanité .
Le mouvement de résistance qui va se structurer ne se fera pas sur votre terrain qui n'est que de sang et de haine .
Au contraire ..
Vivre et surtout vous être indifferent sera notre combat .
La planète n'a pas besoin de vous pour avancer .
Je sais , c'est de ceci que vous rager .
L'humanité avance , car elle est partout .
L'Etat d'Israel a enfanté un veritable monstre
Conformément à la décision du conseil de la confédération des syndicats arabes
L’UGTA organise un rassemblement aujourd’hui
à la maison du Peuple
Mercredi 2 Août 2006
Par Faouzia Ababsa
L’Union générale des travailleurs algériens organise ce matin à 10h00 un rassemblement à la maison du Peuple. Cinq minutes de silence seront observées en solidarité avec le peuple libanais. La même action sera observée par l’ensemble des syndicats arabes, membres de la Confédération des syndicats arabes (CISA), qui ont pris part à son conseil tenu il y a quelques jours à Damas. Un conseil réuni grâce à la prise de conscience immédiate du secrétaire général de cette confédération, l’Algérien Hassan Djemmam, qui s’est démené pour faire en sorte que les syndicats membres de la CISA y prennent part.
Durant ce conclave, la CISA a pris un certain nombre de décisions. Outre l’observation de cinq minutes de silence, le même jour à la même heure dans plusieurs pays arabes, il a été décidé de tenir, dans le cas où la proposition serait prise en considération, une conférence internationale à laquelle prendraient part la Confédération internationale des syndicats libres (CISL) qui vient tout juste de condamner (hier) le massacre de Qana, la CISA et la Confédération mondial du travail (CMT). Cette conférence aura pour intitulé «Pour une paix juste et durable au Moyen-Orient». Uns délégation rendra visite au syndicat libanais à Beyrouth. Elle sera accompagnée par la CISL et la CMT.
Le conseil de la CISA a saisi la CISL et la CMT pour qu’elles interpellent le syndicat israélien et lui demander de ne pas se cacher derrière l’argument selon lequel il s’agirait d’une organisation terroriste. Tout comme elle a dénoncé la nomination de Amir Perez, secrétaire général du syndicat israélien, au ministère de la Défense. Une nomination sans précédent qui ouvre la voie à la constitution de syndicats tueurs. La confédération des syndicats arabes a également saisi l’ONU et la Ligue arabe pour leur signifier sa colère quant à leur timidité, voire leur complicité dans le massacre du peuple libanais. Lequel massacre a mis à nu l’inefficacité notamment par rapport aux violations des conventions internationales et des droits humains. «Son silence est complice», avons-nous estimé à la CISA nous a confié hier Abdelmadjid Sidi Saïd dont l’organisation qu’il dirige est membre de la CISA.
Un Abdelmadjid Sidi Saïd qui est rentré au pays complètement retourné par ce qu’il a vu sur place, quand bien même il n’aurait pas franchi les frontières libanaises : «Nous avons constitué un convoi de quatre camions contenant des médicaments, de la nourriture et des vêtements, le 27 juillet. Nous sommes arrivés aux frontières, au village Masanaaria. Le convoi était suivi par une dizaine de voitures. Mais nous n’avons pas pu accéder au-delà en ce sens que l’aviation israélienne bombardait tout ce qui bougeait.» Le secrétaire général de l’UGTA était outré par la catastrophe de l’agression sioniste. «Ils ont tout détruit. Toutes les infrastructures économiques. Leur seule volonté est de mettre à genou le Liban. Il ne lui restera plus rien. C’est la mort programmée du Liban.»Et Abdelmadjid Sidi Saïd d’ajouter : «Nous avons remis les dons au syndicat libanais. Dix minutes après notre départ de Masanaaria, un déferlement de bombes s’est abattu sur le village et le convoi de la Croix-Rouge internationale a été totalement détruit.» Autant dire que la délégation de la CISA l’a échappé belle.
Pourtant, le secrétaire général de l’UGTA est rentré au pays avec une petite consolation. Les trois organisations syndicales libanaises ont décidé de s’unir pour former la Confédération des travailleurs libanais, dans laquelle toutes les confessions sont présentes. M. Sidi Saïd nous indiquera que même les syndicats libanais vivent dans la clandestinité. Ils ne restent pas plus de 24 heures dans le même endroit car ils sont ciblés par l’armée israélienne.
L’autre consolation consiste dans le fait que c’est la première fois que la CISA a réagi aussi rapidement par rapport à un conflit. Ce qu’elle n’a pas fait pour l’Irak. Cette même CISA, qui a exigé à l’issue de son conseil l’arrêt immédiat et inconditionnel de l’agression et un cessez-le feu. Car cela ouvre une brèche pour l’attaque d’autres pays qui ne se soumettraient pas au diktat des Etats-Unis. C’est donc pour dénoncer la guerre et l’oppression que le rassemblement d’aujourd’hui revêt une importance pour les travailleurs arabes, mais aussi ceux du monde entier.
F. A.
L’UGTA organise un rassemblement aujourd’hui
à la maison du Peuple
Mercredi 2 Août 2006
Par Faouzia Ababsa
L’Union générale des travailleurs algériens organise ce matin à 10h00 un rassemblement à la maison du Peuple. Cinq minutes de silence seront observées en solidarité avec le peuple libanais. La même action sera observée par l’ensemble des syndicats arabes, membres de la Confédération des syndicats arabes (CISA), qui ont pris part à son conseil tenu il y a quelques jours à Damas. Un conseil réuni grâce à la prise de conscience immédiate du secrétaire général de cette confédération, l’Algérien Hassan Djemmam, qui s’est démené pour faire en sorte que les syndicats membres de la CISA y prennent part.
Durant ce conclave, la CISA a pris un certain nombre de décisions. Outre l’observation de cinq minutes de silence, le même jour à la même heure dans plusieurs pays arabes, il a été décidé de tenir, dans le cas où la proposition serait prise en considération, une conférence internationale à laquelle prendraient part la Confédération internationale des syndicats libres (CISL) qui vient tout juste de condamner (hier) le massacre de Qana, la CISA et la Confédération mondial du travail (CMT). Cette conférence aura pour intitulé «Pour une paix juste et durable au Moyen-Orient». Uns délégation rendra visite au syndicat libanais à Beyrouth. Elle sera accompagnée par la CISL et la CMT.
Le conseil de la CISA a saisi la CISL et la CMT pour qu’elles interpellent le syndicat israélien et lui demander de ne pas se cacher derrière l’argument selon lequel il s’agirait d’une organisation terroriste. Tout comme elle a dénoncé la nomination de Amir Perez, secrétaire général du syndicat israélien, au ministère de la Défense. Une nomination sans précédent qui ouvre la voie à la constitution de syndicats tueurs. La confédération des syndicats arabes a également saisi l’ONU et la Ligue arabe pour leur signifier sa colère quant à leur timidité, voire leur complicité dans le massacre du peuple libanais. Lequel massacre a mis à nu l’inefficacité notamment par rapport aux violations des conventions internationales et des droits humains. «Son silence est complice», avons-nous estimé à la CISA nous a confié hier Abdelmadjid Sidi Saïd dont l’organisation qu’il dirige est membre de la CISA.
Un Abdelmadjid Sidi Saïd qui est rentré au pays complètement retourné par ce qu’il a vu sur place, quand bien même il n’aurait pas franchi les frontières libanaises : «Nous avons constitué un convoi de quatre camions contenant des médicaments, de la nourriture et des vêtements, le 27 juillet. Nous sommes arrivés aux frontières, au village Masanaaria. Le convoi était suivi par une dizaine de voitures. Mais nous n’avons pas pu accéder au-delà en ce sens que l’aviation israélienne bombardait tout ce qui bougeait.» Le secrétaire général de l’UGTA était outré par la catastrophe de l’agression sioniste. «Ils ont tout détruit. Toutes les infrastructures économiques. Leur seule volonté est de mettre à genou le Liban. Il ne lui restera plus rien. C’est la mort programmée du Liban.»Et Abdelmadjid Sidi Saïd d’ajouter : «Nous avons remis les dons au syndicat libanais. Dix minutes après notre départ de Masanaaria, un déferlement de bombes s’est abattu sur le village et le convoi de la Croix-Rouge internationale a été totalement détruit.» Autant dire que la délégation de la CISA l’a échappé belle.
Pourtant, le secrétaire général de l’UGTA est rentré au pays avec une petite consolation. Les trois organisations syndicales libanaises ont décidé de s’unir pour former la Confédération des travailleurs libanais, dans laquelle toutes les confessions sont présentes. M. Sidi Saïd nous indiquera que même les syndicats libanais vivent dans la clandestinité. Ils ne restent pas plus de 24 heures dans le même endroit car ils sont ciblés par l’armée israélienne.
L’autre consolation consiste dans le fait que c’est la première fois que la CISA a réagi aussi rapidement par rapport à un conflit. Ce qu’elle n’a pas fait pour l’Irak. Cette même CISA, qui a exigé à l’issue de son conseil l’arrêt immédiat et inconditionnel de l’agression et un cessez-le feu. Car cela ouvre une brèche pour l’attaque d’autres pays qui ne se soumettraient pas au diktat des Etats-Unis. C’est donc pour dénoncer la guerre et l’oppression que le rassemblement d’aujourd’hui revêt une importance pour les travailleurs arabes, mais aussi ceux du monde entier.
F. A.