L’année 2012 aura été marquée par la recrudescence de toutes les formes de criminalité, mais surtout le trafic de drogue, qui mène à la déchéance de tout un pan de la société.
Havre de paix des décennies durant, la région des hautes plaines sétifiennes a été transformée par les narcotrafiquants et leurs acolytes de la filière du blanchiment d’argent en une plaque tournante de la contrefaçon, de la drogue et des stupéfiants, les appendices du grand banditisme qui vient de dépasser les lignes rouges. Après le coup de filet des gendarmes de Bir Hadada et Aïn Azel ayant mis un terme à un dangereux gang en possession de 500 000 comprimés de psychotropes et 12 quintaux de kif traité, une prise jamais enregistrée dans une région où il faisait bon de vivre, les policiers d’Amoucha ont, le week-end dernier, démasqué un autre réseau de narcotrafiquants, détenant, aux dernières nouvelles, plus de 400 000 comprimés (Artane), deux véhicules et 4 millions de dinars, la recette des ventes du produit devant empoisonner les plus vulnérables d’une société ne faisant rien pour contrecarrer ces Machiavels, obnubilés par le gain facile et rapide.
L’implication d’un pharmacien qui met de l’opprobre sur une noble profession, accentue les craintes. Les pratiques de ces gens n’ayant ni foi ni loi, interpellent les consciences pour barrer la route à des criminels d’un autre genre, sachant que la santé et le bien-être de leurs concitoyens ne pèsent pas un sou devant la voracité criminelle de ces prédateurs, acolytes des géniteurs de la tragédie nationale. Les dernières prises des forces de sécurité est de loin supérieure aux 23 000 comprimés de psychotropes saisis à travers les quatre coins des Hauts-Plateaux, tout au long de l’année en cours.
Ayant dernièrement mis la main sur 7,5 millions de pétards, un véritable arsenal de guerre, les douaniers qui ne restent pas en rade, démontrent que les barons de l’informel et du prohibé font bon ménage et qu’ils sont du même acabit. La saisie de plus de 240 quintaux de tabac à chiquer frelaté est l’autre fait saillant de 2012 marqué par la recrudescence des atteintes à l’économie nationale et à la santé du citoyen, devant plus que jamais s’impliquer dans la guerre que mène les forces de sécurité contre ce cartel qui veut transformer la région des Hauts-Plateaux en Medellin.
Havre de paix des décennies durant, la région des hautes plaines sétifiennes a été transformée par les narcotrafiquants et leurs acolytes de la filière du blanchiment d’argent en une plaque tournante de la contrefaçon, de la drogue et des stupéfiants, les appendices du grand banditisme qui vient de dépasser les lignes rouges. Après le coup de filet des gendarmes de Bir Hadada et Aïn Azel ayant mis un terme à un dangereux gang en possession de 500 000 comprimés de psychotropes et 12 quintaux de kif traité, une prise jamais enregistrée dans une région où il faisait bon de vivre, les policiers d’Amoucha ont, le week-end dernier, démasqué un autre réseau de narcotrafiquants, détenant, aux dernières nouvelles, plus de 400 000 comprimés (Artane), deux véhicules et 4 millions de dinars, la recette des ventes du produit devant empoisonner les plus vulnérables d’une société ne faisant rien pour contrecarrer ces Machiavels, obnubilés par le gain facile et rapide.
L’implication d’un pharmacien qui met de l’opprobre sur une noble profession, accentue les craintes. Les pratiques de ces gens n’ayant ni foi ni loi, interpellent les consciences pour barrer la route à des criminels d’un autre genre, sachant que la santé et le bien-être de leurs concitoyens ne pèsent pas un sou devant la voracité criminelle de ces prédateurs, acolytes des géniteurs de la tragédie nationale. Les dernières prises des forces de sécurité est de loin supérieure aux 23 000 comprimés de psychotropes saisis à travers les quatre coins des Hauts-Plateaux, tout au long de l’année en cours.
Ayant dernièrement mis la main sur 7,5 millions de pétards, un véritable arsenal de guerre, les douaniers qui ne restent pas en rade, démontrent que les barons de l’informel et du prohibé font bon ménage et qu’ils sont du même acabit. La saisie de plus de 240 quintaux de tabac à chiquer frelaté est l’autre fait saillant de 2012 marqué par la recrudescence des atteintes à l’économie nationale et à la santé du citoyen, devant plus que jamais s’impliquer dans la guerre que mène les forces de sécurité contre ce cartel qui veut transformer la région des Hauts-Plateaux en Medellin.
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