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Plus d’un mois après le scrutin du 29 novembre, le conflit qui oppose l’ex-président de l’APC Sadak Akrour (PST) aux élus des autres formations politiques, à savoir le FFS, FLN et le RCD, n’est toujours pas terminé. Et pour cause : le président sortant ne compte pas céder les clés de la commune au nouveau premier magistrat de la municipalité choisi le mois dernier par les élus de ces trois formations politiques.
Un choix qui s’est fait au siège de la wilaya de Béjaïa, et ce, après que des citoyens aient empêché la tenue de l’assemblée d’installation au siège de l’APC.
En effet, les partisans de Sadek Akrour continuent toujours d’occuper le siège de l’APC, empêchant ainsi le nouvel exécutif communal de prendre ses fonctions. Ils estiment qu’avec six sièges, la tête de liste du Parti socialiste des travailleurs PST doit revenir impérativement au P-APC de la commune de Barbacha. Pour eux, l’alliance FFS-RCD-FLN est contre nature et s’inscrit contre la volonté de la population locale que le PST appelle à se rassembler aujourd’hui devant le siège de la wilaya pour contester cette alliance.
«La lutte pour faire respecter le choix électoral face à la coalition des élus (RCD, FFS, FLN) soutenue par les autorités locales (wali, chef de daïra) constitue les véritables raisons de cette mobilisation, déjà expérimentée par les élus du PST durant le mandat précédent», lit-on dans une déclaration du parti rendue publique jeudi soir.
Le PST affiche son soutien à ceux qui proposent la dissolution du conseil communal de l’APC «en application de l’article 46 et suivants du code communal».
«Nous appelons toutes celles et tous ceux qui croient en la légitimité populaire à se joindre au rassemblement prévu le samedi 5 janvier 2013 à partir de 11h devant le siège de la wilaya», écrit encore le PST dans son communiqué.
reporters.dz
Un choix qui s’est fait au siège de la wilaya de Béjaïa, et ce, après que des citoyens aient empêché la tenue de l’assemblée d’installation au siège de l’APC.
En effet, les partisans de Sadek Akrour continuent toujours d’occuper le siège de l’APC, empêchant ainsi le nouvel exécutif communal de prendre ses fonctions. Ils estiment qu’avec six sièges, la tête de liste du Parti socialiste des travailleurs PST doit revenir impérativement au P-APC de la commune de Barbacha. Pour eux, l’alliance FFS-RCD-FLN est contre nature et s’inscrit contre la volonté de la population locale que le PST appelle à se rassembler aujourd’hui devant le siège de la wilaya pour contester cette alliance.
«La lutte pour faire respecter le choix électoral face à la coalition des élus (RCD, FFS, FLN) soutenue par les autorités locales (wali, chef de daïra) constitue les véritables raisons de cette mobilisation, déjà expérimentée par les élus du PST durant le mandat précédent», lit-on dans une déclaration du parti rendue publique jeudi soir.
Le PST affiche son soutien à ceux qui proposent la dissolution du conseil communal de l’APC «en application de l’article 46 et suivants du code communal».
«Nous appelons toutes celles et tous ceux qui croient en la légitimité populaire à se joindre au rassemblement prévu le samedi 5 janvier 2013 à partir de 11h devant le siège de la wilaya», écrit encore le PST dans son communiqué.
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