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Asma Benkada, une députée à la chambre basse qui arrive tout droit de Qatar. Cette dame a fait couler beaucoup d’encre depuis l’annonce de sa candidature aux législatifs sous la casquette du FLN qu’elle a rejoint peu de temps avant les élections sous des prétextes dérisoires. Comme arguments pour son choix partisan, elle n’a rien trouvé de mieux que d’affirmer être une enfant de l’indépendance qui rime selon elle avec FLN ou d’affirmer être issue d’une famille combattante. Elle n’a jamais fait de la politique ni n’a milité au sein d’un parti politique ou au sein d’une organisation de la société civile et hop, en quelques semaines, elle est propulsée sur le devant de la scène pour jouer un rôle important. Sans coup férir, elle devient députée avec à la clé un salaire confortable de 30 millions par mois.
Le seul bagage « politique » rendu public de madame Benkada est sa répudiation par son ex-mari, le célèbre prédicateur islamiste Youcef El Kardaoui.
Dernièrement, en dépit de son image peu reluisante dans l’opinion publique et en dépit de et ses réflexions risibles et sa dialectique primaire, madame Benkada prend du galon au sein même du parlement. Ses promoteurs l’ont mise à la tête de la commission parlementaire chargée des affaires religieuses et de l’éducation ! Ils ont probablement cru que cette charge lui sied en raison de sa formation universitaire en sciences islamiques, de son voile et de l’image «pieuse» qu’elle inspire avec son statut d’ex-épouse d’un célèbre prédicateur.
L’ascension fulgurante d’Asma Benkada est visiblement intrigante.
Des sources ont révélé à certains journaux que la candidature de l’ex-épouse de Kardaoui fut décidée suite à l’intercession de madame Mozah, l’épouse de l’Émir du Qatar, auprès du président de la République Abdelaziz Bouteflika.
La première dame du Qatar aurait voulu par ce geste charitable éloigner du Qatar madame Benkada et la calmer avec un poste bien rétribué. Avec ses aménités compensatrices, elle voulut surtout la dissuader de faire des scandales et d’étaler ses rancunes contre le cheikh Kardaoui sur lequel l’émirat s’appuie pour entretenir sa légitimité et gagner la sympathie du monde musulman..............
Source : El Ergechergui !!
Le seul bagage « politique » rendu public de madame Benkada est sa répudiation par son ex-mari, le célèbre prédicateur islamiste Youcef El Kardaoui.
Dernièrement, en dépit de son image peu reluisante dans l’opinion publique et en dépit de et ses réflexions risibles et sa dialectique primaire, madame Benkada prend du galon au sein même du parlement. Ses promoteurs l’ont mise à la tête de la commission parlementaire chargée des affaires religieuses et de l’éducation ! Ils ont probablement cru que cette charge lui sied en raison de sa formation universitaire en sciences islamiques, de son voile et de l’image «pieuse» qu’elle inspire avec son statut d’ex-épouse d’un célèbre prédicateur.
L’ascension fulgurante d’Asma Benkada est visiblement intrigante.
Des sources ont révélé à certains journaux que la candidature de l’ex-épouse de Kardaoui fut décidée suite à l’intercession de madame Mozah, l’épouse de l’Émir du Qatar, auprès du président de la République Abdelaziz Bouteflika.
La première dame du Qatar aurait voulu par ce geste charitable éloigner du Qatar madame Benkada et la calmer avec un poste bien rétribué. Avec ses aménités compensatrices, elle voulut surtout la dissuader de faire des scandales et d’étaler ses rancunes contre le cheikh Kardaoui sur lequel l’émirat s’appuie pour entretenir sa légitimité et gagner la sympathie du monde musulman..............
Source : El Ergechergui !!
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