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bien entendu, les intoxications alimentaires ne sont pas l'apanage de l'algérie et les conseils donnés sont valables pour toute la planète ce sont juste des rappels d'hygiènes et de bon sens.
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Les risques d’intoxications alimentaires existent tout au long de l’année. Mais durant la période estivale, elles deviennent plus importantes. L’augmentation de ces risques est due, aux chaleurs qui favorisent le développement des microbes, à la consommation d’aliments non contrôlés par les estivants et aux repas collectifs que les personnes prennent lors des fêtes( mariages, etc.)
Pour illustrer ce sujet sensible, nous nous sommes rapprochés du docteur Oulmane Djamel Eddine, président de l’association " Primage " qui nous a expliqué que les intoxications représentent un problème crucial de santé en Algérie. Les effets des intoxications ajoutera-t-il sont variables sur l’organisme, selon l’âge et l’état des personnes atteintes. Elles peuvent varier d’une simple douleur à la mort. Selon le docteur, les toxi-infections alimentaires entraînent des manifestations cliniques digestives, dont des douleurs abdominales, diarrhées, vomissements (avec ou sans fièvre). Ayant pour cause l’ingestion d’aliments contaminés par des bactéries ou les toxines de ces dernières. Oulmane a enchaîné que lorsque les bactéries sont présentes en concertation suffisante dans le milieu environnant et qu’elles entrent en contact avec les aliments, le risque d’intoxication alimentaire s’installe.
Par ailleurs, M. Oulmane a précisé que les cause de cette situation se résument dans le manque d’hygiène (corporel, vestimentaire ou matériel de manipulation impropre). A ce propos, il ajoutera qu’il n’y a qu’à voir les vendeurs ambulants de sandwiches et d’aliments préparés. Ces vendeurs appuiera-t-il dont le nombre est très important en été, ne sont contrôlés par personne. Il y a aussi, selon notre interlocuteur, la mauvaise cuisson des aliments et leur mauvaise conservation (restaurants, cantines de colonies de vacances, etc.)
La prévention de ces intoxications explique le président de l’association " Primage " est simple. Elle réside dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité. Ces dernières se résument dans les dix règles d’or de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En l’occurrence, le choix des aliments (choisir des aliments ayant subi un traitement ou un contrôle assurant leur innocuité). La bonne cuisson des aliments. La consommation des aliments immédiatement après leur cuisson. La conservation des aliments cuits. Le bon réchauffement des aliments déjà cuits et conservés. En évitant tout contact entre les aliments cuits et ceux conservés. En se lavant fréquemment les mains. En veillant à ce que tout dans la cuisine soit d’une propreté absolue. En protégeant les aliments des insectes. En utilisant de l’eau potable.
Le docteur Oulmane a insisté sur le fait que ces règles sont à la portée de tout le monde, elles ne nécessitent ni budget faramineux, ni technologie de pointe. Il suffit affirmera-t-il d’avoir un peu de bon sens et d’adopter un comportement à moindre risque pour sa propre santé, celle des autres et de son entourage.
Par la Dépêche de Kabylie
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Les risques d’intoxications alimentaires existent tout au long de l’année. Mais durant la période estivale, elles deviennent plus importantes. L’augmentation de ces risques est due, aux chaleurs qui favorisent le développement des microbes, à la consommation d’aliments non contrôlés par les estivants et aux repas collectifs que les personnes prennent lors des fêtes( mariages, etc.)
Pour illustrer ce sujet sensible, nous nous sommes rapprochés du docteur Oulmane Djamel Eddine, président de l’association " Primage " qui nous a expliqué que les intoxications représentent un problème crucial de santé en Algérie. Les effets des intoxications ajoutera-t-il sont variables sur l’organisme, selon l’âge et l’état des personnes atteintes. Elles peuvent varier d’une simple douleur à la mort. Selon le docteur, les toxi-infections alimentaires entraînent des manifestations cliniques digestives, dont des douleurs abdominales, diarrhées, vomissements (avec ou sans fièvre). Ayant pour cause l’ingestion d’aliments contaminés par des bactéries ou les toxines de ces dernières. Oulmane a enchaîné que lorsque les bactéries sont présentes en concertation suffisante dans le milieu environnant et qu’elles entrent en contact avec les aliments, le risque d’intoxication alimentaire s’installe.
Par ailleurs, M. Oulmane a précisé que les cause de cette situation se résument dans le manque d’hygiène (corporel, vestimentaire ou matériel de manipulation impropre). A ce propos, il ajoutera qu’il n’y a qu’à voir les vendeurs ambulants de sandwiches et d’aliments préparés. Ces vendeurs appuiera-t-il dont le nombre est très important en été, ne sont contrôlés par personne. Il y a aussi, selon notre interlocuteur, la mauvaise cuisson des aliments et leur mauvaise conservation (restaurants, cantines de colonies de vacances, etc.)
La prévention de ces intoxications explique le président de l’association " Primage " est simple. Elle réside dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité. Ces dernières se résument dans les dix règles d’or de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En l’occurrence, le choix des aliments (choisir des aliments ayant subi un traitement ou un contrôle assurant leur innocuité). La bonne cuisson des aliments. La consommation des aliments immédiatement après leur cuisson. La conservation des aliments cuits. Le bon réchauffement des aliments déjà cuits et conservés. En évitant tout contact entre les aliments cuits et ceux conservés. En se lavant fréquemment les mains. En veillant à ce que tout dans la cuisine soit d’une propreté absolue. En protégeant les aliments des insectes. En utilisant de l’eau potable.
Le docteur Oulmane a insisté sur le fait que ces règles sont à la portée de tout le monde, elles ne nécessitent ni budget faramineux, ni technologie de pointe. Il suffit affirmera-t-il d’avoir un peu de bon sens et d’adopter un comportement à moindre risque pour sa propre santé, celle des autres et de son entourage.
Par la Dépêche de Kabylie