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Légumes secs, pâtes, conserves… : Nouvelle hausse des prix annoncée

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  • Légumes secs, pâtes, conserves… : Nouvelle hausse des prix annoncée

    Ayant déjà connu une hausse de 20 % en 2012, les prix des produits alimentaires connaitront pour le 1er semestre 2013, une nouvelle augmentation de l'ordre de 15 à 20 %. Ce sont là, les prévisions de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) élaborées sur la base des informations récoltées auprès des importateurs, distributeurs et producteurs.

    Lors d'une conférence de presse, animée hier, au nouveau siège de l'UGCAA (aile hadj Tahar Boulenouar), les membres de cette organisation professionnelle et syndicale ont indiqué que les produits concernés par cette hausse, sont essentiellement, les légumes secs, les pâtes, les conserves et la matière première importée.

    Le SG de l'UGCAA, Hadj Tahar Boulenouar a affirmé que « du moment que notre pays a un déficit de production, les fournisseurs étrangers continueront à nous presser jusqu'à la limite ». Contredisant les déclarations du ministère de l'agriculture, le porte-parole des commerçants et des artisans affirme que l'Algérie souffre d'un véritable déficit en matière de produits alimentaires. « L'Algérie importe plus de 50% de ses besoins en produits alimentaires ». Et d'ajouter, que notre pays a un déficit de 40 % en viandes rouges, 30 % pour les légumes et fruits, 50 % pour les céréales et 60 % pour le lait ». Le conférencier explique que ces données donnent de l'appétit aux fournisseurs étrangers à spéculer afin de gagner plus d‘argent. Pour Boulenouar « la spéculation sur le marché mondial est plus dangereuse que la spéculation locale ». Il poursuit « seuls les investissements et la production locale peuvent barrer la route à la spéculation » a-t-il expliqué. Les raisons des augmentations continues des prix des produits alimentaires sont selon, le SG de l'UGCAA, liées au déficit en matière de production et d'approvisionnement des marchés locaux, la dévaluation du dinar et la spéculataion au niveau de l'importation. Halte à l'exploitation des enfants dans le commerce de gros et de détail : Les membres de l'UGCAA ont tiré, hier, la sonnette d'alarme sur l'exploitation des enfants âgés 13 et 14 ans parmi eux des fillettes, par certains commerçants dans les marchés, notamment dans les marchés de gros. Pour le SG de l'UGCAA ce phénomène prend de l'ampleur devant l'indifférence totale de toutes les organisations et les institutions censées défendre les droits des enfants et des mineurs. Selon les données fournies par l'Union des commerçants, pas moins de 1000 à 2000 enfants sont exploités dans le commerce de gros « et peut être plus », prévient le conférencier en précisant que ces enfants fragiles sont contraints de charger et décharger la marchandise, parfois à des heures tardives pour 500 à 1000 dinars. Il ajoute, d'autres assurent le gardiennage. Il ajoute que certains commerçants font appel aux enfants abandonnés dans les rues, aux enfants sans parents ainsi que des enfants issus de familles démunies. Il conclut « l'exploitation des enfants dans ce genre d'activités qui demandent une force physique est une insulte à l'humanité et une insulte à un pays comme le nôtre, qui a plus de 210 milliards de dollars de réserves de changes »

    GREVE ENVISAGEE DES MARCHES DE GROS DE LA CAPITALE

    Selon le porte-parole de l'UGCAA, la coordination des marchés de gros et semi-gros des produits alimentaires et cosmétiques de la capitale, menace de recourir à une grève, si la décision interdisant aux poids lourds de circuler en ville n'est pas généralisée ou abrogée pour tout le monde. Autrement dit, cette coordination affiliée à l'UGCAA est contre le fait que la décision du 22 septembre dernier, portant interdiction du poids lourd de circuler au niveau des quartiers résidentiels ne soit pas appliquée aux commerçants de gros de Oued Smar. Ils sont contre « le deux poids et deux mesures », et ils comptent s'organiser et se réunir la semaine prochaine pour envisager un mouvement de protestation.

    Avant cette date, ils sollicitent l'intervention du wali d'Alger, pour que l'application de la loi soit pour l'ensemble des marchés de gros, ou bien son annulation pour l'ensemble des commerçants de gros de la wilaya d'Alger.

    .lequotidien-oran.com

  • #2
    Pourquoi pas !! il vaut mieux qu'ils lâchent une bombe atomique au moins ainsi ils seront sur que personne ne survivra !!

    Commentaire


    • #3
      « L'Algérie importe plus de 50% de ses besoins en produits alimentaires ». Et d'ajouter, que notre pays a un déficit de 40 % en viandes rouges, 30 % pour les légumes et fruits, 50 % pour les céréales et 60 % pour le lait »
      il me semble qu'une équipe de foot qui ne fournit pas de bons résultats son entraineur se retrouve dehors (le cas de Saadane). Pourquoi ce principe n'est pas appliqué en gestion ?
      Déficits sur déficits, il me semble que c'est clair.
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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      • #4
        Pourquoi pas !! il vaut mieux qu'ils lâchent une bombe atomique au moins ainsi ils seront sur que personne ne survivra !!
        là au moins ceux qui y crois en une Algérie, pourront voir le contraire

        ya hrobe ya cha3Be Ahrobe we ma tchoufche morak
        Dernière modification par kunfou31, 06 janvier 2013, 20h15.
        Ce que je sais,c'est qu'un un homme agit toujours par intérêt à lui-même.

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