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Alors que ses ennemis se cachent pour agir, en tuant, pillant, volant et terrorisant des innocents, les terroristes esclaves de l’Occident, le président syrien, dans une veste de belle coupe et sans doute sur mesure, a montré qui était le vrai maître de la Syrie.
«Nous n’avons jamais rejeté une solution politique … mais avec qui devons-nous parler? Avec ceux qui ont une idéologie extrémiste, qui ne comprennent que le langage du terrorisme? »
« Ou devrions-nous négocier avec des marionnettes que l’Occident a apporté? ».
L’ »opposition syrienne » qui n’existe nulle part (Quel est son leader, a demandé Assad ?) rejette la main tendue de Bachar Al-Assad. Ce n’est pas une surprise. Les Etats-Unis disent que son discours est décalé et déconnecté des réalités et lui demandent de…démissionner. La belle blague. Comme si ça ne suffisait pas, toute honte bue, alors que ce journal n’a jamais condamné le terrorisme en Syrie, Libération pour ne pas le nommer, l’un des apôtres du hard discount de la pensée, titre: Al-Assad: Le bourreau s’entête. Très drôle !
Incapable de condamner des terroristes et le terrorisme, ces gens poursuivent dans la même fange, celle de leurs amis terroristes qu’ils persistent à dénommer « rebelles ». Quand ils franchiront les frontières syriennes et pointeront leur nez sur l’Occident alors, ils deviendront des terroristes dans la terminologie médiatico-hypocrite de la presse « mainstream ». Ces gens encouragent les terroristes qui sévissent en toute impunité en Syrie.
allainjules
« Nous négocions avec leurs maîtres, non pas avec des esclaves»
«Nous n’avons jamais rejeté une solution politique … mais avec qui devons-nous parler? Avec ceux qui ont une idéologie extrémiste, qui ne comprennent que le langage du terrorisme? »
« Ou devrions-nous négocier avec des marionnettes que l’Occident a apporté? ».
L’ »opposition syrienne » qui n’existe nulle part (Quel est son leader, a demandé Assad ?) rejette la main tendue de Bachar Al-Assad. Ce n’est pas une surprise. Les Etats-Unis disent que son discours est décalé et déconnecté des réalités et lui demandent de…démissionner. La belle blague. Comme si ça ne suffisait pas, toute honte bue, alors que ce journal n’a jamais condamné le terrorisme en Syrie, Libération pour ne pas le nommer, l’un des apôtres du hard discount de la pensée, titre: Al-Assad: Le bourreau s’entête. Très drôle !
Incapable de condamner des terroristes et le terrorisme, ces gens poursuivent dans la même fange, celle de leurs amis terroristes qu’ils persistent à dénommer « rebelles ». Quand ils franchiront les frontières syriennes et pointeront leur nez sur l’Occident alors, ils deviendront des terroristes dans la terminologie médiatico-hypocrite de la presse « mainstream ». Ces gens encouragent les terroristes qui sévissent en toute impunité en Syrie.
allainjules
« Nous négocions avec leurs maîtres, non pas avec des esclaves»
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