Un nouveau programme nommé "Alban" visant à accroître la production laitière en Algérie a été présenté, lundi 7 janvier, par l’entreprise de nutrition animale MG2MIX, en présence de la ministre française du Commerce extérieur Nicole Bricq. But : augmenter de 50% la production de lait en Algérie.
« Le programme regroupe une association de trente entreprises françaises dont la majorité est bretonne. Il vise à promouvoir la production laitière en Algérie en essayant de trouver des solutions en matière d’élevage. Il y a aussi des formations prévues dans le programmes pour former les éleveurs algériens aux techniques d’élevage », explique à TSA Mickaël Routier, responsable ruminants chez MG2MIX.
Les entreprises françaises travaillent très étroitement avec les entreprises algériennes pour réaliser le programme Alban. « Nous avons suivi et étudié ensemble les vaches afin de mettre en place les apports d’aliments adéquats pour renforcer la production de lait », ajoute M. Routier.
Mickaël Routier avoue être surpris quant à la qualité des vaches algériennes. « Il y a une bonne génétique. D’ailleurs, j’en suis très surpris mais beaucoup de points faibles sont relevés comme la fourniture de fourrages et d’aliments, les hautes températures en été qui réduisent la production du lait. C’est pour cela que nous travaillons sur la santé des vaches afin qu’elles soient plus résistantes à la chaleur en leur donnant les aliments adéquats », explique‑t‑il.
tsa
« Le programme regroupe une association de trente entreprises françaises dont la majorité est bretonne. Il vise à promouvoir la production laitière en Algérie en essayant de trouver des solutions en matière d’élevage. Il y a aussi des formations prévues dans le programmes pour former les éleveurs algériens aux techniques d’élevage », explique à TSA Mickaël Routier, responsable ruminants chez MG2MIX.
Les entreprises françaises travaillent très étroitement avec les entreprises algériennes pour réaliser le programme Alban. « Nous avons suivi et étudié ensemble les vaches afin de mettre en place les apports d’aliments adéquats pour renforcer la production de lait », ajoute M. Routier.
Mickaël Routier avoue être surpris quant à la qualité des vaches algériennes. « Il y a une bonne génétique. D’ailleurs, j’en suis très surpris mais beaucoup de points faibles sont relevés comme la fourniture de fourrages et d’aliments, les hautes températures en été qui réduisent la production du lait. C’est pour cela que nous travaillons sur la santé des vaches afin qu’elles soient plus résistantes à la chaleur en leur donnant les aliments adéquats », explique‑t‑il.
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