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Il fait chaud, les gens confiant ne demande qu’a se rafraîchir….Alors que d'autres profittent de la situation!
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Les produits, qui apparaissent durant la saison estivale, peuvent être de qualité douteuse et mettre en péril la santé des citoyens.
Par précaution, les consommateurs de boissons gazeuses, de jus ou de crèmes glacées doivent se méfier des marques inconnues qui apparaissent sur le marché, notamment durant la saison estivale. Il s’agit dans certains cas de produits nouveaux ou fabriqués dans des régions éloignées et dont le réseau de distribution concerne uniquement une localité bien déterminée. Ils ne sont également pas produits en grandes quantités. Ces produits risquent d’être de qualité douteuse, voire mauvaise.
Le fait de ne pas jouir d’une renommée sur le marché veut dire qu’ils ne sont pas appréciés par la clientèle qui préfère s’abstenir que de mettre en péril sa santé. Par conséquent, il n’existe pas de garantie totale sur le contrôle de ce type de produits. Rien ne prouve, en effet, que la production est contrôlée et que les conditions de fabrication répondent aux normes requises en la matière.
Contrairement aux marques connues, le processus de contrôle n’est pas issu d’une technologie avancée. Celle-ci impose un contrôle automatique tout le long de la chaîne de production. Or, ces usines sont de vieilles unités de production qui ont été récupérées et remises à niveau qui fabriquent des produits qui n’obéissent pas souvent aux dispositions édictées en matière d’hygiène. En comparaison à l’année dernière, les contrôleurs estiment qu’il y a une nette diminution dans ce genre de fraude. On se rappelle de la prolifération de certaines boissons identifiées au niveau régional de marques inconnues, fabriquées dans des endroits inadéquats contenant des ingrédients non conformes. Résultats des courses : de nombreuses marques ont disparu d’elles-mêmes. Certaines sociétés utilisent des édulcorants qui sont des succédanés du sucre. Ceux-ci ont un pouvoir sucrant supérieur à celui du sucre lui-même. En quantité infime, il peut sucrer la boisson d’une manière considérable.
Les usines éloignées source de fraude
Il est plus rentable pour un producteur d’utiliser un édulcorant plutôt que le sucre. Quatre édulcorants sont autorisés actuellement par la réglementation. Le cyclamate de potassium, en revanche, qui était utilisé auparavant, est entièrement banni de la fabrication des boissons compte tenu de son effet cancérigène.
Une autre défaillance : les conditions de conservation des produits de marque connue doivent être respectées par les détaillants. Des bouteilles de limonade, d’eau minérale… sont souvent exposées au soleil par les commerçants. Ce qui provoque une influence négative sur le contenant ou le contenu du produit.
Toutefois, il existe au moins une quinzaine de marques de limonade, de jus et d’eau minérale dont la renommée est établie. Ces produits sont de bonne qualité et répondent aux normes exigées. Les analyses bactériologiques ou physico-chimiques exécutées par les éléments du Centre de contrôle de la qualité (CACQ) révèlent effectivement leur bonne commercialité. Ces producteurs introduisent les nouvelles technologies en matière de contrôle, se dotent d’un plan de management, forment leur personnel et prennent conscience de la nécessité de mettre sur le marché un produit de qualité irréprochable pour affronter une concurrence de plus en plus rude. Ils ont mis en place un système de contrôle et de prévention continu dénommé HACCP permettant d’analyser les risques qui peuvent surgir au cours de la production et d’identifier les points critiques. Ils n’ont pas d’autre choix : soit ils investissent pour la qualité, soit ils disparaissent. Il faut dire que les dispositifs d’aide tels que l’Ansej et l’Andi ont servi de soutien aux producteurs dans cette démarche. Par ailleurs, les autorisations de concession des eaux minérales sont délivrées aujourd’hui par une commission interministérielle. Les eaux minérales commercialisées doivent faire l’objet d’une remise à niveau de la part de cette commission suivant un arrêté qui définit ce qu’est une eau minérale, ou minéralisée en usine ou une eau de source… Une chose est certaine, le producteur, qui ne tient pas compte de cet arrêté, est systématiquement mentionné sur la liste des fraudeurs. Sur un autre registre, le CACQ arrive à maîtriser des techniques à même d’analyser tous les types et les qualités des viandes mises sur le marché. Désormais, si les agents du CACQ effectuent un prélèvement de viande, ils détermineront s’il s’agit d’une viande de bœuf, d’agneau, d’âne…
- Liberté
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Les produits, qui apparaissent durant la saison estivale, peuvent être de qualité douteuse et mettre en péril la santé des citoyens.
Par précaution, les consommateurs de boissons gazeuses, de jus ou de crèmes glacées doivent se méfier des marques inconnues qui apparaissent sur le marché, notamment durant la saison estivale. Il s’agit dans certains cas de produits nouveaux ou fabriqués dans des régions éloignées et dont le réseau de distribution concerne uniquement une localité bien déterminée. Ils ne sont également pas produits en grandes quantités. Ces produits risquent d’être de qualité douteuse, voire mauvaise.
Le fait de ne pas jouir d’une renommée sur le marché veut dire qu’ils ne sont pas appréciés par la clientèle qui préfère s’abstenir que de mettre en péril sa santé. Par conséquent, il n’existe pas de garantie totale sur le contrôle de ce type de produits. Rien ne prouve, en effet, que la production est contrôlée et que les conditions de fabrication répondent aux normes requises en la matière.
Contrairement aux marques connues, le processus de contrôle n’est pas issu d’une technologie avancée. Celle-ci impose un contrôle automatique tout le long de la chaîne de production. Or, ces usines sont de vieilles unités de production qui ont été récupérées et remises à niveau qui fabriquent des produits qui n’obéissent pas souvent aux dispositions édictées en matière d’hygiène. En comparaison à l’année dernière, les contrôleurs estiment qu’il y a une nette diminution dans ce genre de fraude. On se rappelle de la prolifération de certaines boissons identifiées au niveau régional de marques inconnues, fabriquées dans des endroits inadéquats contenant des ingrédients non conformes. Résultats des courses : de nombreuses marques ont disparu d’elles-mêmes. Certaines sociétés utilisent des édulcorants qui sont des succédanés du sucre. Ceux-ci ont un pouvoir sucrant supérieur à celui du sucre lui-même. En quantité infime, il peut sucrer la boisson d’une manière considérable.
Les usines éloignées source de fraude
Il est plus rentable pour un producteur d’utiliser un édulcorant plutôt que le sucre. Quatre édulcorants sont autorisés actuellement par la réglementation. Le cyclamate de potassium, en revanche, qui était utilisé auparavant, est entièrement banni de la fabrication des boissons compte tenu de son effet cancérigène.
Une autre défaillance : les conditions de conservation des produits de marque connue doivent être respectées par les détaillants. Des bouteilles de limonade, d’eau minérale… sont souvent exposées au soleil par les commerçants. Ce qui provoque une influence négative sur le contenant ou le contenu du produit.
Toutefois, il existe au moins une quinzaine de marques de limonade, de jus et d’eau minérale dont la renommée est établie. Ces produits sont de bonne qualité et répondent aux normes exigées. Les analyses bactériologiques ou physico-chimiques exécutées par les éléments du Centre de contrôle de la qualité (CACQ) révèlent effectivement leur bonne commercialité. Ces producteurs introduisent les nouvelles technologies en matière de contrôle, se dotent d’un plan de management, forment leur personnel et prennent conscience de la nécessité de mettre sur le marché un produit de qualité irréprochable pour affronter une concurrence de plus en plus rude. Ils ont mis en place un système de contrôle et de prévention continu dénommé HACCP permettant d’analyser les risques qui peuvent surgir au cours de la production et d’identifier les points critiques. Ils n’ont pas d’autre choix : soit ils investissent pour la qualité, soit ils disparaissent. Il faut dire que les dispositifs d’aide tels que l’Ansej et l’Andi ont servi de soutien aux producteurs dans cette démarche. Par ailleurs, les autorisations de concession des eaux minérales sont délivrées aujourd’hui par une commission interministérielle. Les eaux minérales commercialisées doivent faire l’objet d’une remise à niveau de la part de cette commission suivant un arrêté qui définit ce qu’est une eau minérale, ou minéralisée en usine ou une eau de source… Une chose est certaine, le producteur, qui ne tient pas compte de cet arrêté, est systématiquement mentionné sur la liste des fraudeurs. Sur un autre registre, le CACQ arrive à maîtriser des techniques à même d’analyser tous les types et les qualités des viandes mises sur le marché. Désormais, si les agents du CACQ effectuent un prélèvement de viande, ils détermineront s’il s’agit d’une viande de bœuf, d’agneau, d’âne…
- Liberté