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Ces crises existentielles qui nous attendent…

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    Ces crises existentielles qui nous attendent…

    Au cours de sa vie, un individu va transiter par de nombreuses étapes. Ces moments clés sont importants : ils nous aident à avancer vers notre avenir. Mais parfois, une crise passagère est nécessaire…

    Votre crise d’adolescence, vous vous en souvenez ? Vous étiez alors en rébellion contre le monde entier ! A cette époque, vous aviez des idéaux un peu fous, vous pensiez changer le monde et personne ne pouvait se mettre en travers de votre chemin ! Aujourd’hui, les choses se sont tassées, et vous repensez avec tendresse à votre look gothique et vos envies d’aventures. Vous ne vous êtes pas résigné, non, vous avez évolué. « Ces crises sont nécessaires, elles forgent notre individualité, notre identité d’adulte » explique Vanessa, thérapeute, « On les connecte à des âges, mais elles peuvent survenir à n’importe quel moment de la vie, elles sont liées à notre progression sur l’échelle sociale ou à notre courbe intérieure ».

    La crise de la vingtaine

    Symptômes : Jusque-là vous ne vous posiez pas trop de questions sur l’avenir et d’un coup tout vous fait peur. Vous ne vous sentez plus ni vraiment dans votre vie d’avant, ni vraiment dans votre nouvelle vie. Vous vous demandez qui vous êtes, au fond…

    Pourquoi ? La sortie de l’adolescence et de la post adolescence est une période propice à l’angoisse. Vous êtes confronté à des responsabilités que vous n’aviez pas jusque-là et de nouvelles questions se posent, comme un début de carrière. L’entrée dans l’âge adulte nécessite de faire les bons choix et de se poser les bonnes questions.

    La crise de la trentaine

    Symptômes : Vous commencez à regarder autour de vous et les choix des autres vous font presque douter des vôtres. Avez-vous pris le bon chemin ? Avez-vous vraiment choisi la vie que vous menez ? Toutes sortes d’interrogations existentielles se profilent et vous vous en voulez, car vous avez pourtant tout pour être heureux.

    Pourquoi ? Votre carrière est lancée, vos principaux objectifs atteints et vous avez réalisé quelques uns de vos rêves. Et maintenant ? Les doutes vous envahissent car la pression sociale est là : vos amis se sont mariés, certains ont eu des enfants, les choix de chacun les engagent à présent. En ayant l’impression de subir votre vie, vous n’en tirerez rien de bon. Interrogez-vous plutôt sur vos nouveaux objectifs, et sur la manière dont vous pouvez concilier ce que vous avez construit, et ce qu’il reste à faire.

    La crise de la quarantaine

    Symptômes : Vous vous sentez vieillir. Votre corps change et vous avez du mal à concevoir que désormais vous ne faîtes plus partie des « jeunes ». Stress, dépression, vous avez envie de changements radicaux dans votre vie pour trouver un nouvel élan.

    Pourquoi ? Les études disent que la célèbre crise de la quarantaine apparait surtout dans les sociétés où le « culte de la jeunesse » est trop présent. S’il est nécessaire d’accepter le temps qui passe et les changements qui vont avec, il est aussi important de comprendre que tout ce que vous avez construit n’a pas besoin de passer à la trappe. Valorisez ce que vous avez accompli au lieu de fantasmer ce que vous auriez pu faire de votre vie !

    La crise de la cinquantaine et après

    Symptômes : Des changements physiques pour certains, des difficultés nouvelles pour d’autres. Au fil des années, les âges symboliques se profilent : soixante ans, soixante dix ans… Des questions existentielles se profilent comme la mort ou la perte de ses proches, la diminution de l’autonomie ou la dépendance. Alors on fait des bilans, forcément.

    Pourquoi ? Le principe même de la vie est de ne pas penser à la fin de celle-ci, sans quoi nos esprits seraient plongés dans des marasmes de dépression. Mais l’âge avançant, certaines évidences se dessinent. Il faut savoir aborder avec philosophie et sérénité ces questions pour éviter de broyer du noir. Tant de choses restent à vivre, quelque soit notre âge.


    Yahoo! Pour Elles


    bah pinaise si avec tout ça on finit pas dingo :22::22:
    « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
    Boris Vian

  • #2
    Bjr

    je vois qu'il n'y pas plus de crises au delà de 50 ans ! C'est rassurant de finir sa vie Zen ....
    « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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    • #3
      ana j'aime bien celle de la quarantaine......on peut faire toute les connerie qu'on veut....c'est jamais vraiment notre faute ....
      tu tombe je tombe car mane e mane
      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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      • #4
        Moi je commence à approcher de celle de la trentaine :22::22:

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        • #5
          bonjour

          OOOhhhhhh plus de crises apres les 50 ans !!!!!
          Qui as dit ça ? lol
          C est encore mieux que toutes les autres , on nous pardonne encore + puisque la sénilité nous guette ( sic) , l hyper tension et tout les problémes hormonaux ( excellents arguments ça pour les caprices )
          Je dirai que c est la qu on s apercoit que nous sommes d éternels adolescents , au fond , malgré l aquisition d une certaine forme de sagesse qd arrive cet age .
          Dans un environnement qui ne cesse de s assombrir , heureux les esprits félés , car ils laissent entrer la lumiére ....

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