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Alger, Tripoli et Tunis renforcent la sécurité aux frontières
GHADAMES, Libye, 12 janvier (Reuters) - Les Premiers ministres libyen, algérien et tunisien ont convenu samedi de renforcer la sécurité à leurs frontières communes pour tenter d'endiguer le trafic d'armes et de lutter contre le crime organisé dans la région.
Réunis à Ghadamès, une ville libyenne du désert proche de l'Algérie et de la Tunisie, les trois hommes ont indiqué que des postes de contrôle et des patrouilles seraient mis en place le long des milliers de km de frontière commune entre les trois pays.
Les trois chefs de gouvernement ont également exprimé leur inquiétude au sujet de la crise malienne. La Libye n'a pas de frontière avec le Mali, mais a été touchée par les mouvements d'armes et de combattants provoqués par la guerre dans ce pays.
"Nous voulons adresser le message suivant: nous ne permettrons à personne d'utiliser nos pays à des fins terroristes ou d'exploiter nos frontières pour le commerce des armes, le trafic de drogue ou l'immigration clandestine", a déclaré le Premier ministre libyen Ali Zeidan.
Les trois hommes ont convenu de se rencontrer plusieurs fois par an pour faire le point.
Le mois dernier, la Libye a bouclé ses frontières du désert du Sud avec le Tchad, le Niger, le Soudan et l'Algérie pour tenter d'y rétablir un semblant d'état de droit.
REUTERS FRANCE
GHADAMES, Libye, 12 janvier (Reuters) - Les Premiers ministres libyen, algérien et tunisien ont convenu samedi de renforcer la sécurité à leurs frontières communes pour tenter d'endiguer le trafic d'armes et de lutter contre le crime organisé dans la région.
Réunis à Ghadamès, une ville libyenne du désert proche de l'Algérie et de la Tunisie, les trois hommes ont indiqué que des postes de contrôle et des patrouilles seraient mis en place le long des milliers de km de frontière commune entre les trois pays.
Les trois chefs de gouvernement ont également exprimé leur inquiétude au sujet de la crise malienne. La Libye n'a pas de frontière avec le Mali, mais a été touchée par les mouvements d'armes et de combattants provoqués par la guerre dans ce pays.
"Nous voulons adresser le message suivant: nous ne permettrons à personne d'utiliser nos pays à des fins terroristes ou d'exploiter nos frontières pour le commerce des armes, le trafic de drogue ou l'immigration clandestine", a déclaré le Premier ministre libyen Ali Zeidan.
Les trois hommes ont convenu de se rencontrer plusieurs fois par an pour faire le point.
Le mois dernier, la Libye a bouclé ses frontières du désert du Sud avec le Tchad, le Niger, le Soudan et l'Algérie pour tenter d'y rétablir un semblant d'état de droit.
REUTERS FRANCE