L’hebdomadaire français Point de vue, spécialisé dans la vie des têtes couronnées, a publié cette semaine un dossier sur la fortune des “rois”. “Fortune des rois : secrets, fantasmes et réalités”, tel est l’intitulé du dossier que cette publication a consacré aux nobles fortunés.
Sur une liste de 15 monarques, le souverain marocain, Mohammed VI, est classé 7e, avec une fortune personnelle estimée à 2,5 milliards de dollars.
Or, de toutes les monarchies présentes sur la liste, seul le Swaziland peut être considéré comme moins favorisé économiquement que le Maroc. Le reste de la liste est constitué de pétromonarchies ou de riches États occidentaux. Si le roi le plus riche de la planète est celui de la Thaïlande, Bhumibol Adulyadej, le roi du Maroc, Mohammed VI, est plus riche que l’émir du Qatar, ce qui est tout de même paradoxal.
L’émir du Qatar est assis sur des barils de pétrole alors que son homologue marocain est installé sur des mares de pauvreté et de chômage.
Point de vue rappelle qu’avec l’astronomique somme de 254 520 000 euros touchée chaque année, la monarchie marocaine est celle qui reçoit le plus d’argent public. C’est trop de “générosité”, signale sarcastiquement l’hebdomadaire.
LIBERTE
Sur une liste de 15 monarques, le souverain marocain, Mohammed VI, est classé 7e, avec une fortune personnelle estimée à 2,5 milliards de dollars.
Or, de toutes les monarchies présentes sur la liste, seul le Swaziland peut être considéré comme moins favorisé économiquement que le Maroc. Le reste de la liste est constitué de pétromonarchies ou de riches États occidentaux. Si le roi le plus riche de la planète est celui de la Thaïlande, Bhumibol Adulyadej, le roi du Maroc, Mohammed VI, est plus riche que l’émir du Qatar, ce qui est tout de même paradoxal.
L’émir du Qatar est assis sur des barils de pétrole alors que son homologue marocain est installé sur des mares de pauvreté et de chômage.
Point de vue rappelle qu’avec l’astronomique somme de 254 520 000 euros touchée chaque année, la monarchie marocaine est celle qui reçoit le plus d’argent public. C’est trop de “générosité”, signale sarcastiquement l’hebdomadaire.
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