Actualisé à 19 h, avec des précisions de M. Belani : « Nous avons informé la partie malienne des dispositions prises pour la fermeture de la frontière qui, je le signale, a déjà été sécurisée depuis le déclenchement des dernières opérations au Mali », a‑t‑il expliqué dans un message adressé à TSA.
Actualisé à 18 h, avec la déclaration d’Amar Belani, porte‑parole du ministère des Affaires étrangères, à TSA : « Effectivement, je confirme qu’il a été décidé de procéder à la fermeture de la frontière avec le Mali ».
L’Algérie a fermé ses frontières terrestres avec le Mali où les troupes françaises sont en opération contre les groupes armés, a assuré ce lundi à TSA, Mohamed Toumama, député de Tamanrasset et notable touareg. « J’ai des informations précises en provenance de Tamanrasset m’indiquant que nos frontières avec le Mali sont fermées », a indiqué M. Koumama qui met en garde contre les conséquences néfastes de l’intervention militaire française au Mali sur l’Algérie et la région du Sahel.
« Personne ne peut prévoir quand cette guerre va se terminer. Nous avons déjà des expériences similaires en Afghanistan et en Irak. Dans ces deux pays, les guerres menées par les Occidentaux ne sont pas encore terminées », prévient ce député qui n’écarte pas l’éventualité que « cette opération se termine par l’implantation de bases militaires étrangères à nos frontières sud et l’affaiblissement de l’armée algérienne, la plus puissante de la région ».
« Je garde confiance dans notre armée et notre président de la République qui connaît bien cette région où il a servi pendant la guerre de libération nationale », ajoute‑t‑il.
M. Koumama assure toutefois que l’Algérie sera la grande perdante de l’opération militaire française contre les groupes armés occupant le Nord‑Mali depuis plusieurs mois. « La guerre se déroule à nos frontières et des réfugiés vont affluer chez nous en provenance des régions touchées par la guerre », soutient‑il. Le député de Tamanrasset affirme aussi que le dialogue est la seule solution pacifique pour sauver le Nord‑Mali et la région du Sahel d’une guerre aux conséquences incalculables. « Nous sommes contre le terrorisme et les groupes terroristes, mais dans cette guerre, les mouvements qui ont des revendications légitimes n’y sont pour rien », a‑t‑il conclu.
Actualisé à 18 h, avec la déclaration d’Amar Belani, porte‑parole du ministère des Affaires étrangères, à TSA : « Effectivement, je confirme qu’il a été décidé de procéder à la fermeture de la frontière avec le Mali ».
L’Algérie a fermé ses frontières terrestres avec le Mali où les troupes françaises sont en opération contre les groupes armés, a assuré ce lundi à TSA, Mohamed Toumama, député de Tamanrasset et notable touareg. « J’ai des informations précises en provenance de Tamanrasset m’indiquant que nos frontières avec le Mali sont fermées », a indiqué M. Koumama qui met en garde contre les conséquences néfastes de l’intervention militaire française au Mali sur l’Algérie et la région du Sahel.
« Personne ne peut prévoir quand cette guerre va se terminer. Nous avons déjà des expériences similaires en Afghanistan et en Irak. Dans ces deux pays, les guerres menées par les Occidentaux ne sont pas encore terminées », prévient ce député qui n’écarte pas l’éventualité que « cette opération se termine par l’implantation de bases militaires étrangères à nos frontières sud et l’affaiblissement de l’armée algérienne, la plus puissante de la région ».
« Je garde confiance dans notre armée et notre président de la République qui connaît bien cette région où il a servi pendant la guerre de libération nationale », ajoute‑t‑il.
M. Koumama assure toutefois que l’Algérie sera la grande perdante de l’opération militaire française contre les groupes armés occupant le Nord‑Mali depuis plusieurs mois. « La guerre se déroule à nos frontières et des réfugiés vont affluer chez nous en provenance des régions touchées par la guerre », soutient‑il. Le député de Tamanrasset affirme aussi que le dialogue est la seule solution pacifique pour sauver le Nord‑Mali et la région du Sahel d’une guerre aux conséquences incalculables. « Nous sommes contre le terrorisme et les groupes terroristes, mais dans cette guerre, les mouvements qui ont des revendications légitimes n’y sont pour rien », a‑t‑il conclu.
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