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Parce que ce sont les vacances et que les associations en Algérie travaillent aussi afin d'apporter un peu de bonheur dans la vie des plus démunies, vingt trois enfants, orphelins ou pauvres originaires de Médéa , de Draâ Smar et d'Ouzera vont pouvoir partir en vacances et juste ne penser qu'à s'amuser.
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Vingt-trois enfants, âgés de six à seize ans, orphelins ou démunis, habitant dans les communes de Médéa, Draâ Smar et Ouzera, bénéficient depuis mardi dernier d’une prise en charge totale à Ténès-plage, dans la wilaya de Chlef, dans le cadre d’une colonie de vacances de deux semaines. Une prise en charge assurée totalement par «l’Association arts et métiers» de Médéa, à caractère caritatif, créée et agréée en juin 2004. Une association qui a vu le jour grâce à l’initiative de plusieurs membres d’une même famille.
En effet, outre sa présence durant le mois de carême avec l’organisation de Maïdat Ramadhan au profit de plus de 100 personnes par jour, ainsi que lors des fêtes religieuses (Achoura, Mawled Ennabaoui Echarif, les fêtes de l’Aïd El Fitr et de l’Aïd El Adha) et des journées mondiales des personnes âgées, de l’enfance inadaptée, handicapée ou abandonnée, durant lesquelles cette association caritative organise les visites dans les centres, accueillant ces catégories de personnes, où des repas sont offerts accompagnés de lots d’habillement, cette dernière innove cette année avec l’organisation de sa première colonie de vacances au profit d’enfants orphelins ou démunis des communes de Médéa, de Draâ Smar et d’Ouzera.
Ainsi, du 1er au 14 août courant, ces vingt-trois enfants bénéficient de vacances au bord d’une des plages de la ville côtière de Ténès, dans la wilaya de Chlef. A cet effet, il y a lieu de signaler également le geste humanitaire de l’agence de voyages All-Tours d’Alger, qui a été chargée de l’organisation de cette colonie de vacances par «l’Association arts et métiers» de Médéa, de procéder à une diminution conséquente de 2.000 dinars (de 9.000 à 7.000 dinars) dans le tarif à payer, pour chacun de ces 23 enfants.
Un geste qui est venu s’ajouter à celui de quatre personnes originaires de Médéa, et résidant à l’étranger, qui ont apporté une aide financière assez conséquente qui a permis l’organisation de cette première colonie de vacances. Une expérience appelée à être renouvelée, selon les responsables de cette association caritative.
Pour l’information, «l’Association arts et métiers» de Médéa avait été créée, voilà deux années, avec comme objectif principal l’émancipation de la femme, dans la commune de Médéa, à travers la dispense de cours de couture, de coiffure, d’esthétique, d’informatique, de peinture sur soie... au profit des jeunes filles et des jeunes femmes. Des cours qui sont offerts gratuitement aux plus démunies d’entre elles et avec un paiement de sommes symboliques pour les plus nanties. Quant à l’encadrement nécessaire à la dispense de ces cours, il est pris en charge financièrement par cette association caritative dont les subventions proviennent surtout des membres de la famille fondatrice de cette association, des sommes symboliques payées par les stagiaires, les plus nanties, ainsi que de bienfaiteurs résidant à l’étranger.
Par Le quotidien d'Oran
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Vingt-trois enfants, âgés de six à seize ans, orphelins ou démunis, habitant dans les communes de Médéa, Draâ Smar et Ouzera, bénéficient depuis mardi dernier d’une prise en charge totale à Ténès-plage, dans la wilaya de Chlef, dans le cadre d’une colonie de vacances de deux semaines. Une prise en charge assurée totalement par «l’Association arts et métiers» de Médéa, à caractère caritatif, créée et agréée en juin 2004. Une association qui a vu le jour grâce à l’initiative de plusieurs membres d’une même famille.
En effet, outre sa présence durant le mois de carême avec l’organisation de Maïdat Ramadhan au profit de plus de 100 personnes par jour, ainsi que lors des fêtes religieuses (Achoura, Mawled Ennabaoui Echarif, les fêtes de l’Aïd El Fitr et de l’Aïd El Adha) et des journées mondiales des personnes âgées, de l’enfance inadaptée, handicapée ou abandonnée, durant lesquelles cette association caritative organise les visites dans les centres, accueillant ces catégories de personnes, où des repas sont offerts accompagnés de lots d’habillement, cette dernière innove cette année avec l’organisation de sa première colonie de vacances au profit d’enfants orphelins ou démunis des communes de Médéa, de Draâ Smar et d’Ouzera.
Ainsi, du 1er au 14 août courant, ces vingt-trois enfants bénéficient de vacances au bord d’une des plages de la ville côtière de Ténès, dans la wilaya de Chlef. A cet effet, il y a lieu de signaler également le geste humanitaire de l’agence de voyages All-Tours d’Alger, qui a été chargée de l’organisation de cette colonie de vacances par «l’Association arts et métiers» de Médéa, de procéder à une diminution conséquente de 2.000 dinars (de 9.000 à 7.000 dinars) dans le tarif à payer, pour chacun de ces 23 enfants.
Un geste qui est venu s’ajouter à celui de quatre personnes originaires de Médéa, et résidant à l’étranger, qui ont apporté une aide financière assez conséquente qui a permis l’organisation de cette première colonie de vacances. Une expérience appelée à être renouvelée, selon les responsables de cette association caritative.
Pour l’information, «l’Association arts et métiers» de Médéa avait été créée, voilà deux années, avec comme objectif principal l’émancipation de la femme, dans la commune de Médéa, à travers la dispense de cours de couture, de coiffure, d’esthétique, d’informatique, de peinture sur soie... au profit des jeunes filles et des jeunes femmes. Des cours qui sont offerts gratuitement aux plus démunies d’entre elles et avec un paiement de sommes symboliques pour les plus nanties. Quant à l’encadrement nécessaire à la dispense de ces cours, il est pris en charge financièrement par cette association caritative dont les subventions proviennent surtout des membres de la famille fondatrice de cette association, des sommes symboliques payées par les stagiaires, les plus nanties, ainsi que de bienfaiteurs résidant à l’étranger.
Par Le quotidien d'Oran