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L’Arabie Saoudite exporte un nouveau FIS vers l’Algérie

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  • L’Arabie Saoudite exporte un nouveau FIS vers l’Algérie

    L’Arabie Saoudite exporte un nouveau FIS vers l’Algérie
    ARTICLE | 11. JANVIER 2013

    Abdelfetah Zaraoui Hamadache lors d'une manifestation des islamistes à Ager, en 2010. D. R.

    La stabilité politique retrouvée en Algérie après de longues années de terrorisme islamiste semble déranger les monarchies du Golfe. Le Front de la Sahwa libre, un parti nouvellement créé qui se réclame haut et fort de la mouvance salafiste et qui ambitionne d’occuper la place laissée par le FIS dissous, n’est en réalité que le produit des laboratoires du wahhabisme saoudien. Son fondateur, Abdelfetah Zaraoui Hamadache, ne le cache pas. Dans un long entretien paru dans Algérie News, ce prédicateur confirme les soupçons qui pesaient sur cette formation qui attend son agrément. Abdelfetah Zaraoui Hamadache dit avoir été formé dans les écoles wahhabites en Arabie Saoudite où il précise avoir séjourné trois ans. «Dès mon retour d’Arabie Saoudite où j’ai passé trois ans à m’instruire auprès des grands oulémas, nous avions commencé à travailler au sein des mosquées», déclare-t-il dans cet entretien. L’idée de ce parti lui a été insufflée au cours de sa «formation» avec un engagement ferme de lui apporter tout le soutien nécessaire. Pour lui, le soutien saoudien à son projet politique ne doit pas choquer. Cela est, à ses yeux, tout à fait normal. «Si nous commençons à refuser tout ce qui vient du Golfe, il faut aussi refuser tout ce qui nous vient de l’Occident», rétorque-t-il à une question sur le soutien de l’Arabie Saoudite à la création de ce parti. Abdelfetah Zaraoui Hamadache, qui se dit fier d’être sous l’influence des oulémas d’Arabie Saoudite, estime qu’il n’y a aucune raison pour que son dossier d’agrément soit rejeté.
    «L’agrément, sinon…»
    Mais si cela se produit, le fondateur de ce parti ne se laisserait pas faire. Il dit lutter par des moyens pacifiques, mais il avertit, sur un ton arrogant : «Nous mettons en garde contre une telle décision. Nous réagirons dans le cadre de la loi, d’une manière pacifique.» Abdelfetah Zaraoui Hamadache dit n’avoir pas compris pourquoi on s’interroge sur le financement de son parti. Le plus important pour lui est que son parti respecte «le cadre légal» de collecte d’argent. Tout en reconnaissant qu’au sein de la «famille salafiste» il existe des courants qui sont toujours contre l’action politique, Abdelfetah Zaraoui Hamadache refuse qui lui soit interdit d’investir le champ politique. Pour faire passer «sa politique», ce disciple des Wahhabites indique que sa doctrine est «le salafisme tel que représenté par Abdelhamid Ibn Badis». Il assure que ce parti safaliste est totalement ouvert à toute la mouvance islamiste, dont les anciens du FIS dissous. Cependant, pour obtenir l’agrément, il avoue n’avoir inclus dans le dossier de demande aucun ancien responsable du FIS. Des responsables qui le rejoindront une fois l’agrément en poche, insinue-t-il.
    «Procédez par étapes !»
    «On n’a pas choisi des membres qui faisaient partie de l’ancien parti dissous afin que notre dossier ne soit pas rejeté», dit-il, sans détour, par affront ou par niaiserie. Le processus de recrutement de militants salafistes a commencé depuis six ans dans les mosquées, souligne Abdelfetah Zaraoui Hamadache, qui indique avoir ciblé essentiellement des jeunes. Même pratique que son ancêtre le FIS. Ses activités se limitaient au strict aspect social, précise-t-il. Un exemple visiblement pris sur le parti dissous qui a commencé à constituer sa base dans les lieux de culte à travers des actions sociales. Ce prédicateur endoctriné en Arabie Saoudite entend profiter du contexte régional favorisant la montée des islamistes au pouvoir pour étendre son action aux pays voisins. Il conseille ses frères tunisiens d’aller en «douceur» pour atteindre leur principal objectif. «Procédez par étapes», leur a-t-il conseillé. Une méthode machiavélique qui casse avec le discours violent du FIS au début des années 90. Il va sans dire que la leçon a été bien assimilée et que, le contexte aidant, ce prédicateur qui s’initie à la politique après avoir utilisé la mosquée comme tribune pour recruter, s’aligne sur les recommandations de ceux qui veulent placer les islamistes au pouvoir dans tout le monde arabe.
    Sonia B.

  • #2
    moi de toute façon je ne comprend rien a la politique de boutef je n'ai pas confiance en lui et a ses sbires qui compose son gouvernement , et cela depuis l'affaire du match de foot avec l'egypte ou le gouvernement egyptien s'en est pris a l'algerie sans aucune réaction (dialogue) de cette dernières
    et je passe d'autre fait ; ont viendras a bout du terrorisme en s'attaquant aux nations qui le finance et ont connais ses états

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    • #3
      L’Arabie Saoudite exporte un nouveau FIS vers l’Algérie
      et bien l'Algérie peut refuser la marchandise.
      Mr NOUBAT

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      • #4
        noubat a dit:
        et bien l'Algérie peut refuser la marchandise.
        Effectivement.

        T'as entièrement raison sur ce point !

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        • #5
          Demain vous allez nous dire que la grande mosquée D'alger c'est aussi financée par l'arabie saoudite.

          Les ennemis de notre pays sont à l'intérieur du pays et de surcroît au manettes de la direction de nos affaires internes.

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          • #6
            L’Arabie Saoudite exporte un nouveau FIS vers l’Algérie

            Ils commence a nous faire chier ses ariouls du moyenne orient ,s'est claire que nos politique ils faut les surveiller comme le lait sur le feu .
            Mais dans tous sa la seule chose qui me donne espoir dans le pays ,s'est que nos militaires son là pour les surveiller ,et le cas échéant les neutralisés voir les détruire comme le FIS et les GIA .
            S'est pour cela que l'armée dérange et qu'il y a une sorte d'acharnement sur eux ,car temps qu'elle sera soudé et que la majorité du peuple la soutiendra l'Algérie ne risque rien...

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            • #7
              Il suffit d'interdire les religieux en politique, l' Arabie Saoudite à bon dos.

              Pas de clergé en Islam, donc pas besoin de politicard religieux.
              Dernière modification par zek, 15 janvier 2013, 21h53.
              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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              • #8
                Censuré
                Dernière modification par abdelbaki, 06 janvier 2015, 03h34.

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                • #9
                  on le sait de leurs pratique au tant des GIA le DRS a fabriquer ce

                  abdelfetah zahraoui hamadache, pour dire au peuple voyez nous on est musulmans et on interdit a aucun algeriens de creer son propre parti politique.

                  Moi j aimerais que ce parti une fois son agrément en poche qu'il demande des comptes a ces generaux encore une fois humilié par leur mere la france, sur les centaines de millions detournées depuis 1962.

                  Vive l Algerie et le peuple Algériens qui est fiere contrairement a ces despotes qui nous gouvernent;

                  meme les journaux français quand il parle de l Algerie ils disent pas republique algerienne mais regime algerien, cogité un peu
                  allez salem akeikoum.

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                  • #10
                    Vive l Algerie et le peuple Algériens qui est fiere contrairement a ces despotes qui nous gouvernent;
                    _________________________

                    Du haut du pouvoir politique ,en passent par le simple djoundi au général ,du paysan a l'ouvrier jusqu’au clochard se son tous des enfants du peuple .
                    S'est la différence entre nous et les monarchies arioul ,un fils de paysan peut finir président de l'état ,ou général dans l'armée .

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                    • #11
                      Le vrai problème vient de la politique d’amnistie de Bouteflika .

                      Avec ces larves seule l'extermination doit être la seule solution !!

                      On ne remet pas dans le droit chemin un criminel qui n'a jamais hésité à tuer des enfants , des vieillards , des femmes enceintes ..

                      Sans le laxisme , la passivité voire une certaine "complicité" de certains dirigeants ( comme le barbu Belkhadem) , ces prédicateurs du diable ne pourront jamais nuire..

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                      • #12
                        @Serpico
                        Au Maroc , l islamiste exporté en catimini , la rue marocaine se renforce , elle est légitimé par le pouvoir islamiste de Sidek ..
                        le royaume n échappera pas , les zombies attendent le moment opportun
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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