La présidente de l’Organisation nationale de la promotion de la culture de la paix l’a annoncé hier :
Une statue en l'honneur du moudjahid Abdelaziz Bouteflika
Le projet de distinction de «Aziz El-Djazaïr», a été à l’ordre du jour de la conférence sur «L’Algérie de l’avenir = stabilité = développement» organisé, hier, au Centre de presse d’El Moudjahid. Ce projet annoncé par Mme Fatma-Zohra Bousbaa, présidente de l’Organisation nationale de la promotion pour la culture de la paix (ONPCP), consiste «à ériger une statue en l'honneur du moudjahid Abdelaziz Bouteflika dont la main droite, posée sur le cœur comme il nous a toujours habitué», a-t-elle notamment indiqué.
Ce projet sera construit selon l’oratrice dans un espace ou un jardin appelé «Hadikate El-Aziz». «Nous avons décidé, d’honorer un homme d’exception qui a aidé l’Algérie a retrouvé sa cohésion et a renoué avec les valeurs ancestrales de dialogue et de tolérance», précise-t-elle.
La conférencière n’a pas manqué d’insister sur la réalité économique de l’Algérie qui a profondément changé.
«L’année 2012 est une année d’aisance financière pour notre pays et pour preuve la conférencière cite le prêt de 5 milliards de dollars accordé par l’Algérie au Fonds monétaire international (FMI) au cours de cette année caractérisée par la crise financière qui étouffe de nombreuses économies.
Elle a indiqué dans ce cadre qu’après des années extrêmement difficiles sur tous les plans, l’Algérie a renoué avec la stabilité, la sécurité et la paix confortées par le parachèvement d’une politique d’envergure de concorde civile et de réconciliation nationale à laquelle le peuple algérien a massivement adhéré.
L’oratrice n’a pas manqué de relever l’expérience de l’Algérie dans le processus de transition démocratique qui demeure une exception dans le monde arabe et africain.
La conférencière s’est réjouie «de l’intérêt qu’accordent les pouvoirs publics aux revendications de la société». Elle cite entre autres, la liberté d’expression et le droit à la manifestation. L’Algérie est, de l’avis de Mme Bousbaa, en avance sur tous les pays arabes voulant opérer des changements politiques et économiques.
Invitant les jeunes à s’impliquer davantage dans le développement du pays la conférencière a indiqué que la situation actuelle nous «impose de ne pas rester les bras croisés, de prendre conscience des événements, du temps de l’histoire, de nous impliquer avec nos idées et de les transformer en actions sur le terrain, donc de militer». Pour Mme Bousbaa, il s’agit de militer pour l’unité, pour la démocratie et pour les droits de l’homme.
Elle a indiqué par ailleurs, que la jeunesse algérienne qui constitue le facteur décisif dans le développement national, est porteuse de germes de toutes les transformations futures de la société. «La large couche sociale que constitue la catégorie des jeunes, est à même de jouer un rôle essentiel dans la construction d’une Algérie forte et capable d’assurer tous les besoins vitaux à ses citoyens». Elle a également appelé «à unir les efforts pour se dresser comme un seul homme face aux dangers qui menacent le pays».
S. Sofi
ElMoudjahid
Une statue en l'honneur du moudjahid Abdelaziz Bouteflika
Le projet de distinction de «Aziz El-Djazaïr», a été à l’ordre du jour de la conférence sur «L’Algérie de l’avenir = stabilité = développement» organisé, hier, au Centre de presse d’El Moudjahid. Ce projet annoncé par Mme Fatma-Zohra Bousbaa, présidente de l’Organisation nationale de la promotion pour la culture de la paix (ONPCP), consiste «à ériger une statue en l'honneur du moudjahid Abdelaziz Bouteflika dont la main droite, posée sur le cœur comme il nous a toujours habitué», a-t-elle notamment indiqué.
Ce projet sera construit selon l’oratrice dans un espace ou un jardin appelé «Hadikate El-Aziz». «Nous avons décidé, d’honorer un homme d’exception qui a aidé l’Algérie a retrouvé sa cohésion et a renoué avec les valeurs ancestrales de dialogue et de tolérance», précise-t-elle.
La conférencière n’a pas manqué d’insister sur la réalité économique de l’Algérie qui a profondément changé.
«L’année 2012 est une année d’aisance financière pour notre pays et pour preuve la conférencière cite le prêt de 5 milliards de dollars accordé par l’Algérie au Fonds monétaire international (FMI) au cours de cette année caractérisée par la crise financière qui étouffe de nombreuses économies.
Elle a indiqué dans ce cadre qu’après des années extrêmement difficiles sur tous les plans, l’Algérie a renoué avec la stabilité, la sécurité et la paix confortées par le parachèvement d’une politique d’envergure de concorde civile et de réconciliation nationale à laquelle le peuple algérien a massivement adhéré.
L’oratrice n’a pas manqué de relever l’expérience de l’Algérie dans le processus de transition démocratique qui demeure une exception dans le monde arabe et africain.
La conférencière s’est réjouie «de l’intérêt qu’accordent les pouvoirs publics aux revendications de la société». Elle cite entre autres, la liberté d’expression et le droit à la manifestation. L’Algérie est, de l’avis de Mme Bousbaa, en avance sur tous les pays arabes voulant opérer des changements politiques et économiques.
Invitant les jeunes à s’impliquer davantage dans le développement du pays la conférencière a indiqué que la situation actuelle nous «impose de ne pas rester les bras croisés, de prendre conscience des événements, du temps de l’histoire, de nous impliquer avec nos idées et de les transformer en actions sur le terrain, donc de militer». Pour Mme Bousbaa, il s’agit de militer pour l’unité, pour la démocratie et pour les droits de l’homme.
Elle a indiqué par ailleurs, que la jeunesse algérienne qui constitue le facteur décisif dans le développement national, est porteuse de germes de toutes les transformations futures de la société. «La large couche sociale que constitue la catégorie des jeunes, est à même de jouer un rôle essentiel dans la construction d’une Algérie forte et capable d’assurer tous les besoins vitaux à ses citoyens». Elle a également appelé «à unir les efforts pour se dresser comme un seul homme face aux dangers qui menacent le pays».
S. Sofi
ElMoudjahid
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