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Chakib Khelil en visite de travail à Moscou

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  • Chakib Khelil en visite de travail à Moscou

    Chakib Khelil est arrivé hier à Moscou pour une visite de travail de trois jours en Russie .

    ===

    Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, est arrivé mercredi à Moscou pour une visite officielle de trois jours en réponse à une invitation de son homologue russe, le ministre de l'Industrie et de l'Energie, M. Victor Khristenko, selon un communiqué du ministère. M. Khelil, accompagné d'une "importante délégation du secteur" comprenant notamment des hauts cadres de son département ministériel et de Sonatrach, devait être reçu en audience au cours de son séjour par le vice premier ministre russe, M. Dimitry Medvedev, a indiqué le communiqué.

    Par APS

  • #2
    Quelqu'un sais c'est quoi l'objet de cette visite ?
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

    Commentaire


    • #3
      aucune idée mais par contre je sias qu'il y'a un truc qui cloche entre la russie te l'algérie a cause de cette histoire de gaz
      Fik ya brik....enar rahi tahtek

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      • #4
        Ils vont surment ce faire un partage des marchés du gaz. Du genre
        "Toi tu prends la Chine et les USA et moi je prends l'UE on est OK?"

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        • #5
          Dans les journaux d'aujourd'hui on parle de la signature d’un accord de coopération entre Sonatrach et Lukoïl. Gazprom veut également se rapprocher d'Alger. Certainement, il s'agit d'une alliance stratégique pour se partager le marché européen.
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #6
            Envoyé par Shadok
            Quelqu'un sais c'est quoi l'objet de cette visite
            C'est une visite destinés à resserer les liens et promouvoir une meilleure coopération entre les deux Etats.
            ==
            Signature de deux mémorandums d'entente entre Sonatrach et deux groupes pétroliers russes

            Alger - Deux mémorandums d'entente ont été signés, vendredi à Moscou, entre la Sonatrach et deux sociétés pétrolières russes Gazprom et Loukoïl, portant sur la coopération bilatérale dans les hydrocarbures, au terme de la visite effectuée en Russie par le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, a indiqué un communiqué de l'ambassade d'Algérie à Moscou. La signature de ces deux documents est intervenue suite aux discussions qui ont eu lieu entre les responsables de Sonatrach et des deux sociétés russes, a précisé la même source.

            Par APS



            En visite en Russie depuis mercredi, le ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a été reçu jeudi par le premier vice-Premier ministre russe et président du conseil d’administration de la compagnie Gazprom, Dmitri Medvedev.

            Selon l’agence officielle russe, Ria Novosti, les deux hommes ont passé en revue les moyens de promouvoir une coopération à plus grande échelle dans le secteur du pétrole et du gaz, notamment en matière de fournitures de gaz naturel liquéfié.

            Ils ont également examiné la possibilité de réaliser des projets conjoints sur les marchés énergétiques internationaux. Dmitri Medvedev et Chakib Khelil ont par ailleurs confirmé l’intérêt de leurs pays à développer la coopération dans le domaine énergétique.

            Les discussions avec les responsables de Gazprom ainsi qu’avec ceux d’autres compagnies pétrolières russes comme Loukoil et Stroytransgaz ont pour objectif d’identifier les axes de partenariat «avec des projets concrets et rapidement réalisables» aussi bien en Algérie et en Russie que dans des pays tiers, avait indiqué un communiqué du MEM.

            Les compagnies énergétiques russes sont déjà présentes en Algérie à l’image de la société Stroytransgaz, qui a notamment réalisé la deuxième tranche de l’oléoduc reliant Haoud El-Hamra à Arzew et qui a conclu en août 2005 un contrat avec Sonatrach portant sur la réalisation du gazoduc Sougueur-Hadjret Ennous d’une capacité de 4 milliards de mètres cubes par an.

            Cet ouvrage devrait être réceptionné vers la fin du premier semestre 2007. Une fois achevé, ce projet devra alimenter en gaz naturel la future centrale de Hadjret Ennous et les agglomérations avoisinantes. Le ministre de l’Energie et des Mines est arrivé mercredi à Moscou pour une visite officielle de trois jours en réponse à une invitation de son homologue russe, le ministre de l’Industrie et de l’Energie, M. Victor Khristenko.

            M. Khelil était accompagné d’une importante délégation de son secteur composée notamment de hauts cadres de son département ministériel et de la compagnie nationale Sonatrach. Durant son court séjour, le ministre s’est entretenu avec plusieurs hauts responsables russes parmi lesquels le vice-Premier ministre russe, M. Dimitri Medvedev, le secrétaire du Conseil russe de sécurité, M. Igor Ivanov, le ministre russe du Développement régional et coprésident de la commission mixte algéro-russe, M. Vladimir Yakovlev, et le président de la Chambre russe de commerce et d’industrie, M. Evgeni Primakov.

            Le visite de Chakib Khelil devait permettre aux deux pays d’aplanir les différends dans le domaine énergétique, notamment après la décision de l’UE de diversifier ses sources d’approvisionnement en gaz et sa volonté d’établir un partenariat plus étroit avec l’Algérie dans le domaine énergétique, dans cette perspective.

            Il faut savoir que l’Algérie et la Russie exportent la majorité de leur gaz vers l’Europe et, pour la Russie, les deux pays ont «un intérêt mutuel à agir ensemble et à coordonner leurs efforts sur le marché mondial»

            Par le Jeune Indépendant

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            • #7
              hier a la radio c'était le branle bas de combat contre cet accors entre gazprom et sonatrach.
              il parait que la presidence italienne a sonné le tocsin pour mettre l'italie à l'abri de cette nouvelle opep du gaz.et les commentateurs français semblaient tres inquiets aussi.
              manip ? ou changement majeur.je ne sais pas .merci aux spécialistes des énergies de nous éclairer.

              Commentaire


              • #8
                Tu crois qu'ils peuvent faire quoi l'Italie et la France?? Nous avons le gaz et si en plus nous avons la bénédiction de la Russie ils peuvent aller se brosser s'ils tentent de nous imposer leurs conditions...

                Commentaire


                • #9
                  il ne faut jamais sous estimer ses adversaires.
                  comme au jeu d'échecs ils peuvent t'attaquer la ou tu les attends le moins.
                  l'algerie a ses talons d'achille .et du fait de leurs relais dans notre administration nos partenaires savent ou taper.
                  l'euphorie est dangereuse..mais c'est vrai que ça fait du bien apres toutes ces années de malheur.

                  Commentaire


                  • #10
                    Accord gazier Algéro-Russe

                    C'est une visite destinés à resserer les liens et promouvoir une meilleure coopération entre les deux Etats
                    .
                    Et cet accord gazier "Algéro-Russe", cette l’alliance qui fait trembler l’europe.


                    ====
                    Par L'expression:

                    Sonatrach constitue un allié stratégique pour les Russes qui font de l’énergie, le gaz en particulier, leur nouveau cheval de bataille.
                    Le Premier ministre italien, Romano Prodi, a exprimé avant-hier sa crainte quant à l’accord signé vendredi dernier à Moscou, entre Sonatrach et le géant russe Gazprom. Il a appelé Bruxelles à intervenir pour empêcher la création d’un cartel qui pourrait menacer la sécurité énergétique de l’Europe. Un porte-parole de la Commission européenne a indiqué, à en croire Le Figaro, que les commissaires se pencheront sur «les implications possibles de cet accord».
                    Gazprom avec 125 milliards de mètres cubes et Sonatrach avec 61 milliards, les deux compagnies couvrent 36% des besoins de l’Union européenne en matière de gaz. Le ministre de l´Energie et des Mines, M.Chakib Khelil, et son homologue russe, M.Viktor Khristenko, en procédant à la ratification de cet accord de partenariat et de coopération dans les domaines de l’exploration et l’exploitation des gisements gaziers et pétroliers, viennent de faire un front commun, face à une Europe intraitable, quand il s’agit de négocier des questions d’une extrême sensibilité, à l’exemple de la sécurité énergétique.
                    Le reste des besoins européens en gaz sont fournis, en majorité, par Statoil (Norvège), Exxon Mobil (USA) et Shell (Pays-Bas), qui fournissent respectivement 120, 60 et 50 milliards de mètres cubes.
                    Ayant été conclu en parallèle d’une association avec l’autre géant russe ( N°8 mondial du pétrole), Lukoil en l’occurrence, cet accord aura plus de poids du moment qu’il prévoit le financement par les trois partenaires des projets d’exploration et de production dans des pays tiers. Sonatrach constitue un allié stratégique pour les Russes qui font de l’énergie, le gaz en particulier, leur nouveau cheval de bataille. Avec ses gazoducs, Medgaz à destination de l’Italie et Galci approvisionnant l’Espagne qui seront opérationnels courant 2009, la compagnie nationale est un partenaire incontournable dans toutes les transactions énergétiques de grande envergure. Une position affermie par des réserves estimées à quelque 4550 milliards de mètres cubes, classant l’Algérie 2e en Afrique, derrière le Nigeria (5000 milliards de mètres cubes).
                    Les craintes des pays européens sont d’autant plus justifiées par le développement progressif de stature de leurs fournisseurs. Ces grandes compagnies ont pris des proportions alarmantes suivant la notion sécuritaire européenne. Lukoil s’est assuré même l’exploitation d’un immense gisement irakien à l’ère de Saddam Hussein et vient d’engager un bras de fer avec Washington pour maintenir son contrôle sur cette manne orientale. Des sources ont indiqué que Vladimir Poutine en personne, est mobilisé pour cette cause stratégique. Avec ses trois cent mille employés, ses énormes gisements et ses 153.000km de tubes, Gazprom est tout simplement une entreprise surdimensionnée.
                    Elle représente la nouvelle arme de Moscou, brandie à chaque fois que les affaires avec les voisins européens butent sur un obstacle. Dans ce contexte, la crise énergétique de l’Ukraine qui a posé la problématique de la sécurité des approvisionnements, en est le plus récent et le plus significatif des exemples traduisant cette réalité.
                    L’autre point qui inquiète les 25, concerne la Charte de l’énergie signée par Moscou, il y a douze ans, mais qui ne sera pas ratifiée, selon les responsables moscovites. La charte, traitant du fameux libre transit du gaz et du pétrole, a constitué l’un des axes principaux des pourparlers au sommet du G8, tenu le mois passé à Saint Petersbourg.
                    Gazprom, qui a commencé à approvisionner les Etats-Unis et ambitionne de fournir la Chine, est au coeur d’une polémique montante entre Moscou et les autres membres du G8, qualifiés de «chats gras» par le locataire du Kremlin. Les Européens observent, avec une grande inquiétude, la montée de ce géant qui fournit à lui seul 26% de leurs besoins en gaz. Cela, ajouté à une volonté explicite d’imposer sa mainmise sur toute la chaîne de l’énergie, de l’extraction à la distribution.
                    Le rapprochement des politiques énergétiques entre l’Algérie et la Russie remonte à l’année 2001, lorsque une commission mixte avait été installée (avril 2001), lors de la visite du président Bouteflika à Moscou. Une démarche qui a été renforcée par la signature du protocole de coopération stratégique par le ministre de l’Energie Chakib Khelil et son homologue russe en 2002, consacrant ainsi, la présence de plus en plus accrue de sociétés pétrolières russes en Algérie.
                    La Russie a été depuis longtemps l’allié traditionnel et central de l’Algérie. Jusqu’à 1990, ce pays était presque l’unique équipementier de l’ANP. La visite effectuée le mois de mars dernier par le président russe Vladimir Poutine à Alger et qui a porté sur la conclusion de plusieurs contrats relatifs à l’achat d’armement et au traitement de la dette extérieure de notre pays, a été par ailleurs l’occasion de ficeler une nouvelle approche pour une nouvelle coopération, basée essentiellement sur l’énergie.

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