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Une force si spéciale
Par : Mounir B
À In Amenas, l’Algérie vient de faire l’éclatante démonstration de son courage face au terrorisme. Comme si le prix du sang payé par les Algériens durant vingt ans ne suffisait pas, les groupes terroristes ont compris que face à l’Armée algérienne, on ne peut ni pratiquer le chantage ni la terreur.
Au-delà des cris d’effroi de certaines vierges effarouchées et de commentaires à la carte des professionnels de l’indignation, l’Algérie a fait le “job”. Sans reculer, sans transiger face au terrorisme et surtout sans reproche. Il aura fallu des tonnes de sang-froid et une expertise unique dans la lutte antiterroriste pour arriver à bout d’une situation de crise de cette envergure en si peu de temps. Et pour ceux qui évoquent le prix du sang, aucun peuple n’est mieux placé que le nôtre pour savoir que ce prix est coûteux, sacrificiel, incontournable.
Car, on ne combat pas la terreur avec des slogans. On ne résiste pas à la violence extrémiste avec de bons sentiments. L’Algérie a toujours essayé de garder un équilibre entre sa recherche de paix avec ceux qui se détournent des armes et son refus d’abdiquer face aux assassins. Elle a refusé le chantage terroriste quand son peuple tentait de rester debout devant les massacres. Elle l’a refusé quand les caisses étaient vides mais la conviction riche. Elle l’a même refusé quand elle n’avait plus 1 dollar pour acheter une balle, si tant est qu’on veuille bien lui vendre une… balle.
L’affaire d’In Amenas appelle la communauté internationale à la responsabilité. Son dénouement appelle les acteurs à la sagesse. Au-delà du cas algérien, le terrorisme a démontré depuis le 11 septembre 2001 qu’il ne recule jamais, que son projet de terreur n’en a que faire de la vie des innocents et que la seule réponse possible est de l’affronter, comme le fait un torero dans l’arène.
Et c’est réconfortant que, malgré le matraquage incessant des gardiens de la morale, l’Algérien ait réagi avec fierté, tranquillité et bravoure face à cette énième crise. Car nous, nous avons acquis la conviction que face au terrorisme, ce n’est jamais fini. Aux autres de le comprendre.
Liberté
Par : Mounir B
À In Amenas, l’Algérie vient de faire l’éclatante démonstration de son courage face au terrorisme. Comme si le prix du sang payé par les Algériens durant vingt ans ne suffisait pas, les groupes terroristes ont compris que face à l’Armée algérienne, on ne peut ni pratiquer le chantage ni la terreur.
Au-delà des cris d’effroi de certaines vierges effarouchées et de commentaires à la carte des professionnels de l’indignation, l’Algérie a fait le “job”. Sans reculer, sans transiger face au terrorisme et surtout sans reproche. Il aura fallu des tonnes de sang-froid et une expertise unique dans la lutte antiterroriste pour arriver à bout d’une situation de crise de cette envergure en si peu de temps. Et pour ceux qui évoquent le prix du sang, aucun peuple n’est mieux placé que le nôtre pour savoir que ce prix est coûteux, sacrificiel, incontournable.
Car, on ne combat pas la terreur avec des slogans. On ne résiste pas à la violence extrémiste avec de bons sentiments. L’Algérie a toujours essayé de garder un équilibre entre sa recherche de paix avec ceux qui se détournent des armes et son refus d’abdiquer face aux assassins. Elle a refusé le chantage terroriste quand son peuple tentait de rester debout devant les massacres. Elle l’a refusé quand les caisses étaient vides mais la conviction riche. Elle l’a même refusé quand elle n’avait plus 1 dollar pour acheter une balle, si tant est qu’on veuille bien lui vendre une… balle.
L’affaire d’In Amenas appelle la communauté internationale à la responsabilité. Son dénouement appelle les acteurs à la sagesse. Au-delà du cas algérien, le terrorisme a démontré depuis le 11 septembre 2001 qu’il ne recule jamais, que son projet de terreur n’en a que faire de la vie des innocents et que la seule réponse possible est de l’affronter, comme le fait un torero dans l’arène.
Et c’est réconfortant que, malgré le matraquage incessant des gardiens de la morale, l’Algérien ait réagi avec fierté, tranquillité et bravoure face à cette énième crise. Car nous, nous avons acquis la conviction que face au terrorisme, ce n’est jamais fini. Aux autres de le comprendre.
Liberté
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