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1ère conséquence de l'attaque de In Amenas,BP abandonne un projet à Tamanrasset

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  • 1ère conséquence de l'attaque de In Amenas,BP abandonne un projet à Tamanrasset

    ÉCRIT PAR ZOUBIR MERABET DIMANCHE, 20 JANVIER 2013 18:15
    BP abandonne le projet gazier d’Areg, près de Tamanrasset

    BP doit gérer une situation difficile après In Amenas

    La prise d’otages au complexe gazier d’In Amenas a eu un premier effet. British Petrolium, le géant qui gère le site gazier théâtre de la prise d’otages, avec le norvégien Stat-Oil et l’algérien Sonatrach, a annoncé sa décision de rompre un contrat qui le lie à la compagnie Sonatrach.

    Le géant pétrolier British Petroleum (Bp) a décidé d’abandonner un projet d’extension d’un complexe gazier et d’une base de vie à Areg, dans de la wilaya de Tamanrasset. Cette décision a été prise à la suite de l’attaque terroriste contre le complexe gazier de In Amenas, selon les informations de Maghreb Emergent.
    L’entreprise Petrofoc, qui sous-traite avec BP l’extension de ce complexe gazier et d’une base de vie sur le site d’Areg, a été invitée vendredi dernier à arrêter les travaux et à plier bagage.
    Environ 500 travailleurs, parmi lesquels figurent des Algériens, des Indiens et des philippins, ont été sommés de quitter immédiatement les lieux et de rentrer chez eux.
    « Nous avons tous quitté notre lieu de travail précipitamment vendredi matin », nous a déclaré A. Karim, un ouvrier qui affirme que tous les ressortissants étrangers, notamment des américains et des anglais, ont quitté à leur tour le complexe gazier, dont le gisement a été découvert en 2003. A. Karim nous a indiqué que leur employeur, l’entreprise Petrofoc, n’a donné aucune explication ni information sur un retour ultérieur des travailleurs sur le site.
    « C’était le branle-bas de combat, et nous avons cru au départ que notre base était visée par une action terroriste », témoigne encore cet employé, qui affirme que les responsables de la compagnie britannique semblaient pris de panique.

    500 travailleurs au chômage

    L’abandon de ce projet est, semble-t-il, la première conséquence de la prise d’otage sanglante qui a eu lieu durant trois jours au complexe gazier de In Amenas la semaine dernière. L’action terroriste s’était soldée par la mort de 23 otages, algériens et étrangers, et la neutralisation de 32 terroristes, selon un bilan provisoire publié samedi par le ministère algérien de l’intérieur.
    Les responsables de BP avaient annoncé, au lendemain de la prise d’otages, qu’ils allaient rapatrier tous les ressortissants britanniques qui ne sont pas « essentiels », mais ils n’ont jamais fait état d’un « départ massif » de ses employés.
    En tous les cas, la décision de BP d’arrêter les travaux sur le site d’Areg, baptisé « Ain Salah Gaz », a mis pris au dépourvu un demi-millier de travailleurs qui, se retrouvent malgré eux au chômage technique, avec comme prime aucune indication quant à leur avenir.


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    Maghreb émergent

  • #2
    l un des cotes positives de cette attaque terroriste et que le pompage de nos ressources va diminuer un peu, consequence ses rechesses vont etre utilise par nos enfant inchallah. quant a nous, on doit exploiter les reserves qu on a pour lancer une econnomie solide. Alors PB bon debarat. merci ANP et rabi yerhame les victimes
    If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
    You have to have a dream so you can get up in the morning....

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    • #3
      @Medgasen
      Sinon tu as ça:




      Le pactole pétrolier investi pour les générations futures
      19.08.2009 // Les revenus des activités gazières et pétrolières de la Norvège sont investis dans un fonds de retraite public destiné aux générations futures. Ce fonds effectue des placements à long terme et constitue une ressource non négligeable pour des entreprises saines du monde entier. L’activité du fonds obéit à des règles de transparence et d’éthique.

      Une grande partie des revenus que tire la Norvège de ses nombreuses activités pétrolières en mer du Nord est investie dans des sociétés et des obligations dans le monde entier, par le biais du Fonds de retraite norvégien à l’étranger. Ce fonds, souvent appelé Fonds pétrolier, détient en moyenne 1% des actions dans le monde. Il est ainsi assuré de pouvoir profiter d’une part importante des futurs bénéfices de sociétés cotées en bourse aux quatre coins du monde.

      Seul le revenu du capital est utilisé
      L’Etat norvégien n’utilise que le rendement effectif prévu du fonds – estimé à 4%. Les fluctuations à court terme des prix du pétrole et du gaz ont donc une faible incidence sur la politique budgétaire.

      Parmi les fonds souverains, le fonds de retraite de l’Etat norvégien est le deuxième au monde. La valeur du fonds était de 2 385 milliards de couronnes (276 milliards d’euros) à la fin du second trimestre 2009.

      Un risque modéré
      Le fonds diversifie beaucoup ses investissements, en adoptant une perspective à long terme et en cherchant à obtenir un rendement financier optimal en prenant un risque modéré. De cette façon, les générations futures pourront aussi profiter au maximum de cette cagnotte.

      Le fonds détient en moyenne une part de 1% dans quelque 8 000 sociétés, sa participation dans une seule société ne dépassant jamais 10%.

      Transparence et stabilité
      Grâce à sa solide assise financière et à sa perspective à long terme, le fonds n’a pas besoin de vendre des actions en cas d’incertitudes sur le marché ou de dépréciations importantes. Le fonds de retraite peut donc constituer une ressource stable et importante pour des sociétés du monde entier.

      Le fonds ne relève pas de la politique étrangère norvégienne et ses investissements n’ont aucun objectif politique ou stratégique. Pour bien le souligner, une grande importance est accordée à la transparence concernant la stratégie d’investissement et la taille du fonds. Le fonds norvégien est en très bonne place sur le classement des fonds souverains réalisé par le Peterson Institute en fonction de leur responsabilisation et de leur transparence.


      Des critères éthiques
      L’objectif d’obtenir un bon rendement financier est étroitement lié à la volonté d’être considéré comme un investisseur responsable. Même si le fonds n’est pas utilisé pour atteindre des objectifs politiques ou stratégiques, il est important pour les autorités norvégiennes qu’aucun investissement ne contribue à des actions contraires à l’éthique. Des critères éthiques ont donc été définis pour le fonds, qui ont été adoptés à une large majorité par le Storting (le parlement norvégien).


      Un conseil d'éthique conseille le ministère sur les actions et obligations dans lesquelles il est préférable de ne pas investir. Ainsi, le fonds de pension ne peut investir dans des sociétés produisant des armes nucléaires, des armes à sous-munitions, des mines terrestres ou des armes biochimiques. Le fonds ne doit pas non plus s’impliquer dans des sociétés qui portent gravement atteinte aux droits de l’homme ou nuisent à l’environnement.


      Un impact positif
      Le fonds de pension norvégien a exclu plusieurs sociétés responsables de violations systématiques du droit du travail et des droits de l’homme. Cette démarche souligne que la Norvège est fermement opposée aux violations du droit du travail.

      Il est cependant évident que le fonds de pension, qui est l’un des plus grands fonds du monde, est en mesure d’avoir un impact sur des sociétés et des secteurs dans les domaines du droit du travail et des droits de l’homme. Une équipe spéciale de la Banque centrale de Norvège travaille donc à plein temps pour influencer les 8 000 sociétés afin d’empêcher par exemple le travail des enfants et la détérioration de l’environnement.

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      • #4
        prenpalatete a dit:
        Le pactole pétrolier investi pour les générations futures

        19.08.2009 // Les revenus des activités gazières et pétrolières de la Norvège sont investis dans un fonds de retraite public destiné aux générations futures. Ce fonds effectue des placements à long terme et constitue une ressource non négligeable pour des entreprises saines du monde entier. L’activité du fonds obéit à des règles de transparence et d’éthique.

        bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
        bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla

        bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla .....etc
        T"inquiète prenpalatete !

        Notre gaz et pétrole seront mieux sous terre, que dans une banque !

        "Rester sous terre" est un placement plus sure et aura bien plus de valeur que des billets de banque et des titres !

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        • #5
          @Sidmark
          je le pense aussi un peu:l'article date de 2009,soit un an apres la crise.Mais bon quand ils ont des capitaux il ne le grille pas en dépenses douteuses et mégalomaniaques!

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          • #6
            je suis d'accord avec Madghassen , c'est plutot une bonne nouvelle .
            il suffit de limiter l'importation des voiture, ou de taxer les voitures luxueuses a 300%

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            • #7
              Même si le choc des images et des commentaires a fortement bouleversé les opinions publiques à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, rien n’indique qu’ils influenceront durablement les compagnies pétrolières étrangères essentiellement polarisées sur le potentiel phénoménal de profits qu’elles peuvent tirer des gisements d’hydrocarbures. Aucun conflit armé (guerre en Irak), aucune action terroriste aussi forte soit-elle (attaques de sites pétroliers au Nigeria), aucune crise politique majeure (Venezuela, Libye) n’a réussi à stopper des activités de recherche et d’exploitation de pétrole et de gaz naturel dans aucun des pays concernés.

              Il ne faut pas oublier que c’est durant la décennie noire que l’Algérie a accueilli sur son sol de nombreuses compagnies pétrolières étrangères, notamment américaines. Il est évident que de tels conflits, parfois provoqués expressément à cet effet, contribuent à renchérir les prix des produits d’hydrocarbures et, par conséquent, rendre ces produits plus lucratifs et les investissements plus rentables. Exploiter des gisements d’hydrocarbures est, par ailleurs, une aubaine, aussi bien pour les compagnies étrangères qui ont eu la chance d’obtenir de l’Etat algérien des autorisations d’exploitation, que pour leurs pays d’origine qui se donnent ainsi des chances de sécuriser leurs approvisionnements.

              Il ne serait donc pas étonnant que ce soient ces derniers qui incitent leurs sociétés pétrolières à persévérer dans l’exploration et l’exploitation des gisements, voire même à y promouvoir des investissements censés augmenter leurs performances productives. Les compagnies pétrolières étrangères ne resteront évidemment pas inactives face aux divers périls auxquels elles sont quotidiennement exposées. Le niveau de sécurisation sera sans doute renforcé à volonté en faisant davantage appel aux forces publiques et en procédant au recrutement de nombreux agents et à l’acquisition de moyens matériels plus performants. La facture du gardiennage des sites sera certes plus élevée, mais aussi importante qu’elle sera, elle ne représentera qu’un pourcentage minime des chiffres d’affaires faramineux que ces compagnies réalisent.

              Il ne faut, par ailleurs, pas perdre de vue le rôle déterminant que sont appelées à jouer les grandes compagnies d’assurance chargées d’indemniser les sociétés concernées par ce genre de périls. Il est fort possible que les primes d’assurance soient revues à la hausse suite à l’agression terroriste du complexe gazier d’In Amenas, mais ce relèvement des frais d’assurance ne pèsera pas lourd comparé aux gigantesques profits qui seront générés par l’exploitation des gisements d’hydrocarbures.

              En favorisant encore davantage l’investissement étranger au moyen d’une panoplie de mesures incitatives, la très prochaine révision de la loi sur les hydrocarbures est, il est important de le souligner, de nature à favoriser l’ancrage de nombreuses sociétés pétrolières internationales en Algérie. Les investissements étrangers dans les domaines de la recherche, l’exploration, l’exploitation, le transport et la transformation des hydrocarbures ont, par conséquent, encore de beaux jours devant eux.
              Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
              alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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              • #8
                guerres et sous ont toujours faits bon ménage!

                Commentaire


                • #9
                  ---------------------------------
                  Dernière modification par aliadz, 06 octobre 2013, 02h15.

                  Commentaire


                  • #10
                    Oui, laissons les richesses gazières et pétrolières sous terre, jusqu'à ce qu'elle ne valent plus rien où presque rien, car le gaz de shiste et surtout les algues seront la prochaine étape.
                    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                    Commentaire


                    • #11
                      citation
                      Oui, laissons les richesses gazières et pétrolières sous terre, jusqu'à ce qu'elle ne valent plus rien où presque rien, car le gaz de shiste et surtout les algues seront la prochaine étape.


                      AMEN, ainsi parla l'économiste en chef ZEK;
                      les génération futures préféreront utiliser le gaz non polluant pour faire fonctionner les centrales électrique , les bus , les voitures etc...
                      et qui te dit que le prix du gaz va diminuer, vue que l'extraction du gaz de chiste n'est rentable qu'a partir de 100$.

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                      • #12
                        @Aurassien
                        sans parler de la pollution des nappes phréatiques engendrée par la fragmentation hydraulique ,puisque il n'y aurait pas d'autres formes d'exploitation du gaz de schiste.

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                        • #13
                          selon moi, les conséquence de cette terrible affaire n'auront des répercutions qu'à court terme. l'enjeu financier ou économique est bien trop important pour les investisseurs étrangers. des pays comme l’Algérie avec un potentiel important en ressources pétro-gazière se comptent sur les doigts de la main, en revanche les preneurs eux se comptent par dizaines.

                          de plus, dès qu'il s'agit de pétrole et de gaz, les autres pays (généralement occidentaux) sont prêts à faire n'importe quoi pour se sérvire, y comprit se salir les mains. là, sous le choc, il y a de la réticence peut être, mais ca va vite disparaitre quand l'appel du $$$ ou du £££ deviendra irrésistible, c'est à dire dans pas longtemps...
                          La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

                          Commentaire


                          • #14
                            C'est une bonne nouvelle dans la mesure où elle va nous apprendre à voir d'autres créneaux et compter sur nous-même. Parce que franchement, notre richesse en hydrocarbure a fait de nous un peuple assisté. Un oesophage ambulant en quelque sorte.
                            En plus je pense que la Sonatrach et ses Filiales peuvent continuer à exploiter le gaz et le pétrole, seules, comme ils l'ont toujours fait auparavant.
                            En 1971 lors de la nationalisation des hydrocarbures par Boumedienne (Allah Yarahmou) les compagnies étrangères nous ont quittés comme on descend d'un bus laissant les algériens seuls avec les complexes. Ces compagnies s'attendaient à recevoir un coup de téléphone des algériens, les implorant de revenir. Nous nous sommes débrouillés seuls et tout a marché comme sur des roulettes.
                            L'Algérie contnue !!!
                            Je ne verserai pas une larmes pour leur départ.
                            L'Algérie doit en contrepartie arrêter l'importations de voitures de tous les pays qui résilient leur contrats.

                            Envoyé par aurassien
                            Oui, laissons les richesses gazières et pétrolières sous terre, jusqu'à ce qu'elle ne valent plus rien où presque rien, car le gaz de shiste et surtout les algues seront la prochaine étape.
                            L'exploitation du Gaz de shiste n'est qu'à ses début. Peut-être que dans un proche avenir elle sera interdite mondialement vu ses conséquence néfastes et les difficultés inhérent à son exploitation
                            Dernière modification par sud_Men, 22 janvier 2013, 14h19.

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                            • #15
                              Il n'y aura pas de repercussion tant les concurrents se bousculent. Certes ce sont des millions de dollars perdus par jours lors de la prise d'otage, mais l'entreprise est toujours rentable. Donc si BP se barre, il y aura 10 candidats de plus et je ne parle meme pas des societe de securité qui en profiteront pour augementer leur tarifs.
                              "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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