Le ministre qui n'a pas fourni le bilan des perte causées par l'attaque terroriste du site gazier de In Aménas a souligné que «c'est grâce au réflexe des travailleurs de Sonatrach qui ont fermé l'unité de production et procédé à la décompression du gaz, on a évité la plus grande catastrophe que l'Algérie ou ailleurs n'a jamais connu».
Quotidien "L'expression".
Quotidien "L'expression".
En frappant la sécurisation de l'approvisionnement énergétique à partir de l'Algérie c'est clair que celui qui a donné de l'argent à Belmokhtar pour mener son opération de sabotage veut placer son Gaz en Europe, c'est un pays qui se cache, s'agit-il du Qatar, Russie, Libye, alors?
Commentaire