Tweet
La cité des 800 logements de Boumerdès connaît une situation sanitaire catastrophique.
En effet, Elle est située juste à côté de la cage d’escaliers 583 présente un danger certain en raison des rejets d’égoûts provenant de ladite cage. Déjà, il y eut un éclatement de canalisations à l’intérieur même du centre, dans une salle de soins.
La direction de la santé et de la population avait décidé, alors, de procéder à la fermeture de la salle de soins et d’effectuer les rénovations nécessaires. Toutefois, l’exiguïté des lieux, le manque d’aération et la forte demande de la population du quartier le plus populeux du chef-lieu ont limité considérablement l’efficacité du personnel médical et paramédical. Entretemps, les services sanitaires avaient constaté la défectuosité du réseau des rejets ménagers de la cage du bâtiment. Les rapports de l’inspecteur de la santé et du service d’hygiène de l’APC convergent vers le même constat : danger sanitaire ! Certes, une tentative de réparation du réseau de rejets avait déjà été opérée. Mais après l’ouverture de la salle de soins, à coût de deniers publics, des citoyens ont été obligés de se déplacer ailleurs durant deux mois au moins, la canalisation de la cage 53 éclata de nouveau. Des cas de diarrhées ont affecté un grand nombre de citoyens de plus, aujourd’hui, l’écoulement des eaux se fait à ciel ouvert, juste devant l’entrée de la salle de soins. C’est dire que les malades sont obligés de marcher dans les égoûts acheminant ainsi des bactéries à l’intérieur de la salle de soins où on opère des soins antiseptiques et des injections en sus des consultations médicales de soins généraux. C’est souvent des mamans et des bébés qu’on rencontre au niveau de la salle d’attente avec une odeur nauséabonde.
Il y a donc un réel risque d’épidémies aussi bien pour les habitants que pour les patients de la salle de soins. Les pouvoirs publics (OPGI, APC) doivent prendre en charge de problème définitivement soit en effectuant les réparations nécessaires sur le réseau d’assainissement de la cage pour enrayer la cause réelle, soit en aménageant un autre espace pour les soins mais toujours au niveau du quartier des 800 logements qui comptent en fait environ 10 000 habitants et des milliers d’estivants.
- La nouvelle republique
En effet, Elle est située juste à côté de la cage d’escaliers 583 présente un danger certain en raison des rejets d’égoûts provenant de ladite cage. Déjà, il y eut un éclatement de canalisations à l’intérieur même du centre, dans une salle de soins.
La direction de la santé et de la population avait décidé, alors, de procéder à la fermeture de la salle de soins et d’effectuer les rénovations nécessaires. Toutefois, l’exiguïté des lieux, le manque d’aération et la forte demande de la population du quartier le plus populeux du chef-lieu ont limité considérablement l’efficacité du personnel médical et paramédical. Entretemps, les services sanitaires avaient constaté la défectuosité du réseau des rejets ménagers de la cage du bâtiment. Les rapports de l’inspecteur de la santé et du service d’hygiène de l’APC convergent vers le même constat : danger sanitaire ! Certes, une tentative de réparation du réseau de rejets avait déjà été opérée. Mais après l’ouverture de la salle de soins, à coût de deniers publics, des citoyens ont été obligés de se déplacer ailleurs durant deux mois au moins, la canalisation de la cage 53 éclata de nouveau. Des cas de diarrhées ont affecté un grand nombre de citoyens de plus, aujourd’hui, l’écoulement des eaux se fait à ciel ouvert, juste devant l’entrée de la salle de soins. C’est dire que les malades sont obligés de marcher dans les égoûts acheminant ainsi des bactéries à l’intérieur de la salle de soins où on opère des soins antiseptiques et des injections en sus des consultations médicales de soins généraux. C’est souvent des mamans et des bébés qu’on rencontre au niveau de la salle d’attente avec une odeur nauséabonde.
Il y a donc un réel risque d’épidémies aussi bien pour les habitants que pour les patients de la salle de soins. Les pouvoirs publics (OPGI, APC) doivent prendre en charge de problème définitivement soit en effectuant les réparations nécessaires sur le réseau d’assainissement de la cage pour enrayer la cause réelle, soit en aménageant un autre espace pour les soins mais toujours au niveau du quartier des 800 logements qui comptent en fait environ 10 000 habitants et des milliers d’estivants.
- La nouvelle republique