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3 MILLIONS DE DH D’INVESTISSEMENTS
CÔTE D’IVOIRE, GABON, SÉNÉGAL… D’AUTRES PROJETS EN ROUTE
Juste après avoir célébré son 21 anniversaire, L’Economiste (le premier quotidien économique du Maroc) entame un tournant majeur dans son histoire. Le média incontournable du milieu des affaires s’internationalise. Après les banques, les télécoms, les cimenteries, les laboratoires pharmaceutiques, les TIC… Eco-Médias est ainsi le 1er groupe de presse marocain qui ose l’aventure africaine.
L’internationalisation s’impose comme une évidence pour le groupe. La première étape de toute une stratégie de développement en Afrique démarre bientôt au Burkina Faso. «Nous avons acquis une expérience et un savoir-faire en matière de médias qui ont permis au groupe de se développer en interne. Aujourd’hui, d’autres opportunités se présentent à nous à l’échelle internationale», explique Abdelmounaïm Dilami, président-directeur général du groupe.
L’entreprise de presse édite deux quotidiens de renom et une radio économique: L’Economiste et Assabah, Atlantic Radio. Elle a aussi un savoir-faire reconnu sur le Web. «Un groupe média ne peut pas se contenter d’exister. Il doit constamment chercher à s’étendre parce que les différents supports génèrent des synergies», tient à préciser Dilami. En fait, le choix de l’Afrique est venu suite à une étude du contexte économique global de la région. Crise en Europe, instabilité au Maghreb et un Moyen-Orient qui traverse un contexte particulier… L’Afrique représente clairement un espace de développement pour les entreprises marocaines. «Le Burkina Faso apparaît comme le pays qui présente le plus d’opportunités de développement à l’échelle africaine», insiste le PDG. Les pays voisins traversent des tensions politiques et économiques ou sont difficiles d’accès. Ouagadougou a un régime politique relativement stable et une économie en pleine croissance. D’autant plus que les médias dans ce pays sont au début d’un processus de modernisation auquel L’Economiste peut apporter beaucoup. Le siège et la rédaction de L’Economiste Burkina Faso sont en plein centre-ville de Ouagadougou. La publication sera hebdomadaire et répondra aux mêmes normes de qualité et standards de la maison mère, L’Economiste. Pour rappel, le premier quotidien économique du Maroc est l’un des rares journaux certifiés ISO 9001 Version 2000. Ce qui se traduira par une même maquette au Burkina, un même esprit d’analyse et une même rigueur dans le traitement de l’information. Le tout sur fond de recoupements systématiques et un souci de donner du sens aux indicateurs et aux chiffres. Une technique rodée et imparable qui a fait de L’Economiste un label africain, voire international. La concrétisation du projet s’est faite par la création d’une filiale dotée d’un capital de 3 millions de DH. La nouvelle structure emploiera une vingtaine de personnes entre journalistes, commerciaux et techniciens/infographistes. Un mois avant le lancement, les cadres dirigeants du nouveau support suivent une formation accélérée dans les locaux de L’Economiste pour s’imprégner de la culture maison, de l’esprit et des valeurs du groupe, de la ligne éditoriale, des effets de synergie, de la réactivité et de la dynamique induite. Difficile pour l’instant d’avoir une estimation précise sur le tirage à terme, mais le groupe table dès les premiers mois sur une moyenne de 10.000 exemplaires par semaine. Un chiffre en parfaite corrélation avec les études réalisées et les données du marché burkinabé.
Le groupe ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. «Le Burkina Faso lui servira de base pour s’étendre vers d’autres pays d’Afrique aussi porteurs comme la Côte d’Ivoire, le Gabon ou encore le Sénégal», annonce le PDG. Des projets qui pourront se faire dans le cadre de partenariats.
De nombreux projets de développement
2013 s’annonce riche en déploiements. Le groupe Eco-Médias compte poursuivre activement son développement structurel et sociétal. Après L’Economiste, Assabah, Atlantic Radio et l’Ecole supérieure de journalisme et de communication (ESJC), le groupe vient de publier un nouveau mensuel, Les Documents de L’Economiste. Il est aussi question d’un partenariat international avec un groupe de référence pour des projets au Maroc. En plus de l’aventure africaine avec le développement du modèle de L’Economiste au Burkina Faso «Pays des Hommes Intègres», d’autres projets de diversification métiers sont dans le pipe, confirmant ainsi la volonté du groupe de poursuivre sa mission d’information au service des lecteurs.
leconomiste
CÔTE D’IVOIRE, GABON, SÉNÉGAL… D’AUTRES PROJETS EN ROUTE
Juste après avoir célébré son 21 anniversaire, L’Economiste (le premier quotidien économique du Maroc) entame un tournant majeur dans son histoire. Le média incontournable du milieu des affaires s’internationalise. Après les banques, les télécoms, les cimenteries, les laboratoires pharmaceutiques, les TIC… Eco-Médias est ainsi le 1er groupe de presse marocain qui ose l’aventure africaine.
L’internationalisation s’impose comme une évidence pour le groupe. La première étape de toute une stratégie de développement en Afrique démarre bientôt au Burkina Faso. «Nous avons acquis une expérience et un savoir-faire en matière de médias qui ont permis au groupe de se développer en interne. Aujourd’hui, d’autres opportunités se présentent à nous à l’échelle internationale», explique Abdelmounaïm Dilami, président-directeur général du groupe.
L’entreprise de presse édite deux quotidiens de renom et une radio économique: L’Economiste et Assabah, Atlantic Radio. Elle a aussi un savoir-faire reconnu sur le Web. «Un groupe média ne peut pas se contenter d’exister. Il doit constamment chercher à s’étendre parce que les différents supports génèrent des synergies», tient à préciser Dilami. En fait, le choix de l’Afrique est venu suite à une étude du contexte économique global de la région. Crise en Europe, instabilité au Maghreb et un Moyen-Orient qui traverse un contexte particulier… L’Afrique représente clairement un espace de développement pour les entreprises marocaines. «Le Burkina Faso apparaît comme le pays qui présente le plus d’opportunités de développement à l’échelle africaine», insiste le PDG. Les pays voisins traversent des tensions politiques et économiques ou sont difficiles d’accès. Ouagadougou a un régime politique relativement stable et une économie en pleine croissance. D’autant plus que les médias dans ce pays sont au début d’un processus de modernisation auquel L’Economiste peut apporter beaucoup. Le siège et la rédaction de L’Economiste Burkina Faso sont en plein centre-ville de Ouagadougou. La publication sera hebdomadaire et répondra aux mêmes normes de qualité et standards de la maison mère, L’Economiste. Pour rappel, le premier quotidien économique du Maroc est l’un des rares journaux certifiés ISO 9001 Version 2000. Ce qui se traduira par une même maquette au Burkina, un même esprit d’analyse et une même rigueur dans le traitement de l’information. Le tout sur fond de recoupements systématiques et un souci de donner du sens aux indicateurs et aux chiffres. Une technique rodée et imparable qui a fait de L’Economiste un label africain, voire international. La concrétisation du projet s’est faite par la création d’une filiale dotée d’un capital de 3 millions de DH. La nouvelle structure emploiera une vingtaine de personnes entre journalistes, commerciaux et techniciens/infographistes. Un mois avant le lancement, les cadres dirigeants du nouveau support suivent une formation accélérée dans les locaux de L’Economiste pour s’imprégner de la culture maison, de l’esprit et des valeurs du groupe, de la ligne éditoriale, des effets de synergie, de la réactivité et de la dynamique induite. Difficile pour l’instant d’avoir une estimation précise sur le tirage à terme, mais le groupe table dès les premiers mois sur une moyenne de 10.000 exemplaires par semaine. Un chiffre en parfaite corrélation avec les études réalisées et les données du marché burkinabé.
Le groupe ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. «Le Burkina Faso lui servira de base pour s’étendre vers d’autres pays d’Afrique aussi porteurs comme la Côte d’Ivoire, le Gabon ou encore le Sénégal», annonce le PDG. Des projets qui pourront se faire dans le cadre de partenariats.
De nombreux projets de développement
2013 s’annonce riche en déploiements. Le groupe Eco-Médias compte poursuivre activement son développement structurel et sociétal. Après L’Economiste, Assabah, Atlantic Radio et l’Ecole supérieure de journalisme et de communication (ESJC), le groupe vient de publier un nouveau mensuel, Les Documents de L’Economiste. Il est aussi question d’un partenariat international avec un groupe de référence pour des projets au Maroc. En plus de l’aventure africaine avec le développement du modèle de L’Economiste au Burkina Faso «Pays des Hommes Intègres», d’autres projets de diversification métiers sont dans le pipe, confirmant ainsi la volonté du groupe de poursuivre sa mission d’information au service des lecteurs.
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