APS
ALGER - Le groupe de "partis et organisations pour la défense de la mémoire et de la souveraineté", a appelé mercredi à Alger, "à faire front" contre les risques que pourrait générer l’intervention militaire au Mali.
Au cours d’une conférence de presse tenue au siège du Mouvement de la Société pour la paix (MSP), les présidents des partis et des organisations se réclamant de ce groupe ont souligné "la nécessité pour la classe politique de se mobiliser pour faire face aux dangers qui guettent l’Algérie du fait des répercussions de la guerre prévalant dans la région du Sahel, et de se concerter en vue d’adopter une position unifiée et harmonieuse pour la défense de la souveraineté nationale", mettant en garde contre les conséquences d’une guerre "qui ne concerne pas l’Algérie ".
A ce propos, le président du MSP Boudjerra Soltani a souligné que la situation que traverse actuellement la région "en appelle plus que jamais à une unité de vision et de discours et au renforcement du Front national".
M. Soltani a salué d’autre part les forces de l’armée nationale populaire "qui ont sauvé le maximum de vies humaines" lors de l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine, à In Amenas (W. Illizi).
Citant les formations politiques qui se sont constituées en "Groupe de partis et d’organisations pour la défense de la mémoire et de la souverain nationale" tels le MSP, le parti Ennahda, le Front national algérien (FNA), El-fedjr-El-Djedid, et autres, M. Soltani a indiqué qu’une conférence regroupant ces partis est prévue le 18 février prochain pour donner plus de détails sur la démarche de ce Groupe.
Le président du parti El-Fedjt El Djedid, Benbaibache Tahar a estimé de son côté que l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine "est la conséquence de l’intervention militaire française au Mali", exhortant le Gouvernement algérien "à ne s’en tenir qu’à ses positions constantes inspirées de la déclaration de novembre, dont la non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui".
ALGER - Le groupe de "partis et organisations pour la défense de la mémoire et de la souveraineté", a appelé mercredi à Alger, "à faire front" contre les risques que pourrait générer l’intervention militaire au Mali.
Au cours d’une conférence de presse tenue au siège du Mouvement de la Société pour la paix (MSP), les présidents des partis et des organisations se réclamant de ce groupe ont souligné "la nécessité pour la classe politique de se mobiliser pour faire face aux dangers qui guettent l’Algérie du fait des répercussions de la guerre prévalant dans la région du Sahel, et de se concerter en vue d’adopter une position unifiée et harmonieuse pour la défense de la souveraineté nationale", mettant en garde contre les conséquences d’une guerre "qui ne concerne pas l’Algérie ".
A ce propos, le président du MSP Boudjerra Soltani a souligné que la situation que traverse actuellement la région "en appelle plus que jamais à une unité de vision et de discours et au renforcement du Front national".
M. Soltani a salué d’autre part les forces de l’armée nationale populaire "qui ont sauvé le maximum de vies humaines" lors de l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine, à In Amenas (W. Illizi).
Citant les formations politiques qui se sont constituées en "Groupe de partis et d’organisations pour la défense de la mémoire et de la souverain nationale" tels le MSP, le parti Ennahda, le Front national algérien (FNA), El-fedjr-El-Djedid, et autres, M. Soltani a indiqué qu’une conférence regroupant ces partis est prévue le 18 février prochain pour donner plus de détails sur la démarche de ce Groupe.
Le président du parti El-Fedjt El Djedid, Benbaibache Tahar a estimé de son côté que l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine "est la conséquence de l’intervention militaire française au Mali", exhortant le Gouvernement algérien "à ne s’en tenir qu’à ses positions constantes inspirées de la déclaration de novembre, dont la non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui".
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