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L'attaque en Algérie entraîne des mesures antiterroristes de l'UA

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  • L'attaque en Algérie entraîne des mesures antiterroristes de l'UA

    L'Union africaine (UA) a promis, le mardi 22 janvier, une réponse ferme à la meurtrière attaque terroriste en Algérie, a fait savoir l'agence PANA.

    "L'engagement de six pays montre que cette affaire a pris une dimension réellement multinationale. L'Afrique se doit de répondre", a déclaré le commissaire pour la paix et la sécurité Ramtane Lamamra avant le sommet de l'UA prévu cette semaine à Addis Abeba.

    Le président en exercice de l'Union, Nkosazana Dlamini-Zuma, a également condamné la mort des otages dans le complexe gazier d'In Anemas, déclarant que cet "acte odieux" commis durant le week-end venait confirmer les préoccupations de l'UA à propos de la propagation du terrorisme dans la région du Sahel-Sahara.

    Le prochain sommet de l'UA sera consacré au renforcement de la coopération en matière de lutte antiterroriste entre les Etats africains. L'Union étudiera un plan en trois points : la formation de forces supplémentaires pour lutter contre les menaces grandissantes du terrorisme islamiste, l'élargissement des législations antiterroristes, et le renforcement des échanges d'informations entre les gouvernements.

  • #2
    Salam, Bonsoir


    Jeuneafrique.com :: Il faut réformer l'Union africaine !

    24/01/2013 à 16h:35 Cheikh Tidiane Gadio

    Ancien ministre des Affaires étrangères du Sénégal, Cheikh Tidiane Gadio est président de l'Institut panafricain de stratégies.

    L'arrivée de Nkosazana Dlamini-Zuma à la tête de la Commission de l'Union africaine (UA) traduit-elle une volonté de la première puissance du continent d'accepter enfin d'exercer son leadership en Afrique ? Si c'était le cas, ce serait une bonne nouvelle ! En effet, l'Afrique du Sud, alliée dans le cadre des Brics à quatre mastodontes, dont trois sont des États fédéraux (Inde, Brésil et Russie), a bien compris que le XXIe siècle appartenait aux global players, aux grands ensembles candidats au statut de puissance mondiale. Elle a aussi saisi l'importance de ce que Cheikh Anta Diop avait commencé à prêcher dans les années 1950 : que l'urgence est « de faire basculer l'Afrique, une bonne fois pour toutes, sur la pente de son destin fédéral » !

    Parce qu'elle a connu l'apartheid et les années d'exil, puis les lourdes responsabilités de ministre de la Santé dans un pays ravagé par le sida, avant de devenir la première femme à occuper, en Afrique du Sud, les fonctions de ministre des Affaires étrangères puis de l'Intérieur, Nkosazana Dlamini-Zuma a un caractère bien trempé. Elle saura relever les défis qui assaillent le continent. Sa tâche toutefois sera difficile, tant la présidence de la Commission de l'UA rappelle ce champion de lutte que l'on a préparé à un combat historique, mais à qui on a pris soin, avant de le lâcher dans l'arène, d'attacher les mains dans le dos tout en lui disant bonne chance. J'ai, dans le passé, été témoin des immenses frustrations ressenties par mes aînés et amis Amara Essy, Alpha Oumar Konaré et Jean Ping. Tous ont incarné jusqu'à la caricature ce lutteur aux poings liés.

    En vérité, ce poste a été conçu dans un format qui mène fatalement à la paralysie. Comment peut-on avoir 54 patrons, 54 chefs d'État qui peuvent, individuellement ou collectivement, vous convoquer, vous sermonner et vous réprimander ? Comment diriger un vice-président et des commissaires qui tirent tous leur légitimité d'une élection avalisée par les chefs d'État ?

    "Lourd boulet que celui que Dlamini-Zuma, la présidente de la Commission, a reçu en héritage."
    La présidence Zuma doit malgré tout signer une rupture profonde, qui commencera forcément par la réforme de la Commission, par la modification du mode de recrutement de ses membres, des critères de performance opposables aux commissaires et aux autres employés, et par le droit à se séparer d'un collaborateur incapable de remplir ses tâches.
    Alors que 30 000 fonctionnaires sont employés par l'Union européenne, 700 personnes seulement, aux compétences parfois inégales, gèrent les problèmes d'un continent qui occupe plus de 70 % de l'agenda du Conseil de sécurité des Nations unies, à New York. C'est un problème.

    L'autre handicap majeur, c'est cette attitude qui consiste à dire qu'il faut « des solutions africaines aux problèmes africains ». Soit. Mais pourquoi se précipiter ensuite à Bruxelles pour financer « la solution africaine au problème africain » qu'est la nécessaire libération du Mali ?
    Nkosazana Dlamini-Zuma devra refuser de se transformer en sapeur-pompier continental, tentant d'éteindre un incendie après l'autre, courant de conflit en conflit. Pourtant de graves problèmes l'attendent : le Mali, aux prises avec le terrorisme ; l'éléphant RD Congo, toujours debout et renaissant mais continuellement blessé depuis 1960 ; le Soudan démantelé en deux États, tels des frères siamois que les chirurgiens peineraient à séparer ; la Somalie, en refondation mais toujours menacée par l'hydre terroriste ; la Côte d'Ivoire, où la réconciliation est difficile mais indispensable ; la chaise injustement vide du Maroc... Voici le boulet lourd que Mme Zuma a reçu en héritage.

    L'ayant « pratiquée » pendant près de dix ans, j'ai espoir - mieux : j'ai confiance - en sa capacité d'innovation et de rupture. L'UA connaîtra de profondes transformations sous sa présidence. Et puisque l'adage dit qu'un problème bien posé est à moitié résolu, elle a eu raison de placer « son » premier sommet sous le signe du « pan*africanisme et [de la] renaissance africaine ». Le problème de l'Afrique est de s'unir ou de périr, et c'est là un clin d'oeil historique à Nkrumah, Cheikh Anta Diop, Nyerere, Mohammed V et tous les autres... Le destin fédéral de l'Afrique que l'on croyait enterré est en train de renaître. Pour le plus grand bonheur des Africains.

    __________________________________________________ ______


    Tout d'abord des encouragements, s'ajoutant à celui ci, ne seront pas moins suffisants à toutes sortes d'allègements des poids hérités, c'est une évidence parfaite et complexe en la somme des mesures qu'ils évoquent justement depuis les 7 (sept) derniers mots de cet article, merci donc à chacun(e) de cette correspondance médiatique innovante partagée...,

    Il est à espérer que des hommes se poursuivent et s'ajoutent une "aide" indubitable et unanime à leurs plus communs, de leurs états, de leurs "voisins", de leurs unions, comme du bon sens et de l'Afrique, un peu oubliée à bien y réfléchir, et pour causes...

    En vérité, des "amendements Africains" seraient-ils une raison un sens ou un temps perdu(e) à tous postes...en tous cas la Paix est une Vérité et la Vérité est une Paix, comme pour ne rien perdre des vérités de la Paix, de l'Humanité s'ajoute-t-il bien naturellement à cette volonté Présidentielle et actuelle,...

    "il est toujours temps même si il n'est pas trop tôt" Afrique Nord

    Salam, merci...
    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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    • #3
      @aghbal

      @AGHBAL
      wach Hmar Mat , tu postes un article très intéressant ..

      une réponse ferme à la meurtrière attaque terroriste en Algérie, a fait savoir l'agence
      PANA. !
      PS :
      Une réponse a qui ?
      bien sur aux commendataires de cet acte " haineux " contre l humanité ..( des travailleurs étrangers innocents assassinés en Algérie par ces zombies assoiffés de sang en vu de déstabiliser l Algerie )

      Merci l Union Africaine , ainsi la communauté internationale ( dont les USA )
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        wach Hmar Mat , tu postes un article très intéressant ..
        houari

        De quel côté de la frontiére ?.

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        • #5
          oulah ila cette chose de l'AU me fait rire.

          cette zuma ete la femme numero combien de Zuma ? sinon elle est le numero combien de ces divorce ? .

          apres les enfants de kadaffoo c'est les femmes de zuma qui decide pour l'algerie et autre membre de l'AU ?? . .

          je vous dis goulo baz.

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          • #6
            Salam, Bonjour,

            le plus "intéressant" semble-t-il, demeure qu'il soit une réalité réactive, nécessaire, humaine, mise en partage de 54 états, donc peut être 54 "Raisons" d'apporter un sens à chacun(e), ou 54 "Sens" qui fassent rendre une raison aux mêmes, de par l'unité qu'ils représentent légitimement mondialement et conformément à une majorité d'avènements actuels et à venir...

            la critique est toujours la première à pointer ses diverses attitudes certes, il est droit de savoir "quand", "comment", "pourquoi", "où", tout cela se porte, mais le plus souvent elle ne résout rien dans ses durées, ou trop peu, pour ce que les ensembles se cherchent justement à moindre confusion, et vous savez sans doute que le "combien" se place tout aussi bien et chaque fois de la difficulté économique et diverse des complexes humano-historiques, et inversement...

            donc, et par exemple, sans ôter la valeur des deux premiers articles rapportés à ce topic, le boulet demeure en la critique que le Peuple ne figure point, ni du mot ni du représenté, du message et des sens à édifier de la dite "renaissance" Africaine, alors qu'IL est la base commune et la raison adéquate jamais disparues de leurs entités...

            Salam, merci...
            ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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