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La campagne anti BETCHINE bis

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  • La campagne anti BETCHINE bis

    En 1998 le DRS gêné par le Conseiller du Président, le général BETCHINE avait déclenché contre lui une vaste opération de déstabilisation. En particulier, tous les médias, qui sont contrôlés par les militaires, se sont déchaînés contre l’ex responsable de la sécurité de l’armée. Après près de 6 mois de polémique, ZEROUAL dut accepter la « démission » de son ami et homme de confiance, qui annonçait la sienne.

    Ces dernières semaines, nous avons assisté à la même campagne contre BOUTEFLIKA et ses hommes dans un climat de fin de règne. Notre Brizidane, il est vrai absent de la scène malgré les graves événements que l’Algérie a vécu, ne doit pas être au haut de sa forme.

    La guerre à nos frontières, avec celle qui existe entre les décideurs assombrissent notre horizon.

  • #2
    Le putsch a lieu après le limogeage du ministre des Affaires Etrangères, Abdelaziz Bouteflika
    http://www.ina.fr/fresques/jalons/fi...ntre-ben-bella

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    • #3
      KHORE
      La campagne anti BETCHINE bis
      En 1998 le DRS gêné par le Conseiller du Président, le général BETCHINE


      A HCHAM A3LA A3ARADEK YA WAHED

      Betchine a était à la tète de la DRS de 1988 à 1990 !!!!!!!!!!
      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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      • #4
        KHORE
        La guerre à nos frontières, avec celle qui existe entre les décideurs assombrissent notre horizon.
        La guerre ?????

        Pour le moment il n y a qu une seule guerre !!!! Celle qui a court sous le chapeau du tirailleur Sénégalais qui te sert d'avatar !!!!!!!!
        "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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        • #5
          AAROU
          Betchine était bel et bien conseiller chargé des affaires de sécurité, auprès du président Zeroual.
          Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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          • #6
            KHORE : mais ce que tu oublies c'est que zeroual est un homme de grande valeurs et de fierté n'est pas le seul président arabe qui a démissionné de son poste n'est ce pas le seul président arabe qui a osé la limitation des mandats !

            zeroual s'est retiré pas à cause du DRS ou autres généraux c'est parce qu'il était partisan de l'alternance au pouvoir contrairement à la momie qui veut mourir à son trône et qui essaie de donner sa place à sa famille

            Et déja tu parles de Betchine comme un homme propre alors qu'il était corrumpu dans l'import export comme bcq de généraux que ça soit de l'Etat major ou du DRS

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            • #7
              @AARROU
              Betchine a était à la tète de la DRS de 1988 à 1990 !!!!!!!!!!
              a la date citée BETCHINE avait remplacé LAKHAL AYAT à la têt du la DGSP qui avait elle même succédé à la fameuse DGSM.Ce n'est qu'après sa démission que les services de sécurité furent regroupés par NEZZAR sous le nom de DRS que le général confiera au Colonel MEDIENE.

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              • #8

                KHORE : mais ce que tu oublies c'est que zeroual est un homme de grande valeurs et de fierté n'est pas le seul président arabe qui a démissionné de son poste n'est ce pas le seul président arabe qui a osé la limitation des mandats !
                zeroual s'est retiré pas à cause du DRS ou autres généraux c'est parce qu'il était partisan de l'alternance au pouvoir contrairement à la momie qui veut mourir à son trône et qui essaie de donner sa place à sa famille
                Et déja tu parles de Betchine comme un homme propre alors qu'il était corrumpu dans l'import export comme bcq de généraux que ça soit de l'Etat

                ZEROUAL homme honnête remarquable, n'a démissionné que lorsqu'il s'était rendu compte qu'il ne gérait pas la situation et que le DRS lui cachait de nombreux dossiers sensibles. Sans oublier que 2 ans auparavent, le même DRS, comme le prouvera plus tard une enquête demandée par BOUTEFLIKA , avait assassiné le Général FODIL-ami comme BETCHINE de ZEROUAL- après avoir réussi à l'écarter d'une direction du dit service.

                en citant la campagne contre BETCHINE, je ne juge pas le général, je dénonce la pratique honteuse et indigne de services de l'état.
                Dernière modification par KHORE, 25 janvier 2013, 23h39.

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                • #9
                  Khore : exact zeroual avait bcq de problème avec le le drs mais tu oublies que le générale Lamari lui mettait pression , mais zeroual était un partisan de l'alternance lors de la révision de la constitution il avait même proposé un seul mandat non renouveable comme au mexique....

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                  • #10
                    @SAmyBEY
                    Khore : exact zeroual avait bcq de problème avec le le drs mais tu oublies que le générale Lamari lui mettait pression , mais zeroual était un partisan de l'alternance lors de la révision de la constitution il avait même proposé un seul mandat non renouveable comme au mexique....
                    il n'y a pas que ZEROUAL qui a des pb avec le DRS, toute l'Algérie est dans son cas

                    n'est-il pas alarmant de savoir que le chef du commando qui a assassiné FODIL, selon témoin et rapport de commission designée par la Présidence a été maintenu et promu. C'est le même meurtrier qui a dirigé le commando qui a pris d'assaut les terroristes d'In Aménas et qui avec son chef intriguent contre BOUTEF pour lui imposer ce qu'ils ont déjà décidé pour l'Algérie dans la guerre du Mali.

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                    • #11
                      Khore : je sais pas ce que tu as contre le DRS et l'armée algérienne mais je te signale que le DRS et L'ANP ont sauvé l'Algerie d'une grande catastrophe à Inamenas que l'Algerie ait connu depuis 62 , je pense pas que Bouteflika et son frère said auraient fait quelque chose alors ne te trompe pas de cible car je te rappelle que Bouteflika a autorisé les avions de guerre français a survolé le ciel algérien je crois que si boumédiene était sur terre il l'orait fait exécuté bouteflika pour cette haute trahison......

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                      • #12
                        ETTARGUI
                        AAROU
                        Betchine était bel et bien conseiller chargé des affaires de sécurité, auprès du président Zeroual.
                        Et c'est lui qui avec Chadli vont dissoudre l'ex-securite militaire et la fractionner en plusieurs services échappant au contrôle de l'armée.

                        C'est Khaled Nizar lorsqu'il deviendra ministre de la défense (1990) qui va recentrer les services de sécurité autour de la DRS .

                        Faut il rappeler que la DRS dépend du ministre de la défense ? Ou continuer dans des suppositions sans queue ni tète ???

                        Et quel rôle peux avoir un conseiller du président pour la sécurité ???

                        Quel à été l'apport de Betchine pour l'Algerie ? Éviter les événements de 1988? Ou la monté de l'intégrisme ?

                        Et cette soit disant compagne contre Betchine elle a été orchestré par qui ?

                        Il parait que selon certain ( ceux qui sont chaque soir avec les dieux à table pour dîner ) AL WATAN (le plus véhément contre Betchine ) est en fait la propriété des militaires ??

                        Pour MOI les mots Betchine et Chadli sont synonyme de incompétence
                        "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                        • #13
                          Envoyé par SamyBey
                          ...
                          zeroual s'est retiré pas à cause du DRS ou autres généraux
                          ...
                          Hélas, c'était bien le DRS qui avait réussi à faire démissionner Zéroual après une campagne féroce de déstabilisation couplée à une série d'attentats.

                          Souvenons-nous de la campagne médiatique contre Betchine, de l'assassinat d' Abdelhak Benhammouda dont c'est le quinzième triste anniversaire ( 28 janvier 1997 ), des massacres de Rais, de Bentalha et de beni messous en 1997.

                          Après ces massacres, Zeroual décide de mettre fin aux fonctions du général commandant de la première région militaire ( Said Bey ). Ce dernier a été envoyé en qualité d'ambassadeur auprès de l'OTAN.

                          Deux officiers,proches amis de Zeroual, liquidés parce que probablement préssentis en remplacement de Smain et de Toufik, l'un assassiné sur les hauteurs d'Alger à Birmandreiss et l'autre ( le général Saïdi Fodhil ) dans un pseudo accident de voiture à Ouargla.

                          A tout cela s'ajoute la déstabilisation de la Kabylie et l'assassinat de Matoub Lounès.

                          Cette déferlante macabre faisait suite à une décision importante du couple Zeroual-Betchine dans le cadre de la lutte anti-terroriste.

                          Betchine, vu l'ampleur de ses scandales, finit par démissionner.

                          Zéroual, pour des raisons qu'il est le seul à connaitre, finit par remettre aussi sa démission, un an et demi avant le terme de son mandat.

                          P.
                          Dernière modification par Pangeen, 26 janvier 2013, 04h53.

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                          • #14
                            Algeria's Hidden Hand

                            John R. Schindler* | January 22, 2013


                            __________________________________________________

                            * John R. Schindler is professor of national security affairs
                            at the Naval War College and chair of the Partnership for Peace’s Combating
                            Terrorism Working Group, as well as a former counterintelligence officer with
                            the National Security Agency. The views expressed here are entirely his own.
                            He blogs at The XX Committee.

                            __________________________________________________



                            The United States is deeply involved with a key Muslim partner in the struggle against jihadist terrorism. Although the relationship between the countries is superficially robust, encompassing years of military and intelligence cooperation and bolstered by American financial support, the inner workings of the relationship are seldom transparent to Washington. This is thanks to the dominant position of the country’s powerful military intelligence service, which is the backbone of the regime. This service often works at cross purposes to stated policy, sometimes actively opposing Western goals. At times, the service seems to be beyond the control of the civilian government and even the military chain of command. For the United States, it is a frustrating situation which seems beyond remedy.

                            That description encompasses the trying “frenemy” relationship that the United States has long enjoyed with Pakistan, thanks to that country’s notorious Inter-Services Intelligence (ISI), the spy service known to the Taliban as “the black snake.” Certainly the ISI has done much clandestinely to frustrate U.S. and NATO efforts in Afghanistan, as well as supported terrorism against India. Its reputation as a regional mayhem-maker, as well as the real power in Pakistan, is hard earned.

                            But the description also holds true for Algeria, a country whose prominent position in the global fight against Al-Qaeda is in the news again thanks to the rising war in neighboring Mali and the disastrous effort by Algeria’s military to rescue Western hostages, who had reportedly been seized by local jihadists.

                            Algeria, like Pakistan, has a military intelligence service, the Department of Intelligence and Security (DRS), whose remit far surpasses any Western security agency. The DRS is rightly seen as the regime’s backbone, with a powerbase beyond even the military. In a real sense, as in Pakistan, the military’s spies control much of the political system, functioning as a law unto themselves, committing human rights abuses and providing clandestine support for terrorist groups to further the service’s interests.

                            Although average Algerians are well aware of the might and unsavory habits of the DRS, which they know to be the base of the unpopular regime they call le pouvoir (“the power”), most foreigners seem remarkably unaware of how the country actually functions, to include many U.S. military and intelligence officers who partner with Algeria against terrorism. Unfortunately the debate about the DRS’s real role in the Maghreb is polemical, indeed Manichean, with émigré opponents of le pouvoir seeing its hidden hand behind nearly everything that happens north of the Sahara, while most Western experts seem content to avoid any real discussion of the DRS, viewing it as a sort of myth or “conspiracy theory” which need not be considered. That the former group is closer to the truth has not helped their credibility in the West, and only in France, the former colonial master, does the press offer reality-based coverage of Algerian affairs.

                            This is particularly important due to events unfolding in the Maghreb. Years of U.S. investment in the region, especially expensive efforts by the Pentagon’s Africa Command (AFRICOM) to build up Mali’s security forces, have failed dismally, and France has entered the fight to save a desperate situation. While concerns of a Jihadistan taking over much of the Sahel are overblown, Paris is right to worry about the impact of letting Al-Qaeda gain control of large tracts of West Africa. After years of warnings by AFRICOM that jihadists threaten the Sahel, the U.S. solution, predicated upon training local forces to do the hard work, has been found wanting—and the threat is now upon us.

                            Washington will be tempted to forge a closer partnership with Algiers to improve regional stability, to let the Algerian security forces do what we will not. Certainly the DRS has worked closely with U.S. intelligence since the 1990s, and its record in killing terrorists is second-to-none in the Maghreb. Yet how the DRS has done that is something which Washington seems reluctant to ask questions about. To be sure, its methods include tactics which the United Statesmust be careful about associating itself with, including sponsoring terrorist groups and committing human rights abuses on an industrial scale.

                            Given how often over the past twenty years Western hostage dramas have been exploited by the Algerian regime—meaning the DRS—for political effect, it’s time to start asking questions about what Algiers is really up to across the region. To what extent does the DRS continue to clandestinely support terrorism, as it did in the 1990s, as a weapon to discredit political Islam? It was a tactic that worked successfully but cost tens of thousands of civilian lives. There is ample evidence that the DRS maintains control of at least some of the jihadist bandit-groups operating under the rubric of Al-Qa’ida in the Islamic Maghreb (AQIM) across the Sahel.


                            The Algerian regime recently celebrated fifty years of its rule after France granted the country independence, and le pouvoir shows no signs of joining the Arab Spring and allowing free and fair elections. So far, Algeria has missed the wave of democratization that has swept the region, but one wonders how much longer change can be held off, even by force. Fearing that the military, which has many conscripts, might not be willing to openly fight the Algerian people, the regime is more dependent than ever on the DRS to maintain control over the country and the region by any means necessary.

                            If anything, thanks to the KGB training of many of its senior officers, the DRS is even more adept at provocation, disinformation, and dirty tricks than Pakistan’s ISI, which is no slouch in such dark arts. As the United States and the West move to direct involvement in combating jihadists in North Africa, a dispassionate assessment is needed. Washington must know exactly what is going on before it can decide how closely it should ally itself with a regime and an intelligence service that have a great deal of blood on their hands.

                            In Afghanistan and Pakistan, the United States and NATO continue to be held hostage to the ISI’s agenda. It would be a grave mistake to repeat this strategic error and find ourselves held hostage in the Maghreb by the Algerian DRS and its surrogates.
                            كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

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                            • #15
                              @ lombardia
                              encore merci pour ce texte dont je joins le google français

                              Les Etats-Unis sont profondément impliqués avec un partenaire clé musulmane dans la lutte contre le terrorisme djihadiste. Bien que la relation entre les deux pays est superficiellement robuste, période qui se situe de coopération militaire et de renseignement et renforcées par un soutien financier américain, les rouages ​​de la relation sont rarement transparentes à Washington. C'est grâce à la position dominante de la puissante service de renseignement militaire, qui est l'épine dorsale du régime. Ce service travaille souvent à contre-courant de la politique déclarée, parfois en s'opposant activement objectifs occidentaux. À certains moments, le service semble être hors du contrôle du gouvernement civil et même la chaîne de commandement militaire. Aux États-Unis, c'est une situation frustrante qui semble irrémédiable.

                              Cette description englobe l'essayer "frenemy« relation que les Etats-Unis ont longtemps joui avec le Pakistan, grâce à notoire de ce pays Inter-Services Intelligence (ISI), les services d'espionnage connu pour les talibans comme "le serpent noir." Certes, l'ISI a beaucoup fait clandestinement pour contrecarrer les efforts des États-Unis et de l'OTAN en Afghanistan, ainsi que le terrorisme soutenu contre l'Inde. Sa réputation en tant que fabricant de chaos régional, ainsi que le pouvoir réel au Pakistan, est durement gagné.

                              Mais la description est également vrai pour l'Algérie, un pays dont l'éminent position dans la lutte mondiale contre Al-Qaïda est dans les nouvelles à nouveau grâce à la guerre en hausse dans les pays voisins du Mali et l'effort désastreuse par les militaires de l'Algérie à sauver des otages occidentaux, qui aurait été saisis par les djihadistes locaux.

                              Algérie, comme le Pakistan, dispose d'un service de renseignement militaire, le Département du renseignement et de la sécurité (DRS), dont la mission dépasse de loin toute agence de sécurité occidentale. Le DRS est à juste titre considérée comme l'épine dorsale du régime, avec un powerbase au-delà même de l'armée. Dans un sens réel, comme au Pakistan, les espions de l'armée contrôlent une grande partie du système politique, fonctionnant comme une loi pour eux-mêmes, commis des violations des droits de l'homme et de fournir un soutien clandestin aux groupes terroristes pour servir les intérêts du service.

                              Bien que les Algériens moyens sont bien au courant des habitudes peu recommandables et peut-être du DRS, qu'ils savent être la base du régime impopulaire qu'ils appellent Le Pouvoir («le pouvoir»), la plupart des étrangers semblent remarquablement pas au courant de la façon dont le pays fonctionne réellement, d'inclure de nombreux militaires américains et des agents du renseignement qui partenaires avec l'Algérie contre le terrorisme. Malheureusement, le débat sur le rôle réel du DRS dans le Maghreb est polémique, voire manichéenne, avec des adversaires émigrés de Le Pouvoir voyant sa main cachée derrière presque tout ce qui se passe au nord du Sahara, alors que la plupart des experts occidentaux semblent se contenter d'éviter toute discussion réelle de la DRS, la considérant comme une sorte de mythe ou «théorie du complot» qui ne doivent pas être pris en considération. Que le premier groupe est plus proche de la vérité n'a pas aidé leur crédibilité dans l'Ouest, et seulement en France, l'ancienne puissance coloniale, est-ce l'offre de presse axée sur la réalité la couverture des affaires algériennes.

                              Ceci est particulièrement important en raison des événements qui se déroulent dans les pays du Maghreb. Années d'investissement américain dans la région, en particulier les efforts coûteux par le Pentagone pour l'Afrique (AFRICOM) à constituer des forces de sécurité du Mali, ont lamentablement échoué, et la France est entré dans le combat pour sauver une situation désespérée. Bien que les préoccupations d'un Jihadistan prenant une grande partie du Sahel sont exagérées, Paris a raison de s'inquiéter de l'impact de la laisser prendre le contrôle d'Al-Qaïda de vastes étendues de l'Afrique occidentale. Après des années de mises en garde de l'AFRICOM que les djihadistes menacent le Sahel, la solution américaine, fondée sur la formation des forces locales pour faire le travail difficile, a été pris en défaut et la menace est maintenant sur nous.

                              Washington va être tenté de forger un partenariat plus étroit avec Alger pour améliorer la stabilité régionale, de laisser les forces de sécurité algériennes faire ce que nous ne ferons pas. Certes, la DRS a travaillé en étroite collaboration avec les services secrets américains depuis les années 1990, et son record en tuant des terroristes est en second lieu à aucun dans le Maghreb. Mais comment le DRS a fait c'est quelque chose que Washington semble hésiter à poser des questions. Pour être sûr, ses méthodes comprennent la tactique qui l'Statesmust-Unis nécessitant une attention particulière en s'associant avec, notamment le parrainage des groupes terroristes et atteintes aux droits humains à l'échelle industrielle.

                              Compte tenu de la fréquence au cours des vingt dernières années, les drames d'otages occidentaux ont été exploités par le régime algérien-dire le DRS-à des fins politiques, il est temps de commencer à poser des questions sur ce que Alger est vraiment à travers la région.Dans quelle mesure le DRS continuent de soutenir le terrorisme dans la clandestinité, comme il l'a fait dans les années 1990, comme une arme pour discréditer l'islam politique? C'était une tactique qui a travaillé avec succès, mais a coûté des dizaines de milliers de vies civiles. Il est amplement prouvé que le DRS maintient le contrôle d'au moins une partie des djihadistes bandit-groupes opérant sous la rubrique d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) dans le Sahel.


                              Le régime algérien a récemment célébré 50 années de son règne, après la France a accordé l'indépendance du pays, et Le Pouvoir ne montre aucun signe de rejoindre le printemps arabe et permettant des élections libres et équitables. Jusqu'à présent, l'Algérie a raté la vague de démocratisation qui a déferlé sur la région, mais on peut se demander combien de temps encore le changement peut être tenu hors tension, même par la force. Craignant que l'armée, qui a de nombreux appelés, pourraient ne pas être prêts à combattre ouvertement le peuple algérien, le régime est plus dépendant que jamais sur le DRS pour maintenir le contrôle du pays et de la région par tous les moyens nécessaires.

                              Si quoi que ce soit, grâce à la formation du KGB de plusieurs de ses officiers supérieurs, le DRS est encore plus habile à tours de provocation, de désinformation et sale que l'ISI du Pakistan, qui n'est pas en reste dans ces arts sombres. Comme les États-Unis et le passage à l'Ouest implication directe dans la lutte contre les djihadistes en Afrique du Nord, une évaluation impartiale est nécessaire. Washington doit savoir exactement ce qui se passe avant qu'il puisse décider dans quelle mesure elle doit s'allier avec un régime et un service de renseignement qui ont beaucoup de sang sur les mains.

                              En Afghanistan et au Pakistan, les Etats-Unis et l'OTAN continuent à être l'otage de l'ordre du jour de l'ISI. Ce serait une grave erreur que de répéter cette erreur stratégique et nous nous trouvons pris en otage au Maghreb par le DRS algérienne et de ses substituts.

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