"Le Conseil d’administration du FMI félicite l’Algérie pour les solides résultats économiques qu’elle a continué à enregistrer en dépit d’une conjoncture internationale difficile".
C’est ce qu’informe une note rendue publique par le FMI à l’issue d’une réunion tenue par son Conseil d’administration vendredi. Cette réunion avait pour objet d’établir un bilan annuel relatif à chacun des pays membres du fonds.
Quelques jours plus tôt, le FMI avait prévu une croissance du PIB de l’Algérie de 3,4% en 2013 contre 2,5% en 2012. La Banque mondiale avait également annoncé ce même taux concernant l’Algérie. La même institution prévoit 3,8% pour l’année 2014 contre 4,3% pour 2015.
Il s’agit globalement d’une révision à la hausse des taux annoncés précédemment par cette banque, notamment en ce qui concerne les années 2013 et 2014. Les taux prévus initialement étaient respectivement de 3,2 et 3,6%. Pour le FMI, la progression prévue pour l’Algérie est soutenue par la demande intérieure et la reprise du secteur des hydrocarbures.
Cependant, le FMI estime que l’Algérie serait "vulnérable à un repli prolongé des cours du pétrole, à une hausse des prix internationaux de produits alimentaires (notamment du blé), à une détérioration de l’économie mondiale, en particulier dans la zone euro, et aux pressions grandissantes dans le pays pour que soit utilisée la rente provenant des hydrocarbures".
Cette institution préconise une diversification de l’économie algérienne tout en améliorant le climat des affaires afin d’encourager l’investissement.FMI
C’est ce qu’informe une note rendue publique par le FMI à l’issue d’une réunion tenue par son Conseil d’administration vendredi. Cette réunion avait pour objet d’établir un bilan annuel relatif à chacun des pays membres du fonds.
Quelques jours plus tôt, le FMI avait prévu une croissance du PIB de l’Algérie de 3,4% en 2013 contre 2,5% en 2012. La Banque mondiale avait également annoncé ce même taux concernant l’Algérie. La même institution prévoit 3,8% pour l’année 2014 contre 4,3% pour 2015.
Il s’agit globalement d’une révision à la hausse des taux annoncés précédemment par cette banque, notamment en ce qui concerne les années 2013 et 2014. Les taux prévus initialement étaient respectivement de 3,2 et 3,6%. Pour le FMI, la progression prévue pour l’Algérie est soutenue par la demande intérieure et la reprise du secteur des hydrocarbures.
Cependant, le FMI estime que l’Algérie serait "vulnérable à un repli prolongé des cours du pétrole, à une hausse des prix internationaux de produits alimentaires (notamment du blé), à une détérioration de l’économie mondiale, en particulier dans la zone euro, et aux pressions grandissantes dans le pays pour que soit utilisée la rente provenant des hydrocarbures".
Cette institution préconise une diversification de l’économie algérienne tout en améliorant le climat des affaires afin d’encourager l’investissement.FMI
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