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Forexpros - Les options sur le brut ont tenu leur rang aux abords d'un sommet de plusieurs mois ce lundi, soutenues par l'optimisme concernant la santé de l'économie du globe.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.85 USD le baril en première partie de séance européenne, ne présentant quasiment aucune évolution.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 95.78 USD, leur cours le plus bas du jour, et 95.85 USD, leur meilleur, après avoir atteint 96.9 USD le 23 janvier, leur valeur la plus élevée en quatre mois.
Les belles performances économiques continuaient en effet à leur santé, notamment après qu'il ait été révélé hier que les bénéfices des plus grosses compagnies industrielles chinoises avaient bondi de 17.3% pour culminer à 895 milliards de CNY.
Ces bons résultats ont confirmé les signes relance du pays, dont la voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
L'entrain des Etats-Unis sur ce front était désormais l'objet de toutes les attentions, dans l'expectative cet après-midi de leur volume des commandes de biens durables, après quoi les acteurs de l'immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements en cours.
L'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée mercredi sera attendue impatiemment, de même que le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi.
L'emploi est surveillé de près par les spécialistes car il permet d'évaluer la vigueur du premier consommateur mondial.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera aussi sur toutes les lèvres, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Les yeux seront aussi tournés vers l'oléoduc Seaway, qui s'est trouvé la semaine passée forcé de réduire son débit vers le terminal du Golfe du Mexique, ainsi que vers les tensions géopolitiques au Moyen-Orient.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont chuté de 0.4% pour glisser à 112.87 USD du baril dans le même temps, soit 17.02 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.85 USD le baril en première partie de séance européenne, ne présentant quasiment aucune évolution.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 95.78 USD, leur cours le plus bas du jour, et 95.85 USD, leur meilleur, après avoir atteint 96.9 USD le 23 janvier, leur valeur la plus élevée en quatre mois.
Les belles performances économiques continuaient en effet à leur santé, notamment après qu'il ait été révélé hier que les bénéfices des plus grosses compagnies industrielles chinoises avaient bondi de 17.3% pour culminer à 895 milliards de CNY.
Ces bons résultats ont confirmé les signes relance du pays, dont la voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
L'entrain des Etats-Unis sur ce front était désormais l'objet de toutes les attentions, dans l'expectative cet après-midi de leur volume des commandes de biens durables, après quoi les acteurs de l'immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements en cours.
L'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée mercredi sera attendue impatiemment, de même que le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi.
L'emploi est surveillé de près par les spécialistes car il permet d'évaluer la vigueur du premier consommateur mondial.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera aussi sur toutes les lèvres, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Les yeux seront aussi tournés vers l'oléoduc Seaway, qui s'est trouvé la semaine passée forcé de réduire son débit vers le terminal du Golfe du Mexique, ainsi que vers les tensions géopolitiques au Moyen-Orient.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont chuté de 0.4% pour glisser à 112.87 USD du baril dans le même temps, soit 17.02 USD de mieux que leurs homologues américaines.
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