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Possible reprise du contrat du GNL

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  • Possible reprise du contrat du GNL

    Le ministre belge des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et des affaires européennes, Didier Reynders, est attendu à Alger les 11 et 12 février prochain. Des discussions sur la reprise de la commercialisation du gaz naturel liquéfié (GNL) seront à l’ordre du jour.



    C’est ce que nous a affirmé l’ambassadeur du royaume de Belgique en Algérie, Frédéric Meurice, dans un entretien accordé à l’Eco Magazine, à lire intégralement dans sa prochaine édition. Pour rappel, M. Didier Reynders avait déjà effectué une visite à Alger en juillet dernier, lors de laquelle il a rencontré son homologue algérien, Mourad Medelci.

    Aussi et à l’issue de son entretien avec le ministre de l’énergie et des mines, Youcef Yousfi, le ministre belge avait annoncé « une possibilité de relancer le contrat de commercialisation du GNL avec l’Algérie ». Notrons qu’un contrat de GNL remontant à 1975 a été signé entre la société nationale des hydrocarbures, Sonatrach et la société de distribution belge Distrigaz pour une durée de 20 ans renouvelables. Le contrat entré en vigueur en 1987 prévoyait initialement la livraison de 5 milliards de mètres cubes de GNL à partir de l’Algérie au terminal de Zeebrugge.

    En 2007, quand la date d’expiration du contrat en question arrivait, Bruxelles s’est tourné vers d’autres fournisseurs : la Suède et le Quatar. La société de distribution belge Distrigaz avait conclu alors un contrat avec la société qatarie Rasgaz pour la livraison de 2,75 milliards de mètres cubes de GNL pour une durée de 20 ans. Ce qui a déplu aux Algériens puisque la Belgique importait 20% de ses besoins à partir de notre pays pour un montant de près de 1,5 million d’euros (facture globale des hydrocarbures en 2011).

    Néanmoins et selon l’ambassadeur de Belgique à Alger, Bruxelles est de nouveau intéressée par le GNL algérien et ce dans la cadre de la réorientation de sa politique énergétique fixant comme objectif l’arrêt du programme nucléaire à l’horizon 2025 et diversifier ses fournisseurs d’énergie dont l’Algérie. Par ailleurs, la coopération dans d’autres secteurs d’activités sera au menu de la visite du ministre des affaires étrangères belge.

    Outre son homologue Medelci et le ministre de l’énergie Yousfi, l’hôte d’Alger rencontrera le ministre des transports, Amar Tou. Selon notre interlocuteur « la Belgique détient un savoir-faire consistant dans le domaine des transports ferroviaires et urbains que nous voulons partager ave les algériens ». Aussi, le secteur de la santé peut être un vecteur de partenariat entre les deux pays, ajoute le diplomate belge. Reste à noter que la date de la visite n’est pas encore confirmée de manière définitive par la partie algérienne. Fatima Bouhaci

  • #2
    bonne nouvelle !

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