Non autorisé à utiliser la ligne Amman-Beyrouth, des avions algériens chargés d’aides humanitaire ne décollent pas.
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L’Algérie n’a pas réussi à obtenir l’approbation des Nations Unies pour utiliser la ligne aérienne Amman-Beyrouth ce qui a empêché les quatre avions militaires chargés de 90 tonnes d’aides humanitaires, qui devaient être envoyées à Beyrouth en solidarité avec les victimes des bombardements, de décoller de l’aéroport de Boufarik où ils se trouvent depuis Jeudi dernier situation qui va durer pendant au moins deux jours.
Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité Nationale, Djamel Oueld Abbés, a révélé que les quatre avions de l’Armée Populaire Nationale sont toujours à l’aéroport militaire et il a indiqué par téléphone à El Khabar que les avions ne décolleraient pas avant deux jours ou plus. Ceci revient, selon lui, au fait que le Gouvernement Algérien n’ait pas obtenu l’approbation des Nations Unies pour utiliser le couloir aérien Amman-Beyrouth qui est très sûr et destiné au convoi des aides humanitaires internationales ce qui va retarder l’envoi des avions et de la délégation médicale composée de 13 médecins et psychologues, affirmant que l’Algérie ne voulait pas se précipiter et décoller vers l’aéroport de Amman sans une approbation officielle car les avions risquent d’attendre dans un aéroport étranger.
L’Algérie ne veut pas renouveler l’aventure de transporter les aides par voie terrestre car cette expérience a prouvé qu’elle n’était pas efficace et qu’elle prenait beaucoup trop de temps, et elle ne garantie même pas l’arrivée des aides des médicaments surtout ceux des enfants sachant que le délégation médicale a pour slogan « sauvons les enfants de Beyrouth », en plus de dizaines de tonnes de produits alimentaires, produits d’entretien, 1500 couvertures, 100 tentes qui viennent d’ajouter à 300 autres qui ont été envoyées avec la première délégation lors de la première semaine de l’agression.
- El KHabar
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L’Algérie n’a pas réussi à obtenir l’approbation des Nations Unies pour utiliser la ligne aérienne Amman-Beyrouth ce qui a empêché les quatre avions militaires chargés de 90 tonnes d’aides humanitaires, qui devaient être envoyées à Beyrouth en solidarité avec les victimes des bombardements, de décoller de l’aéroport de Boufarik où ils se trouvent depuis Jeudi dernier situation qui va durer pendant au moins deux jours.
Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité Nationale, Djamel Oueld Abbés, a révélé que les quatre avions de l’Armée Populaire Nationale sont toujours à l’aéroport militaire et il a indiqué par téléphone à El Khabar que les avions ne décolleraient pas avant deux jours ou plus. Ceci revient, selon lui, au fait que le Gouvernement Algérien n’ait pas obtenu l’approbation des Nations Unies pour utiliser le couloir aérien Amman-Beyrouth qui est très sûr et destiné au convoi des aides humanitaires internationales ce qui va retarder l’envoi des avions et de la délégation médicale composée de 13 médecins et psychologues, affirmant que l’Algérie ne voulait pas se précipiter et décoller vers l’aéroport de Amman sans une approbation officielle car les avions risquent d’attendre dans un aéroport étranger.
L’Algérie ne veut pas renouveler l’aventure de transporter les aides par voie terrestre car cette expérience a prouvé qu’elle n’était pas efficace et qu’elle prenait beaucoup trop de temps, et elle ne garantie même pas l’arrivée des aides des médicaments surtout ceux des enfants sachant que le délégation médicale a pour slogan « sauvons les enfants de Beyrouth », en plus de dizaines de tonnes de produits alimentaires, produits d’entretien, 1500 couvertures, 100 tentes qui viennent d’ajouter à 300 autres qui ont été envoyées avec la première délégation lors de la première semaine de l’agression.
- El KHabar
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