Dans une lettre adressée, hier, au chef d’Etat, Abdelaziz Bouteflika, le Président-directeur général de Total, Christophe de Margerie salut la célérité de l’intervention des services de sécurités algériens pour déloger du site In Amenas les terroristes, suite la prise d’otage.
« Je tiens à vous féliciter pour la rapidité de réaction des forces militaires algériennes qui ont réussi, malgré les difficultés de l'opération, à se rendre maîtres de la situation en évitant le chaos. Je m'associe à votre tristesse et à la douleur de tous les Algériens devant une telle abomination », écrit le premier responsable de la Compagnie française, 3 semaines après cet événement.
Le message du patron du groupe total serait passé presque inaperçu s’il n’avait pas coïncidé avec la venue du premier ministre britannique qui a effectué un voyage de 2 jours en Algérie. A travers ce message, la position des responsables de Total corrobore avec la détermination des autorités du Royaume pour la poursuite des activités économiques des entreprises britanniques implantées en Algérie.
A l'occasion de la visite, en Algérie de David Cameron, d’autres pistes sont défraichies pour propulser davantage la collaboration en Alger et Londres. Cette collaboration s’articule notamment au plan sécuritaire notamment dans la lutte antiterroriste. Un phénomène qui a touché les deux pays. « L’Algérie et la Grande-Bretagne sont deux pays qui ont souffert du terrorisme et nous nous comprenons très bien », déclare David Cameron qui ajoute :
« il s’agit non seulement de partager les mêmes points de vue mais aussi d’échanger des renseignements et coopérer dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Les britanniques et les algériens sont sur la même longueur d’onde en matière de défense, de renseignement de lutte contre le terrorisme. En arrière plan de cette entente, il surtout la poursuite des activités économiques des entreprises du Royaume unies installées en Algérie. Un gage pour les entreprises étrangères notamment françaises a pérennisé leurs activités en Algérie.
Mahoud Chaal. 21.01.2013
« Je tiens à vous féliciter pour la rapidité de réaction des forces militaires algériennes qui ont réussi, malgré les difficultés de l'opération, à se rendre maîtres de la situation en évitant le chaos. Je m'associe à votre tristesse et à la douleur de tous les Algériens devant une telle abomination », écrit le premier responsable de la Compagnie française, 3 semaines après cet événement.
Le message du patron du groupe total serait passé presque inaperçu s’il n’avait pas coïncidé avec la venue du premier ministre britannique qui a effectué un voyage de 2 jours en Algérie. A travers ce message, la position des responsables de Total corrobore avec la détermination des autorités du Royaume pour la poursuite des activités économiques des entreprises britanniques implantées en Algérie.
A l'occasion de la visite, en Algérie de David Cameron, d’autres pistes sont défraichies pour propulser davantage la collaboration en Alger et Londres. Cette collaboration s’articule notamment au plan sécuritaire notamment dans la lutte antiterroriste. Un phénomène qui a touché les deux pays. « L’Algérie et la Grande-Bretagne sont deux pays qui ont souffert du terrorisme et nous nous comprenons très bien », déclare David Cameron qui ajoute :
« il s’agit non seulement de partager les mêmes points de vue mais aussi d’échanger des renseignements et coopérer dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Les britanniques et les algériens sont sur la même longueur d’onde en matière de défense, de renseignement de lutte contre le terrorisme. En arrière plan de cette entente, il surtout la poursuite des activités économiques des entreprises du Royaume unies installées en Algérie. Un gage pour les entreprises étrangères notamment françaises a pérennisé leurs activités en Algérie.
Mahoud Chaal. 21.01.2013
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