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Un lieu de calme, de sérénité et de bien-être
Cette structure technico-administrative qui se charge de gérer le patrimoine naturel au niveau des aires protégées, s’occupe de fonctions multiples du parc dont la finalité est la conservation et la préservation des ressources naturelles
S’ébranler vers les massifs de Blida où, on était subjugué par ses grands espaces vert constitués essentiellement de cèdres, sapins, arz et liéges, des sites panoramiques accueillant des milliers de visiteurs chaque année. Comme toute frange de citoyens aime se rendre pendant l’été dans les différentes plages pour se baigner et avoir une peau dorée, une autre préfère se rendre dans les montagnes et les hauteurs tout en cherchant un bon bol d’air, frais, apaisant mais aussi naturel puisé de ses intarissables sources d’eau. C’est un lieu qui attire de plus en plus un engouement considérable de personnes, et surtout les asthmatiques venant dans le but de trouver un remède naturel à leur maladie, en prenant de l’air pur et frais tout en se rafraîchissant aussi de sa brise.
Des sites magiques et des tableaux fabuleux à l’ombre des cèdres
Prés de 50 kilomètres du sud de la capitale, se trouve Le parc national de Chréa. Un site essentiellement montagneux, situé en plein cœur du massif blidéen, connu surtout pour sa station de ski qui ne cesse encore de subjuguer les aventuriers locaux et étrangers. Ce parc représente une autre destination touristique visé par des milliers de personnes, que se soit en hiver ou en été.
Une façon de se soustraire à la pollution atmosphérique, sonore et nocturne des grandes villes. Il abrite aussi de vastes forêts de cèdre et de liége millénaire ainsi que les gorges de la Chiffa, des sites magiques, des tableau fabuleux se présentent aux visiteurs qui ne peuvent rester indifférent, s’évadent et s’oublient à l’ombre des cèdres, la foret de Chréa offre la possibilité de faire des randonnées pédestres.
Une richesse avérée en faune et en flore
Le parc national de Chréa qui s'étend sur une superficie de 27.000 hectares, renferme 1.210 espèces dont 816 végétales et 394 animales dont 64 sont protégées par la loi.
Du point de vue superficie, il est classé le second parc à l'échelle nationale après celui d'El Kala. Il constitue dans le réseau des aires protégées en Algérie, un espace de vie et d'évolution à une diversité biologique considérable. Certaines espèces endémiques et récurrentes en Afrique du Nord telles que le cèdre de l'Atlas, le singe magot et autres, trouvent dans le parc national de Chréa les conditions favorables et naturelles d'évolution. Il constitue par ailleurs un réservoir colossal de ressources phytogénétiques et zoogénétiques susceptibles toute fois d'assurer la pérennité et la perpétuité du fonds de la faune et la flore en difficulté de maintien dans l'Atlas Blidéen. Le parc national de Chréa est aussi, un laboratoire vivant ouvert à la fois à la communauté scientifique et au public, pour étudier d'une part les rapports biologiques très complexes qui régissent les fonctionnalités des écosystèmes naturels et servir de support à la sensibilisation, l'éducation et la formation environnementale de la société d'autre part.
L’éco-musée d’El Hamdania centre de rayonnement scientifique et moyen d’épanouissement
En plein coeur du parc National de Chréa, nous trouvons l’éco-musée d’El Hamdania. Un autre merveilleux site qui est devenu pendant un temps record, un centre de rayonnement scientifique et un moyen d’épanouissement de la population riveraine. Il représente ainsi un autre chef-d’œuvre naturel jouant un rôle aussi très important quant à l’aération des villes limitrophes. Cette structure technico-administrative qui se charge de gérer le patrimoine naturel au niveau des aires protégées, s’occupe de fonctions multiples du parc dont la finalité est la conservation et la préservation des ressources naturelles. Et cela, grâce à une équipe pluridisciplinaire. Cet éco-musée prend en charge tous les volets d’une gestion de proximité à savoir la sensibilisation, la formation pédagogique, la recherche scientifique et l’accueil du public.
Ces espèces et prestations sont présentées au public avec ses multiples formes vivante, sèche, empaillée ou conservées dans une formule. Le musée en question ressort de ces actions l'intérêt des responsables du parc de favoriser la dimension humaine dans la gestion des complexités des fonctionnements biologiques, en l'intégrant ainsi localement dans les différents cas de figures de conservation du patrimoine. Cette structure est appelée ainsi à devenir un véritable laboratoire de recherche et d’exploitation qui peut travailler, associer et collaborer ses actions avec les universités et les différents centres de recherche du pays à l'avenir.
Un site qui sauvegarde incontestablement l’écosystème et l’environnement
La préservation de l’environnement, le développement durable est le principal objectif attendu à travers la création de ce site. Il est question notamment de traduire la volonté des responsables du parc de préserver l’ensemble des richesses naturelles et de veiller au maintien de la diversité biologique par la mise en place progressive d’un dispositif de conservation et de pérennisation ayant préservé jusque-là de nombreuses ressources et moyens en difficulté de maintien. Le parc national de Chréa a largement contribué dans ce cadre à la sauvegarde incontestée des écosystèmes fragiles caractérisant leur territoire et a surtout participé à la lutte contre l’appauvrissement génétique du patrimoine du parc en assurant les conditions de mise en pérennité des potentiels phytogénétiques et zoogénétiques présents sur le site.
Ledit parc, étant le poumon de l’Algérie avec celui du Djurdjura, celui d’El Kala,celui du Tassili reste l’un des rares sites ou l’on peut trouver le vrai sens du calme, de la tranquillité, de la sérénité et du bien-être total. Il est de surcroît, un berceau écologique préservant l’écosystème, de part sa richesse en faune et flore ainsi que le climat qui fait toute la différence avec les dix autres parcs implantés à l’échelle nationale tout en notant que parmi ces derniers, on distingue celui du Tassili qui est classé patrimoine mondial par l’UNESCO depuis 1982.
- La depeche de Kabylie
Cette structure technico-administrative qui se charge de gérer le patrimoine naturel au niveau des aires protégées, s’occupe de fonctions multiples du parc dont la finalité est la conservation et la préservation des ressources naturelles
S’ébranler vers les massifs de Blida où, on était subjugué par ses grands espaces vert constitués essentiellement de cèdres, sapins, arz et liéges, des sites panoramiques accueillant des milliers de visiteurs chaque année. Comme toute frange de citoyens aime se rendre pendant l’été dans les différentes plages pour se baigner et avoir une peau dorée, une autre préfère se rendre dans les montagnes et les hauteurs tout en cherchant un bon bol d’air, frais, apaisant mais aussi naturel puisé de ses intarissables sources d’eau. C’est un lieu qui attire de plus en plus un engouement considérable de personnes, et surtout les asthmatiques venant dans le but de trouver un remède naturel à leur maladie, en prenant de l’air pur et frais tout en se rafraîchissant aussi de sa brise.
Des sites magiques et des tableaux fabuleux à l’ombre des cèdres
Prés de 50 kilomètres du sud de la capitale, se trouve Le parc national de Chréa. Un site essentiellement montagneux, situé en plein cœur du massif blidéen, connu surtout pour sa station de ski qui ne cesse encore de subjuguer les aventuriers locaux et étrangers. Ce parc représente une autre destination touristique visé par des milliers de personnes, que se soit en hiver ou en été.
Une façon de se soustraire à la pollution atmosphérique, sonore et nocturne des grandes villes. Il abrite aussi de vastes forêts de cèdre et de liége millénaire ainsi que les gorges de la Chiffa, des sites magiques, des tableau fabuleux se présentent aux visiteurs qui ne peuvent rester indifférent, s’évadent et s’oublient à l’ombre des cèdres, la foret de Chréa offre la possibilité de faire des randonnées pédestres.
Une richesse avérée en faune et en flore
Le parc national de Chréa qui s'étend sur une superficie de 27.000 hectares, renferme 1.210 espèces dont 816 végétales et 394 animales dont 64 sont protégées par la loi.
Du point de vue superficie, il est classé le second parc à l'échelle nationale après celui d'El Kala. Il constitue dans le réseau des aires protégées en Algérie, un espace de vie et d'évolution à une diversité biologique considérable. Certaines espèces endémiques et récurrentes en Afrique du Nord telles que le cèdre de l'Atlas, le singe magot et autres, trouvent dans le parc national de Chréa les conditions favorables et naturelles d'évolution. Il constitue par ailleurs un réservoir colossal de ressources phytogénétiques et zoogénétiques susceptibles toute fois d'assurer la pérennité et la perpétuité du fonds de la faune et la flore en difficulté de maintien dans l'Atlas Blidéen. Le parc national de Chréa est aussi, un laboratoire vivant ouvert à la fois à la communauté scientifique et au public, pour étudier d'une part les rapports biologiques très complexes qui régissent les fonctionnalités des écosystèmes naturels et servir de support à la sensibilisation, l'éducation et la formation environnementale de la société d'autre part.
L’éco-musée d’El Hamdania centre de rayonnement scientifique et moyen d’épanouissement
En plein coeur du parc National de Chréa, nous trouvons l’éco-musée d’El Hamdania. Un autre merveilleux site qui est devenu pendant un temps record, un centre de rayonnement scientifique et un moyen d’épanouissement de la population riveraine. Il représente ainsi un autre chef-d’œuvre naturel jouant un rôle aussi très important quant à l’aération des villes limitrophes. Cette structure technico-administrative qui se charge de gérer le patrimoine naturel au niveau des aires protégées, s’occupe de fonctions multiples du parc dont la finalité est la conservation et la préservation des ressources naturelles. Et cela, grâce à une équipe pluridisciplinaire. Cet éco-musée prend en charge tous les volets d’une gestion de proximité à savoir la sensibilisation, la formation pédagogique, la recherche scientifique et l’accueil du public.
Ces espèces et prestations sont présentées au public avec ses multiples formes vivante, sèche, empaillée ou conservées dans une formule. Le musée en question ressort de ces actions l'intérêt des responsables du parc de favoriser la dimension humaine dans la gestion des complexités des fonctionnements biologiques, en l'intégrant ainsi localement dans les différents cas de figures de conservation du patrimoine. Cette structure est appelée ainsi à devenir un véritable laboratoire de recherche et d’exploitation qui peut travailler, associer et collaborer ses actions avec les universités et les différents centres de recherche du pays à l'avenir.
Un site qui sauvegarde incontestablement l’écosystème et l’environnement
La préservation de l’environnement, le développement durable est le principal objectif attendu à travers la création de ce site. Il est question notamment de traduire la volonté des responsables du parc de préserver l’ensemble des richesses naturelles et de veiller au maintien de la diversité biologique par la mise en place progressive d’un dispositif de conservation et de pérennisation ayant préservé jusque-là de nombreuses ressources et moyens en difficulté de maintien. Le parc national de Chréa a largement contribué dans ce cadre à la sauvegarde incontestée des écosystèmes fragiles caractérisant leur territoire et a surtout participé à la lutte contre l’appauvrissement génétique du patrimoine du parc en assurant les conditions de mise en pérennité des potentiels phytogénétiques et zoogénétiques présents sur le site.
Ledit parc, étant le poumon de l’Algérie avec celui du Djurdjura, celui d’El Kala,celui du Tassili reste l’un des rares sites ou l’on peut trouver le vrai sens du calme, de la tranquillité, de la sérénité et du bien-être total. Il est de surcroît, un berceau écologique préservant l’écosystème, de part sa richesse en faune et flore ainsi que le climat qui fait toute la différence avec les dix autres parcs implantés à l’échelle nationale tout en notant que parmi ces derniers, on distingue celui du Tassili qui est classé patrimoine mondial par l’UNESCO depuis 1982.
- La depeche de Kabylie