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Une vaste opération de police avec la mobilisation d’une cinquantaine de policiers en tenue civile et officielle a conduit à la libération des victimes et à l’arrestation du gang.
La genèse de l’affaire remonte au 20 janvier dernier, lorsque deux adolescentes dont l’âge ne dépasse pas les 19 ans, ont été enlevées par un dangereux gang composé de quatre malfrats notoires, pour les inciter à la débauche. Ce sont des repris de justice dont certains viennent tout juste de purger leur peine. L’une d’elle a été enlevée en plein jour par Z. B., 25 ans, considéré comme l’auteur principal, alors qu’elle se trouvait devant le lycée Cheikh El-Ibrahimi pour passer son examen de permis de conduire.
Le ravisseur a réussi son rapt, et ce, en dépit d’une vaine tentative de libération par sa mère qui a été alertée par sa fille par téléphone. Menacée à l’aide d’une arme blanche par le ravisseur, la mère a fini par céder, et ce, non sans avoir décidé de déposer plainte auprès de la Sûreté de la wilaya. Une vaste opération ayant pour objectif la libération des deux jeunes filles a été déclenchée depuis le 25 janvier. La police n’a pas lésiné sur les moyens en utilisant les technologies de pointe car finalement le ravisseur n’a pas agi en solo. Deux autres complices lui facilitaient la circulation et les déplacements en compagnie de sa victime d’un coin à un autre pour tromper la vigilance des policiers.
Mais c’était sans compter sur la vigilance de ces derniers qui sont parvenus à identifier le lieu situé à la cité des 120-Logements plus connu sous le nom de M6 avant de déclencher, mardi dernier, l’assaut final qui a débouché sur l’arrestation mouvementée des membres du gang qui ont opposé une résistance farouche aux policiers en utilisant tout un arsenal d’armes prohibées (machettes, épées, rasoirs, 12 cocktails Molotov, bombes lacrymogènes, etc.) pour les affronter et qui ont été saisis, et ce, au même titre que 51 g de kif et une quantité d’héroïne découverts à l’intérieur de la cache. La fille dont la mère a déposé plainte a été libérée et la deuxième, par contre, a réussi à prendre la fuite et n’a pu être identifiée. B. Z., le chef de bande ainsi que ses complices Ch. B., 27 ans et S. B., 26 ans, ont été présentés devant le procureur de la République qui les a placés sous mandat de dépôt sous les chefs d’inculpation de constitution d’un groupe de malfaiteurs pour délits et crimes, port d’armes prohibés, trouble à l’ordre public, détention de cocktails Molotov pour agression contre les agents du service d’ordre, détention de stupéfiants, dégradation de biens d’autrui, coups et blessures volontaires et enlèvement et séquestration de mineures et incitation à la débauche.
Le conférencier ira jusqu’à révéler que la bande en question aurait même l’intention de mener une attaque contre le siège de la Sûreté de wilaya.
Liberté
La genèse de l’affaire remonte au 20 janvier dernier, lorsque deux adolescentes dont l’âge ne dépasse pas les 19 ans, ont été enlevées par un dangereux gang composé de quatre malfrats notoires, pour les inciter à la débauche. Ce sont des repris de justice dont certains viennent tout juste de purger leur peine. L’une d’elle a été enlevée en plein jour par Z. B., 25 ans, considéré comme l’auteur principal, alors qu’elle se trouvait devant le lycée Cheikh El-Ibrahimi pour passer son examen de permis de conduire.
Le ravisseur a réussi son rapt, et ce, en dépit d’une vaine tentative de libération par sa mère qui a été alertée par sa fille par téléphone. Menacée à l’aide d’une arme blanche par le ravisseur, la mère a fini par céder, et ce, non sans avoir décidé de déposer plainte auprès de la Sûreté de la wilaya. Une vaste opération ayant pour objectif la libération des deux jeunes filles a été déclenchée depuis le 25 janvier. La police n’a pas lésiné sur les moyens en utilisant les technologies de pointe car finalement le ravisseur n’a pas agi en solo. Deux autres complices lui facilitaient la circulation et les déplacements en compagnie de sa victime d’un coin à un autre pour tromper la vigilance des policiers.
Mais c’était sans compter sur la vigilance de ces derniers qui sont parvenus à identifier le lieu situé à la cité des 120-Logements plus connu sous le nom de M6 avant de déclencher, mardi dernier, l’assaut final qui a débouché sur l’arrestation mouvementée des membres du gang qui ont opposé une résistance farouche aux policiers en utilisant tout un arsenal d’armes prohibées (machettes, épées, rasoirs, 12 cocktails Molotov, bombes lacrymogènes, etc.) pour les affronter et qui ont été saisis, et ce, au même titre que 51 g de kif et une quantité d’héroïne découverts à l’intérieur de la cache. La fille dont la mère a déposé plainte a été libérée et la deuxième, par contre, a réussi à prendre la fuite et n’a pu être identifiée. B. Z., le chef de bande ainsi que ses complices Ch. B., 27 ans et S. B., 26 ans, ont été présentés devant le procureur de la République qui les a placés sous mandat de dépôt sous les chefs d’inculpation de constitution d’un groupe de malfaiteurs pour délits et crimes, port d’armes prohibés, trouble à l’ordre public, détention de cocktails Molotov pour agression contre les agents du service d’ordre, détention de stupéfiants, dégradation de biens d’autrui, coups et blessures volontaires et enlèvement et séquestration de mineures et incitation à la débauche.
Le conférencier ira jusqu’à révéler que la bande en question aurait même l’intention de mener une attaque contre le siège de la Sûreté de wilaya.
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