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Les confidences de Driss Basri sur Bouteflika

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  • Les confidences de Driss Basri sur Bouteflika

    ....et de la poplitique Algero-Marocaine.
    Mais affirmer que: parlant de Bouteflika,
    “le plus intelligent et responsable politique avec lequel aucun politique dans le monde arabe ne peut rivaliser”.
    Quoique je ne dis pas le contraire mais c'est un peu flatteur..
    -------------------------

    L’ancien homme fort du Maroc, Driss Basri, a livré des confidences dans les médias arabes dans lesquelles il fait “des aveux” sur l’Algérie de manière générale, et plus particulièrement sur le président Bouteflika, qu’il a présenté comme un ami personnel

    L’ancien ministre de l’Intérieur marocain racontera quelques détails qui ont fait que le président Bouteflika est ce qu’il est aujourd’hui. Il fait un constat remarquable du président de la République qui est “le plus intelligent et responsable politique avec lequel aucun politique dans le monde arabe ne peut rivaliser”.
    Driss Basri profite de cette période qui coïncide avec l’anniversaire de la mort du roi Hassan II pour établir un état des lieux de la situation au Maroc, de l’état des relations avec l’Algérie en remontant à la “mémorable” période du règne du défunt roi. Ainsi, malgré le conflit sahraoui, par le biais d’hommes de la carrure de Hassan II et de Bouteflika, les relations algéro-marocaines n’étaient pas franchement conflictuelles tel qu’elles le sont aujourd’hui, puisque les deux hommes étaient déterminés à en finir avec les différends. Cela est contenu au moins dans les deux derniers messages échangés par les deux hommes, selon les révélations de Basri.
    Cette relation fraternelle, amicale et de respect remonte, selon M. Basri, à l’avant-indépendance et s’est améliorée davantage après l’Indépendance.
    La relation entre le roi et Bouteflika était tellement forte que le conflit sahraoui n’a pas déteint sur elle. Bien au contraire, les deux hommes, mus par une volonté de pousser plus loin les relations entre leur pays, ont décidé d’un tacite accord de mettre ce conflit de côté. Le roi savait que le président Bouteflika sur les questions cruciales sait rester fidèle et défendre les intérêts de son pays. Il terminera le long portrait en opérant par des comparaisons avec le personnel politique qui entoure le nouveau roi, Mohammed VI, qu’il épargnera paradoxalement cette fois. Tout commence par cette rencontre qui devait réunir le président Bouteflika et Hassan II vers le mois d’août 1999. Le président lui avait confié qu’il était prêt à le rencontrer au Maroc ou dans un autre pays pour régler les problèmes entre l’Algérie et le Maroc, cela sachant que le conflit sahraoui est entre les mains de l’ONU.
    Le Président offre la garantie de respecter l’issue du référendum sur le Sahara occidental. La mort intervient avant pour remettre en cause l’entreprise mise en marche.
    Côté algérien, on maintient cet espoir d’apurer les litigieux dossiers. Le président Bouteflika offre un gage en se rendant aux funérailles de Hassan II à la tête d’une importante délégation. Aussi, rappellera-t-il à Basri qu’à l’enterrement du président Boumediene, il n’y avait aucun officiel marocain. Évincé, Basri avertit des responsables du Makhzen de ne pas envenimer les relations avec l’Algérie. Il conseillera le nouveau roi d’éviter les faux pas avec Alger et que des cercles pourraient l’y pousser.
    Des conseils qui ne semblent pas avoir eu d’écho dans l’entourage du roi constitué de nouveaux responsables inexpérimentés. Il reprendra le propos de l’actuel ambassadeur à Rabat, ancien directeur de cabinet, Larbi Belkheir, qui disait que les responsables marocains et algériens se connaissaient très bien avant. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Les Algériens connaissent aujourd’hui mieux les Marocains que les Marocains les Algériens.
    La raison, selon Basri, est que l’Algérie a trouvé un homme de la génération intermédiaire de politique et diplomate capable d’entretenir des rapports avec le passé et d’entrevoir des perspectives d’avenir. “Le Maroc et les pays arabes ne trouvent pas des hommes capables de rivaliser en intelligence et en responsabilité avec Bouteflika”, a souligné Basri qui donne comme preuve “la capacité avec laquelle les politiques algériens ont dépassé la période du terrorisme et fait face avec courage et résister aux souffrances alors que s’il s’était agi d’un autre pays, il n’aurait pas tenu un jour”. Il complétera ce tableau “positif” en classant l’Algérie comme le seul pays arabe où peut se développer la démocratie. “Le peuple va bien vivre car tous les facteurs favorables sont là et à leur tête cette lame de chair qui réunit le peuple à son gouvernement”, dit-il.
    Sur le dossier du Sahara occidental, il conclut que les responsables marocains ont été incapables de le gérer tout en comprenant la position algérienne qui est dictée par sa fidélité au principe de la défense des causes justes. Tout comme le président Bouteflika. Il assénera enfin la preuve de l’incapacité marocaine par l’ignorance de l’entourage du roi de la situation géostratégique de l’Algérie en citant l’exemple des relations algéro-américaines qui sont les plus fortes dans la région. “C’est une illusion que de croire que les États-Unis vont marcher du côté marocain.”

    Djilali B.
    Liberté-dz-

  • #2
    @alfares

    Hmmm ... En tout ces ces gens là ne disent jamais rien sans avoir calculé le coup au 25e degré ; l'avenir nous diras donc ce qu'était Bouteflika mais pour l'heure je me refuse de donner un chèque à blanc à qui que ce soit.

    C'est les actes et le résulatat de son action qui me dira ce qu'était Bouteflika en tant que chef d'Etat, pas les déclaration de Basri ou d'un autre, même si c'est toujours bon à noter !
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #3
      Hmmm ... En tout ces ces gens là ne disent jamais rien sans avoir calculé le coup au 25e degré ; l'avenir nous diras donc ce qu'était Bouteflika mais pour l'heure je me refuse de donner un chèque à blanc à qui que ce soit.

      C'est les actes et le résulatat de son action qui me dira ce qu'était Bouteflika en tant que chef d'Etat, pas les déclaration de Basri ou d'un autre, même si c'est toujours bon à noter !


      Reponse:
      Aucun politicard n'est digne de confiance.

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      • #4
        @heliopolis

        Certes, mais avons-nous vraiment le choix aprés tout ?
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #5
          Salu Harrachi,

          T'as raison cher ami, moi aussi les éloges j'en suis tres avare....
          Driss Basri dans ses confidences voulait en quelque sorte incriminer Le Roi Mohammed VI

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          • #6
            @al-fares

            Je me disais la même chose tiens ! Comme quoi jamais rien n'est gratuit ici-bas IoI

            Cepandant il faut dire que Bouteflika à un certain charisme de sorte qu'il arraive souvent à impréssionner ses interlocuteur, c'est un atout non négligeable pour un politicien tu sais !
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #7
              Remarque 1 : une règle d'or quand on part a la recherche d'un nouveau job c'est de ne jamais critiquer son ancien employeur lors des entretiens d'embauche ou lors de l'envoi de sa candidature,cela n'inspire pas confiance

              Remarque 2 : pourquoi un ministre arabe mis a la retraite passera son temps a semer la zizanie,alors qu'un ministre scandinave p,ex mis a la retraite va créer un fonds de soutien aux enfants ou s'occuper d'actions humanitaires dans le monde

              Remarque 3 : pourquoi basri s'accroche il tant au pouvoir?,ne sait il pas faire autre chose?

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              • #8
                @ismaïl

                N'éxagerons rien, il ne s'agit pas là de semer la zizanie allons ! C'est juste que je ne peut prendre pour argent comptant ce que disent ce genre de personnes, qu'ils soient marocains ou autres !

                Ca ne signifie pas forcément qu'il ment, mais juste qu'un homme qui occupa des postes comme le siens ne doivent pas avoir pour habitude de parler juste pour la causette mais pour un but bien précis, but qu'il est le seul à connaitre pour le moment !
                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                • #9
                  depuis qu'il a été "évincé", Driss bassri n'a cessé d'adresser, sous differentes facette, un seul message au palais :

                  laissez moi tranquil, eloignez de moi les ONG qui demande mon jugement OU je fou la M.E.R.D.E.

                  au Maroc personne en vérité ne fait attention a ses gesticulations. mais ça donne tj un pretexte aux journeaux algeriens de distiler le "capitale" de haine qu'ils ont envers le Maroc et/ou le palais.

                  pas besoin de faire un thread ni d'en parler pour juste se trouver a envoyer les invectives assassines les uns les autres.

                  mais allah yehdi makhle9.

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                  • #10
                    Hmmm ... En tout ces ces gens là ne disent jamais rien sans avoir calculé le coup au 25e degré ; l'avenir nous diras donc ce qu'était Bouteflika mais pour l'heure je me refuse de donner un chèque à blanc à qui que ce soit.
                    C'est le moins que l'on puissent dire, c'est la meme famille tout les politicards, a l'approche de la Fin j'ai remarqué qu'ils ne se cassent pas le sucre sur le dos.

                    Commentaire


                    • #11
                      harrachi

                      je connaît très bien comment ce genre de personnages réfléchissent,ils agissent souvent par rancune personnelle,je me réfère surtout a ses critiques envers le maroc.

                      Commentaire


                      • #12
                        @ismaïl2005

                        Mouais, c'est aussi un paramètre à considérer effectivement ...
                        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                        • #13
                          Certes, mais avons-nous vraiment le choix aprés tout ?


                          Reponse:
                          Il est vrai que nous pauvres ghachi ne pouvons rien changer. Mais personnellement je ne prendrai jamais position sur un evenement que je n'ai pas vecu.

                          Commentaire


                          • #14
                            @heliopolis

                            ... personnellement je ne prendrai jamais position sur un evenement que je n'ai pas vecu.

                            Dans ec cas là tu ne risques pas de prendre position sur grand chose mon vieux IoI
                            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                            • #15
                              Dans ec cas là tu ne risques pas de prendre position sur grand chose mon vieux IoI


                              Reponse:
                              C'est vrai mais peut on faire confiance a des gens dont le niveau de competence est directement proportionnel a leur faculte de mentir ?

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