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L’idée d’un mini Maghreb à trois fait débat à Tunis

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  • L’idée d’un mini Maghreb à trois fait débat à Tunis

    La suggestion n’est pas nouvelle. Mais elle fait du chemin. Le Maghreb à cinq est bloqué ? Avançons par affinité, à deux ou à trois. C’est là l’un des débats qu’a abrité le think-tank Forum économique Maghrébin (MEF), à Tunis le week-end dernier. L’enthousiasme du printemps arabe est retombé. Les risques sont montés. La profondeur maghrébine devient un recours concret. Pas encore pour tous.


    Le président du MEF, Kamel Lazaar est un personnage Fitzgéraldien. Les larmes lui montent aux yeux dès qu’il parle du Maghreb en public. C’est aussi, à ses moments perdus, un grand manager de fonds d’investissements qui évalue le risque en temps réel. Aussi a-t-il repris la parole très vite à la fin de la cession du matin qu’il a inauguré sur le thème « l’intégration maghrébine : un moteur pour la création d’emplois : « je tiens à exprimer toute ma réserve au sujet d’une troïka dans la construction du Maghreb. Nous avons au forum économique Maghrébin l’ambition, le rêve utopique peut être, d’un Maghreb à cinq et nous voulons garder cette ambition ». Le rappel à l’ordre ne changera rien. L’idée d’avancer autrement qu’à cinq dès le début et « à la même vitesse » est celle qui a suscité le plus de commentaires- surtout favorables - parmi les spécialistes présents à l’hôtel Mövenpick de Gammarth jeudi dernier. L’Algérien Arslan Chikhaoui de Nord-Sud Venture a été le premier à ouvrir la brèche « commençons par des politiques de voisinage et de convergences ». La Tunisie, l’Algérie et la Libye pourraient mettre en place des mesures entre elles. « Convergences d’abord. Elargissement ensuite. Ce n’est pas l’économique qui va driver le politique. Cela a été une erreur de le croire ». Or le « contentieux » entre l’Algérie et le Maroc – qui n’est pas lié à la seule question sahraoui selon Arslan Chikhaoui- attend toujours une issue politique. L’ancien vice-premier ministre libyen du premier gouvernement intérimaire Mustapha Abushagar abondera dans le même sens en proposant une politique des « petites mesures de convergences » en bilatéral. Sami Zaoui de Ernst &Young admet que dans le portefeuille client de son cabinet les plateformes des multinationales se réfléchissent plus entre deux ou trois pays qu’à l’échelle de tout le Maghreb. Un axe Tunis-Alger existe en pointillé pour certains intervenants globaux dans la finance et l’industrie. C’est le cas pour Ernst & Young par exemple. Cette session du MEF s’est déroulée en l’absence des invités marocains. Hasard de calendrier ou acte manqué signifiant ? Le risque de mise à l’écart du Maroc de la dynamique dite de « convergence », au bénéfice d’une troïka Algérie-Tunisie-Libye a bien été souligné par les experts présents. Même si tout le monde convient que l’UMA gagnerait à être tirée par une expérience exemplaire d’intégration « entre au moins deux pays».
    Le rapprochement Tunisie-Libye a fondu en 2012
    La construction maghrébine n’a pas encore profité de la chute des régimes autoritaires de Ben Ali et de Kadhafi. C’est l’autre constat du MEF. « Les transitions politiques sont complètement accaparées par les problèmes domestiques à Tunis et à Tripoli » a relevé un des intervenants. La nouvelle présidente de l’UTICA (organisation patronale tunisienne) Mme Ouided Bouchamaoui, a lourdement insisté sur le fait que rien dans la mise en œuvre d’un marché commun maghrébin ne pouvait s’envisager « sans le politique ». Or dans la conjoncture actuelle, une instabilité sur le terrain est venue s’ajouter aux anciennes rigidités des administrations. L’axe Tunis-Tripoli avait soulevé beaucoup d’espoir à la fin de l’année 2011. L’enthousiasme est retombé depuis. Les excédents de main d’œuvre tunisienne (19% de chômage) n’arrivent pas à se faire recruter dans une Libye désorganisée, mais aussi plus ouverte vers d’autres partenaires. « Les turcs sont aujourd’hui plus nombreux que les travailleurs tunisiens en Libye » déplore un chef d’entreprise tunisien. Mais pas seulement. Le container qui vient d’Istanbul à Tripoli revient à 700 dollars. Il va nous couter le double avec la nouvelle ligne maritime que nous ouvrons bientôt de Sfax à Tripoli » déclare Mme la présidente de l’UTICA. Et la continuité territoriale entre les deux pays ? « Des bandes armées régentent le transport à la frontière entre la Tunisie et la Libye. Ce n’est plus possible de commercer avec Tripoli par cette voie » a déploré Mm Bouchamaoui. Ce qu’admet volontiers l’ancien vice premier ministre libyen Mustapha Abushagar. Si les marchandises circulent difficilement par la voie légale, les trafics ont explosé par contre. Le carburant libyen alimente le sud tunisien. Le trafic des armes a fait parler au MEF de l’émergence « de risques nouveaux ». Une préoccupation de premier ordre dans le milieu d’affaire Tunisien. Le Maghreb des services de sécurité avancera plus vite que celui des libertés de mouvement des citoyens.
    La libre circulation des travailleurs a du sens
    La table ronde du MEF a été cependant l’occasion de rappeler ce qui ne doit pas être perdu de vue. Le Maghreb équivaut à la démographie de l’Allemagne (85 millions) et au PIB de la Turquie, le nouveau dragon de la méditerranée. Il propose une profondeur de marché essentiel pour attirer des IDE. Il doit mettre en œuvre rapidement quelques unes des libertés prévues dans les accords de l’UMA. Et d’abord la libre circulation de la ressource humaine. Les témoignages sur la grande difficulté à s’établir dans un pays maghrébin pour un citoyen maghrébin ont été évoqué comme totalement anachroniques en 2013. « Les logiques protectionnistes des marchés du travail n’ont pas de sens lorsque il est possible d’aller et de venir, de s’établir ou de revenir » a expliqué un employeur tunisien. Philipe Fargues, spécialiste des flux migratoires à l’université européenne de Rome a d’ailleurs rappelé fort à propos que l’émigration portugaise et espagnole a nettement baissé vers le reste de l’Europe à partir de l’intégration de ces deux pays à l’UE. « L’intégration économique provoque un nivellement par le haut des économies et réduit le besoin de s’exiler ». Il a ajouté que la demande en main d’œuvre maghrébine en Europe deviendra une affaire de niches dans les prochaines années. La circulation horizontale de la main d’œuvre maghrébine au Maghreb a plus de perspective. Au profit de toute l’économie régionale.

    Maghreb Emergent
    And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

  • #2
    Celui qui n'avance pas recule

    C'est le retour en arrière!!!!!!
    Le Sage

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    • #3
      « L’intégration économique provoque un nivellement par le haut des économies et réduit le besoin de s’exiler ».
      La circulation horizontale de la main d’œuvre maghrébine au Maghreb a plus de perspective. Au profit de toute l’économie régionale.
      Evidemment qu'il y a bien plus de perspective économique entre les pays du Maghreb, qu'avec les pays du nord ou du sud !

      Ça crève les yeux !

      « commençons par des politiques de voisinage et de convergences »
      La convergence économique ne peuvent être faisables que s'il y a suffisamment de convergences politiques fortes. Logique !

      Le maroc et l'algérie ont bien plus de divergences politiques que de points communs (Historique des frontières, conflit du sahara, drogue), pour espérer effectuer partenariat économique fort !

      Si avec les autres pays comme la Tunisie et la Lybie, la convergence politique est meilleure, des partenariats économiques méritent d'être établis de manière graduelle, de manière à démarrer les machines économiques, et stabiliser politiquement et sécuritairement ces pays.

      Par conséquent:

      Convergences politiques suffisantes et durables entre ces pays => une meilleure convergence économique => réussir à établir des partenariats forts => interdépendance économique et meilleure synergie => croissance économique forte, et meilleure poids politique de ces pays par rapport aux autres blocs de la région.

      En résumé de ce cercle vertueux :

      Convergence Politique durable => convergence économique => partenariats forts => meilleure croissance économique et meilleure convergence politique .

      C'est bien beau tout çà !

      Quoiqu'il faut réussir à tenir le bon bout !

      C'est à dire :

      Comment certains pays du Maghreb peuvent-ils s'accorder sur une meilleure convergence politique ???
      Dernière modification par absent, 05 février 2013, 10h19.

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      • #4
        on en reparlera, Rendez vous dans 20 ans

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        • #5
          L'idée d'un mini-Maghreb à trois fait débat à Tunis

          L'idée d'un mini-Maghreb à trois fait débat à Tunis



          La suggestion n'est pas nouvelle. Mais elle fait du chemin. Le Maghreb à cinq est bloqué ? Avançons par affinité, à deux ou à trois. C'est là l'un des débats qu'a abrité le think-tank Forum économique maghrébin (MEF), à Tunis le week-end dernier. L'enthousiasme du printemps arabe est retombé. Les risques sont montés. La profondeur maghrébine devient un recours concret. Pas encore pour tous.

          Le président du MEF, Kamel Lazaar, est un personnage Fitzgéraldien. Les larmes lui montent aux yeux dès qu'il parle du Maghreb en public. C'est aussi, à ses moments perdus, un grand manager de fonds d'investissements qui évalue le risque en temps réel. Aussi a-t-il repris la parole très vite à la fin de la cession du matin qu'il a inaugurée sur le thème «l'intégration maghrébine : un moteur pour la création d'emplois : «je tiens à exprimer toute ma réserve au sujet d'une troïka dans la construction du Maghreb. Nous avons au Forum économique maghrébin l'ambition, le rêve utopique peut-être, d'un Maghreb à cinq et nous voulons garder cette ambition». Le rappel à l'ordre ne changera rien. L'idée d'avancer autrement qu'à cinq dès le début et «à la même vitesse» est celle qui a suscité le plus de commentaires- surtout favorables - parmi les spécialistes présents à l'hôtel Mövenpick de Gammarth jeudi dernier. L'Algérien Arslan Chikhaoui de Nord-Sud Venture a été le premier à ouvrir la brèche «commençons par des politiques de voisinage et de convergences». La Tunisie, l'Algérie et la Libye pourraient mettre en place des mesures entre elles. «Convergences d'abord. Elargissement ensuite. Ce n'est pas l'économique qui va driver le politique. Cela a été une erreur de le croire». Or le «contentieux» entre l'Algérie et le Maroc – qui n'est pas lié à la seule question sahraouie selon Arslan Chikhaoui- attend toujours une issue politique. L'ancien vice-Premier ministre libyen du premier gouvernement intérimaire Mustapha Abushagar abondera dans le même sens en proposant une politique des «petites mesures de convergences» en bilatéral. Sami Zaoui de Ernst &Young admet que dans le portefeuille client de son cabinet les plateformes des multinationales se réfléchissent plus entre deux ou trois pays qu'à l'échelle de tout le Maghreb. Un axe Tunis-Alger existe en pointillé pour certains intervenants globaux dans la finance et l'industrie. C'est le cas pour Ernst & Young par exemple. Cette session du MEF s'est déroulée en l'absence des invités marocains. Hasard de calendrier ou acte manqué signifiant ? Le risque de mise à l'écart du Maroc de la dynamique dite de «convergence», au bénéfice d'une troïka Algérie-Tunisie-Libye a bien été souligné par les experts présents. Même si tout le monde convient que l'UMA gagnerait à être tirée par une expérience exemplaire d'intégration «entre au moins deux pays».

          LE RAPPROCHEMENT TUNISIE-LIBYE A FONDU EN 2012

          La construction maghrébine n'a pas encore profité de la chute des régimes autoritaires de Ben Ali et de Kadhafi. C'est l'autre constat du MEF. «Les transitions politiques sont complètement accaparées par les problèmes domestiques à Tunis et à Tripoli» a relevé un des intervenants. La nouvelle présidente de l'UTICA (organisation patronale tunisienne), Mme Ouided Bouchamaoui, a lourdement insisté sur le fait que rien dans la mise en œuvre d'un marché commun maghrébin ne pouvait s'envisager «sans le politique». Or dans la conjoncture actuelle, une instabilité sur le terrain est venue s'ajouter aux anciennes rigidités des administrations. L'axe Tunis-Tripoli avait soulevé beaucoup d'espoir à la fin de l'année 2011. L'enthousiasme est retombé depuis. Les excédents de main d'œuvre tunisienne (19% de chômage) n'arrivent pas à se faire recruter dans une Libye désorganisée, mais aussi plus ouverte vers d'autres partenaires. «Les Turcs sont aujourd'hui plus nombreux que les travailleurs tunisiens en Libye» déplore un chef d'entreprise tunisien. Mais pas seulement. Le container qui vient d'Istanbul à Tripoli revient à 700 dollars. Il va nous coûter le double avec la nouvelle ligne maritime que nous ouvrons bientôt de Sfax à Tripoli» déclare Mme la présidente de l'UTICA. Et la continuité territoriale entre les deux pays ? «Des bandes armées régentent le transport à la frontière entre la Tunisie et la Libye. Ce n'est plus possible de commercer avec Tripoli par cette voie» a déploré Mm Bouchamaoui. Ce qu'admet volontiers l'ancien vice-Premier ministre libyen Mustapha Abushagar. Si les marchandises circulent difficilement par la voie légale, les trafics ont explosé par contre. Le carburant libyen alimente le Sud tunisien. Le trafic des armes a fait parler au MEF de l'émergence «de risques nouveaux». Une préoccupation de premier ordre dans le milieu d'affaires tunisien. Le Maghreb des services de sécurité avancera plus vite que celui des libertés de mouvement des citoyens.

          LA LIBRE CIRCULATION DES TRAVAILLEURS A DU SENS

          La table ronde du MEF a été cependant l'occasion de rappeler ce qui ne doit pas être perdu de vue. Le Maghreb équivaut à la démographie de l'Allemagne (85 millions) et au PIB de la Turquie, le nouveau dragon de la Méditerranée. Il propose une profondeur de marché essentiel pour attirer des IDE. Il doit mettre en œuvre rapidement quelques unes des libertés prévues dans les accords de l'UMA. Et d'abord la libre circulation de la ressource humaine. Les témoignages sur la grande difficulté à s'établir dans un pays maghrébin pour un citoyen maghrébin ont été évoqués comme totalement anachroniques en 2013. «Les logiques protectionnistes des marchés du travail n'ont pas de sens lorsqu'il est possible d'aller et de venir, de s'établir ou de revenir» a expliqué un employeur tunisien. Philipe Fargues, spécialiste des flux migratoires à l'université européenne de Rome a d'ailleurs rappelé fort à propos que l'émigration portugaise et espagnole a nettement baissé vers le reste de l'Europe à partir de l'intégration de ces deux pays à l'UE. «L'intégration économique provoque un nivellement par le haut des économies et réduit le besoin de s'exiler». Il a ajouté que la demande en main-d'œuvre maghrébine en Europe deviendra une affaire de niches dans les prochaines années. La circulation horizontale de la main-d'œuvre maghrébine au Maghreb a plus de perspective. Au profit de toute l'économie régionale.



          par El Kadi Ihsane A Tunis


          Le Quotidien d'Oran
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • #6
            Moi je suis d'accord avec ça. La région est trop mouvementée actuellement avec tout ce qui se passe à l'est (problèmes salafistes et terroristes en Lybie, Tunisie, Algérie, Mauritanie). Le Maroc n'a rien à gagner actuellement tant que cette situation ne s'est pas stabilisée. Il vaut mieux se concentrer sur d'autres régions avec lesquelles on peut commercer par bateau sans avoir d'ouvertures terrestres avec elles.

            Déjà qu'avec des frontières est fermées, il y a trop de trafic et par les temps qui courent, il vaut surveiller les mouvements de personnes et marchandises qui les traversent pour éviter toutes mauvaises surprises. Les extrémistes n'attendent qu'une chose.

            L'idéal, serait d'avoir un mur de sécurité comme au sud qui ferme toutes les frontières.

            Dans quelques années, quand tout sera stabilisé, on pourra repartir sur de bonnes bases.

            Oups, sujet déjà ouvert en section économie
            .
            Dernière modification par LIXUS, 05 février 2013, 11h21.

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            • #7
              LES pays arabes ne sont pas sérieux ,toutes leurs histoires sont jalonnées d'unions , de désunions et de conflits ,le jour ou ils seront vraiment démocrates ,peut être faudrait -il espérer un début de rapprochement bénéfique aux peuples ,mais maintenant ,il faut déchanter ,car un petit incident politique risquerait de tout foirer et remettre en cause cette union tant criée

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              • #8
                J'ai vu que le sujet était également ouvert en section international mais voilà ce que j'en dis :



                Moi je suis d'accord avec ça. La région est trop mouvementée actuellement avec tout ce qui se passe à l'est (problèmes salafistes et terroristes en Lybie, Tunisie, Algérie, Mauritanie). Le Maroc n'a rien à gagner actuellement tant que cette situation ne s'est pas stabilisée. Il vaut mieux se concentrer sur d'autres régions avec lesquelles on peut commercer par bateau sans avoir d'ouvertures terrestres avec elles.

                Déjà qu'avec des frontières est fermées, il y a trop de trafic et par les temps qui courent, il vaut surveiller les mouvements de personnes et marchandises qui les traversent pour éviter toutes mauvaises surprises. Les extrémistes n'attendent qu'une chose.

                L'idéal, serait d'avoir un mur de sécurité comme au sud qui ferme toutes les frontières.

                Dans quelques années, quand tout sera stabilisé, on pourra repartir sur de bonnes bases.

                Commentaire


                • #9
                  Un Maghreb à deux (par deux) serait un bon début !

                  Commentaire


                  • #10
                    Un Maghreb à deux (par deux) serait un bon début !
                    il faut d'abord réussir le maghreb à un, c'est préalable qui s'impose, après maturation on passera au maghreb à 2

                    Commentaire


                    • #11
                      L'idéal, serait d'avoir un mur de sécurité comme au sud qui ferme toutes les frontières.
                      Idéal pour empêcher que la drogue du Maroc ne passe en Algérie et que les matiéres premiéres algeriennes ( essence - gas-oil et autres produits soutenus par l'état ) ne profitent au royaume .

                      Dans quelques années, quand tout sera stabilisé, on pourra repartir sur de bonnes bases.
                      A condition que vous ayez assez de 'sous" pour tenir jusque là
                      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                      • #12
                        il faut d'abord réussir le maghreb à un, c'est préalable qui s'impose, après maturation on passera au maghreb à 2
                        De quoi tu te mêles .

                        Le Maroc n'est pas concerné , on parle de l'Algérie , de la Tunisie et de la Libye .
                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                        • #13
                          A condition que vous ayez assez de 'sous" pour tenir jusque là
                          Bah ça changera quoi vu que déjà aujourd'hui on n'a pas de maghreb uni donc rien de nouveau sous le soleil. Sauf qu'il vaut mieux sécuriser nos frontières face aux pays traversés par des mouvements terroristes, quand tout ceci sera retombé, on y verra plus clair.

                          Sinon, il y a plein de pays dans le monde qui ne sont pas sources de problèmes sécuritaires et avec qui on commerce déjà et d'autres qu'on peut encore développer. On n'est pas enclavé comme le Mali ou Niger et on peut largement exporter via les mers. Tiens, c'est bizarre mais c'est qu'on fait aujourd'hui.

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                          • #14
                            De quoi tu te mêles .
                            je suis citoyen du maghreb donc ....

                            Le Maroc n'est pas concerné , on parle de l'Algérie , de la Tunisie et de la Libye .
                            allah ybarek, mais choisissez un autre nom SVP

                            Commentaire


                            • #15
                              @Iska,

                              Or le «contentieux» entre l'Algérie et le Maroc – qui n'est pas lié à la seule question sahraouie selon Arslan Chikhaoui- attend toujours une issue politique. L'ancien vice-Premier ministre libyen du premier gouvernement intérimaire Mustapha Abushagar abondera dans le même sens en proposant une politique des «petites mesures de convergences» en bilatéral. Sami Zaoui de Ernst &Young admet que dans le portefeuille client de son cabinet les plateformes des multinationales se réfléchissent plus entre deux ou trois pays qu'à l'échelle de tout le Maghreb. Un axe Tunis-Alger existe en pointillé pour certains intervenants globaux dans la finance et l'industrie. C'est le cas pour Ernst & Young par exemple. Cette session du MEF s'est déroulée en l'absence des invités marocains. Hasard de calendrier ou acte manqué signifiant ? Le risque de mise à l'écart du Maroc de la dynamique dite de «convergence», au bénéfice d'une troïka Algérie-Tunisie-Libye a bien été souligné par les experts présents. Même si tout le monde convient que l'UMA gagnerait à être tirée par une expérience exemplaire d'intégration «entre au moins deux pays».
                              Et là, on ne parle pas du Maroc ? Tu t'es même permis de mettre cette partie en gras.

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