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Israël-Iran : La guerre on sait pas dans les années a venir !

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  • Israël-Iran : La guerre on sait pas dans les années a venir !

    Le Hezbollah en Iran ?

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    Iran-Israël : la guerre qui ne dit pas son nom

    14.07.2006

    Une guerre entre les deux pays vient d’être déclanchée, une guerre qui ne dit pas le nom de l’un des protagonistes, une guerre dans laquelle l’un des protagonistes se cache derrière des organisations terroristes clairement identifiées comme telles. Demandons à ce régime qui se cache derrière ces bras armés si c’est républicain ou islamique que d’agir de la sorte.

    Dans cette affaire, nous ne pouvons prendre parti car sans retenue nous condamnons l’usage du terrorisme islamique et l’ingérence du régime des mollahs dans les affaires israélo-palestiniennes. Le pays que nous aimons n’est pas dignement représenté depuis 27 ans et nous avons la certitude que les iraniens qui subissent les mollahs ne partagent pas leur vision expansionniste, dogmatique, sectaire et terroriste. Car Israël compte 14 millions d’habitants, l’Iran en compte 70.

    De ces 70 millions, 50% sont nés après la révolution de 1979, et ont été alimentés par les nourritures spirituelles de ce régime, si les iraniens partageaient le point du vue des mollahs, nous n’aurions pas donné cher de la survie d’Israël. Ce ne sont pas les iraniens qui sont en guerre contre Israël mais les mollahs, et ce ne sont pas les iraniens qui se sacrifient pour conquérir Jérusalem. La guerre qui oppose l’Iran à Israël ne tue pas les iraniens, elle fait surtout des victimes chez les autres, arabes, juifs, palestiniens, israéliens et ça aussi nous le regrettons.

    Reconnaître l’existence de cette guerre c’est déjà prendre parti, c’est pourquoi nous nous révoltons aussi de la facilité avec laquelle nos confrères français usent des mots comme Iran ou Iraniens sans se donner la peine de nommer l’ennemi de peur de manquer de respect vis-à-vis de l’Islam. Nous ne partageons pas cette opinion et demandons à nos confrères français ou israéliens d’avoir le courage de reconnaître l’ennemi sans peur d’amalgame. L’ennemi est la république Islamique.

    Voici quelques jours, le président de cette république islamique appelait encore tout le monde à se mobiliser pour anéantir Israël, avant lui ses prédécesseurs en avaient fait autant parfois avec plus clarté, parfois moins maladroitement que Ahmadinejad. Aussi loin que l’on remonte dans l’histoire des islamistes iraniens et de leurs alliés de la gauche iranienne (adulés par la gauche française), le sionisme (ce concept laïque) a été une cible et tous ont toujours vu d’un très bon oeil un exode en sens inverse.

    Cependant l’objectif de cette fanfaronnade de la république islamique n’est pas forcément de provoquer cet exode mais d’entretenir les foyers de haine et empêcher une paix même précaire entre les deux camps. Différents présidents se succèdent à la tête de la république islamique et les tonalités de leurs discours anti-israéliens varient, mais le fond demeure le même. Ahmadinejad est arrivé à un moment où le régime des mollahs a besoin de montrer qu’il peut déclancher une vaste opération terroriste au Proche-Orient. Son discours n’en est que plus anti-israélien voire plus antisémite. Le régime avait promis qu’il attaquerait Israël s’il était menacé de sanctions dans le traitement du dossier nucléaire. Cependant, nous voyons bien qu’il n’est pas capable d’une vaste opération guerrière et reste cantonné dans le domaine où il excelle : la prise d’otage.

    L’enlèvement des deux soldats est un échantillon des compétences du Hezbollah, du Hamas et des mollahs, et leurs capacités de nuisance. Il se pourrait même que l’échantillon soit surdimensionné ! Ceci prouve le mépris du régime des mollahs vis-à-vis des mesures incitatives de l’offre des 6. La seule mention d’une date butoir et la possibilité du transfert du dossier au Conseil de Sécurité a été vue comme une agression et la punition a été de s’en prendre à Israël.

    Le Hamas et le Hezbollah sont aux ordres de la république des mollahs qui est leur principal bailleur de fonds. C’est donc sur ordre qu’ils agissent et avec la bénédiction de Téhéran. Selon certaines rumeurs recueillies par les Israéliens, le Hezbollah envisagerait d’envoyer vers l’Iran les deux soldats israéliens kidnappés, une manière de montrer l’intérêt des mollahs pour cette affaire.

    Car jusque-là, ils n’ont jamais reconnu l’existence de tels échanges et restent flous sur la qualité de leurs liens. Mais la seule évocation de cette possibilité par le Hezbollah est bien le signe tangible de cette relation de vassal et de maître à l’avantage de l’Iran engagé dans un bras de fer avec l’occident. L’Iran a besoin qu’on reconnaisse sa capacité de nuisance et que l’on admette sa puissance régionale.

    Or, les états Européens font mine d’ignorer qu’il y a un rapport entre cette affaire d’enlèvements et le dossier nucléaire et les journalistes français brillent par la platitude de leur analyse unidimensionnelle. La géopolitique n’est pas le point fort de la presse française et par ailleurs, l’UE préfère ne rien voir afin de ne pas qualifier le régime des mollahs de terroriste car par la suite, elle aurait du mal à expliquer une éventuelle entente avec des terroristes. Il est préférable de dire que se sont des potentiels pragmatiques ou réformateurs. Telle est l’ambiguïté de la situation, les mollahs peinent à faire admettre leur terrorisme !

    Dans ce cas, on divise la pomme en deux et l’on parle de l’Axe Iran-Syrie (qui par mesure de correction ne passe pas par l’Irak). Or, avec l’appui de seulement Damas, le Hezbollah (créé par les mollahs) ne pourrait pas agir de la sorte, l’axe Iran-Syrie est le moyen de ne pas évoquer le terrorisme du régime des mollahs.

    Quant au transfert des soldats vers l’Iran, Téhéran va s’empresser de démentir la chose ou prétendre que les paroles du responsable du Hezbollah ont été mal interprétées par les médias occidentaux. Dans ces conditions où tout est une affaire de non-dits ou non assumés que vaut notre prise de position ? On parlera de l’Iran, des iraniens, et personne ne reconnaîtra qu’ils sont arrivés au pouvoir avec la bénédiction de la gauche israélienne, de la gauche française, des évangélistes américains, des bien pensants européens, des compagnons terroristes d’Arafat, et surtout d’un ex-président français.

    Une guerre vient d’être déclanchée, une guerre qui ne dit pas son nom, une guerre invisible entre protagonistes invisibles, incapables de déclarer officiellement la guerre. Selon un proverbe iranien, ce qui ne commence pas n’aura pas de fin.

    Disons que la première étape serait de reconnaître le terrorisme de la république islamique et la seconde, de prendre les sanctions pour éradiquer le régime des mollahs, alors il n’y aurait plus de provocations (des mollahs) qui susciteraient des réactions compréhensibles (pour lesquelles certains ont aujourd’hui du mal à prendre partie).

    Iran-Resist

  • #2
    Qu'est ce qu'il ne faut pas entendre !

    C'est le monde à l'envers ses arguments, mais c'est la communauté internationale et la ligue arabe, qui ont fortifier la république islamique et souder les iraniens aux mollah, en attaquant le regime islamique par le biais de sadam husseine.

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    • #3
      Le Hezbollah troupes avancées de l'Iran

      L'Irak par l'intermédiaire de Sadam Hussein disputait le leader sheap de la région à l'Iran des mollahs.

      En se posant comme le véritable chef des musulmans Almadinejad unifie arabes et perses contre l'occident ou ce qui le symbolise. Ensuite viendra le moment de la purification religieuse. C'est si vrai que l'Iran se propose de construire des mosquées en Algérie, et en particulier la Grande mosquée

      Je crois que des chefs d'Etat responsables comme Boutef l'ont bien compris, et j'abonde pleinement dans le sens de Driss Basri qui le qualifie d'intelligent.

      L'Iran joue un jeu extrêmement dangereux. Je vois mal la Russie et la Chine rester les bras croisés devant ce qui se passe à leur frontière ou pas loin. Pour la Chine il serait mieux de parler de frontière religieuse.

      On peut penser que certains responsables iraniens doivent en dessous donner des assurances à tout le monde, et demander d'attendre les prochaines élections.

      A s'y tromper, ce que l'on appelle Liban ressemble étrangement au Hezbolland.

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      • #4
        On peut toujours argumenter ce que l'on veut au sujet de l'Iran, une seule chose est certaine (selon leurs logique), il sont entourés d'ennemis, aussi bien JudéoChretien que arabo-musulmans/Sunites.
        De là a comprendre les raisons qui les poussent a se doter d'armes nuclaires !

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        • #5
          Iran-Israël : la guerre qui ne dit pas son nom
          Palestine / Liban : Une guerre américaine. Le rôle joué par les Etats-Unis d’Amérique qui soutiennent l’invasion israélienne au Liban. "Tout ce qui se passe au Liban se fait avec la bénédiction des USA…"
          un article de La Tribune (il y a qqs jours de ca) qui explique et analyse bien ce role.

          =====
          La guerre délibérément livrée par Israël contre le Liban continue et devrait se poursuivre, selon les déclarations d’un membre du gouvernement Olmert et le seul constat peu discutable tient en ce fait qu’aucune médiation ou intercession n’est jusque-là parvenue à faire littéralement cesser le massacre. Au vingt-troisième jour de l’agression, le bilan établi, par les services du gouvernement libanais, faisait état de neuf cents victimes –essentiellement civiles-, de quelque trois mille blessés, de destructions de bâtiments, de routes, d’équipements, estimées à deux milliards d’euros qui devraient requérir, au-delà de toute projection financière, au moins trois années d’efforts pour la reconstruction des infrastructures de base. Ces chiffres disent de manière suffisamment éloquente la volonté de détruire pour marquer l’opinion qui va bien au-delà de l’argument clairement spécieux de «l’enlèvement» de deux soldats par des éléments de Hezbollah avancé par Israël pour la mise en place de l’agression. Au demeurant -et cela a été dûment relevé par tous ceux attentifs aux manipulations des médias et de l’opinion, familières aux dirigeants israéliens - la capture de militaires en campagne fait d’autant moins illusion aujourd’hui que rien n’a semble-t-il été fait, en dépit de l’extrême puissance de l’arsenal mis en branle, pour les retrouver. Cette nouvelle guerre menée par Israël contre une partie des populations et contre un Etat arabe suscite de nombreuses lectures particulièrement du côté de médias arabes largement soumis à la fois à l’insoutenable choc des images en provenance du Liban et au délitement spectaculaire du leurre de l’unité arabe.

          De Ghaza au Liban-Sud: la même guerre
          Sans nul doute une partie au moins des clés de cette guerre se trouve dans l’évolution de la situation tant politique que sécuritaire en Palestine occupée et faut-il que la violence de l’agression israélienne au Liban ait atteint un niveau aussi élevé pour faire oublier les attaques de Ghaza contre les populations et les institutions de l’Autorité palestinienne car, en effet, sur ces territoires aussi, la guerre continue, visant explicitement à saper les fondements de l’Autorité palestinienne de ses institutions comme l’aura indiqué l’inédite arrestation de membres du gouvernement et du Parlement palestinien. Il est au moins évident que depuis la disparition du leader historique de la résistance palestinienne Arafat –que l’ancien chef de gouvernement israélien Sharon s’était attaché à ériger en principal obstacle à la mise en application de la fameuse «feuille de route»- les dirigeants israéliens ont tout fait pour mettre à profit une succession difficile pour revenir tant sur l’esprit que sur la lettre des accords d’Oslo. Le 11 septembre et la réorientation stratégique de l’administration Bush dans la lutte contre le terrorisme avaient largement redéfini les enjeux comme devait le vérifier la guerre américaine en Irak ou le classement d’organisations politiques arabes comme le Hamas palestinien ou le Hezbollah libanais comme organisations terroristes licitant, a priori, les agressions israéliennes contre un gouvernement démocratiquement consacré par les électeurs palestiniens ou un parti légal dans son pays représenté au gouvernement et au Parlement. Ce rappel doit éclairer le processus politico-militaire dans lequel s’inscrit de fait Israël et les conditions de conduite d’une guerre assurément inédite dont l’offensive anti-libanaise lancée le 12 juillet dernier n’est qu’une des étapes les plus spectaculaires. Il faut ainsi entendre que ce qui se déroule aujourd’hui encore au Liban poursuit et élargit ce qui a commencé et continue en Palestine et notamment à Ghaza et que l’armée israélienne mène la guerre à la fois pour les objectifs propres d’Israël mais aussi pour le compte des Etats-Unis et ce linkage d’un type nouveau explique, au moins en partie, la forte empreinte américaine sur la gestion internationale de la crise. On le sait le sens et la portée de tout conflit sont, en dernière analyse, fixés par ce qui se décidera autour d’une table de négociations et celui en cours ne devrait pas échapper à la règle dont on peut d’ores et déjà imaginer que l’administration américaine en définira le moment, les participants, les modalités sinon les résultats.
          De ce point de vue, la détermination américaine à s’opposer à un cessez-le-feu immédiat, réclamé notamment par le chef du gouvernement libanais, fait directement écho aux difficultés rencontrées sur le terrain par les militaires israéliens à déloger Hezbollah de ses bases présumées et surtout s’assurer le contrôle de toute la bande sud du Liban dont l’occupation de fait est d’ores et déjà projetée par les dirigeants israéliens comme une nouvelle ligne de sécurité même s’ils laissent entendre que cette situation pourrait prendre fin avec la mise en place d’une force d’interposition dont Elmut Olmer a même anticipé publiquement la composition.


          Un cessez-le-feu américain
          Contrairement à ce qu’ils avancent dans leurs déclarations relatives à un cessez- le-feu qui, selon eux, ne pourrait intervenir que «si les conditions qui avaient provoqué la guerre cessaient». Le fait est indéniablement acquis que cette guerre a déjà profondément redistribué les cartes autant dans la région que sur le plan international et qu’un retour formel l’avant-guerre n’a guère de sens.
          Au moment de tirer, quelles qu’en soient la forme, les conséquences stratégiques du conflit, bien plus que le Hezbollah, quels que soient les coups qui pourraient lui être portés, derrière l’affaiblissement manifeste de l’Etat central libanais, est-ce bien l’Autorité palestinienne et la Syrie qui, paradoxalement, risquent de figurer en tête du camp des vaincus et, qui plus est, avec l’assentiment plus ou moins honteux des dirigeants arabes.
          En fait le timing de cette nouvelle agression israélienne ne peut se comprendre sans les deux évènements politiques majeurs que représentent d’une part l’assassinat de Rafic Hariri et les plus-values qui en ont été tirées par les Américains et plus largement les Occidentaux en vue de l’isolement et la fragilisation du régime de Damas et d’autre part la victoire des islamistes du Hamas lors des élections palestiniennes dont l’un des effets immédiats aura été d’amener le président de l’Autorité palestinienne à entrer en conflit avec la nouvelle majorité et le nouveau gouvernement pour donner des gages à une feuille de route de plus en plus ouvertement problématique. Les Israéliens ont-ils bien mieux que Mahmoud Abbas perçu le message délivré par l’opinion palestinienne à l’occasion de ces élections et qui traduisait un doute profond sur le bien-fondé des choix de la direction politique et plus particulièrement sur le crédit de la feuille de route. L’enlisement avéré des Américains en Irak, brutalement rappelé presque chaque jour avec l’insoutenable litanie des attentats et des voitures piégées, dont le seul pendant demeure la hantise partagée par les Américains et leurs alliés traditionnels du Golfe et au premier chef par la monarchie saoudienne de l’émergence d’une puissance nucléaire iranienne a aussi forcément pesé de tout son poids dans la mise en avant d’une démonstration de force israélienne dont il est attendu au moins l’affaiblissement notable de l’ axe présumé Hezbollah-Damas–Téhéran.


          Une «pax americana»
          Le plus remarquable est que l’heure des négociations venue –du moins fixée par les Américains- le risque est réel de voir «la paix durable» définie comme horizon souhaitable par la Maison-Blanche se discuter sans une partie des acteurs majeurs de la région, le syrien en particulier. Le déplacement de Moratinos ministre des Affaires étrangères espagnol à Damas, déplacement publiquement adoubé par Javier Solana au nom de l’Union européenne, illustre la difficulté que rencontre notamment l’Union européenne à se faire admettre dans un système de relations internationales d’abord informé par la toute puissance américaine. Remettre en selle Damas -mise en cause sans nuances dans l’assassinat de Hariri- est presque l’inattendu chemin étroit pour une diplomatie européenne régulièrement bloquée par l’alignement britannique sur les Etats-Unis et que marque en sus la constance d’une attitude française en réserve sinon en claire opposition vis-à-vis des choix américains.
          Cette différence française rappelle nécessairement les franches réticences de Paris contre la guerre américaine en Irak en mars 2003 et à bien y voir d’autres éléments pourraient nourrir l’analogie et notamment le fait que cette nouvelle guerre israélienne, sous l’ostensible parapluie américain, se fait tout comme l’agression de l’Irak hors de l’autorité des Nations unies dont, à l’occasion, l’impuissance signalée marque la toute puissance de l’empire américain.
          Il serait tout aussi loisible de gloser sur l’effacement de moins en moins discutable d’une Union européenne assez bassement attachée à ses comptes d’apothicaire –l’élargissement sur fond d’un sourd racisme antimusulman- alors même que l’enseignement majeur à tirer des évènements de ces dernières semaines doit sans doute consacrer la fin du cycle des illusions sur un destin arabe commun qui ne se nourrit que de la puissance des hypocrisies, des mensonges et des calculs de régimes d’abord attentifs à leur propre survie. Nasser est bien mort, la Ligue arabe aussi. Dessiller le regard des Arabes peut être l’un des effets collatéraux de la guerre en cours au Liban.

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          • #6
            Joan qu'entends tu par purification religieuse? Si tu crois qu'ils vont chercher à éliminer les Juifs et les Chrétiens tu te trompes, ils sont mémes représentés au parlement Iranien .

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            • #7
              dans combien de temps arrivera le rouleau compresseur israelo americain en algerie ?.apres l'afghanistan ,l'irak le liban la palestine bientôt la syrie ou l'iran selon l'humeur.peut etre qu'ils vont croire qu'on n'est pas des arabes ?
              c'est curieux cette politique de l'autruche.

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              • #8
                dans combien de temps arrivera le rouleau compresseur israelo americain en algerie ?.apres l'afghanistan ,l'irak le liban la palestine bientôt la syrie ou l'iran

                Ah, En verra en ce moment si les armes Algeriennes achetées à coût de Milliards en Russie feraient le poids contre la puissance
                Du feu Israélienne.

                Ca nous apprendra à jeter l'argent par la fenêtre à défaut de pouvoir jeter les bases d'une vraie industrie militaire

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                • #9
                  Pour le moment il faut partir du principe de la capacité de nuisance de nos forces armées. Plus elles sont féroces et capables de porter des coups à un potentiel ennemi plus ca le dissiuadera d'attaquer.

                  La puissance israélienne a démontré toute sa puissance dans l'usage de l'aviation mais surtout contre les civils et les infrastructures. Sur terre, je dirai même qu'ils ont perdus de leur superbe.

                  Par ailleurs, maintenir un conflit de 4 semaines contre des forces négligeables au regard de la puissance de feu israélienne est particulièrement révélateur. 200 millions de dollars/jour de conflit pour un pays de 6 millions d'habitant n'est pas rien.

                  L'armée israélienne est une armée qui fonctionne sur le principe du blitzkrieg. Elle donne un bon coup pour assommer l'adversaire, une fois à terre elle le travail au corps pour ne pas le laisser se relever. En gros le rouleau compresseur passe une fois.

                  Les missiles S-300 sont probablement le système le plus sophistiqué en matière de défense aérienne à longue portée dans le monde (en attendant un autre système encore plus efficace) mais ne sont pas suffisants et peu nombreux de toute façon.

                  Franchement il n'y a pas de parades contre une attaques aérienne massive et un pays comme l'algérie sera vite balayé.

                  Donc avoir ces missiles aujourd'hui ou en 2011 ne changera rien à la situation mais c'est sûr ces missiles peuvent dissuader par exemple la force aérienne israélienne de s'approcher au risque de perdre la moitié de ses appareils. Cela suppose que les opérateurs soient suffisament fûtés et entraînés pour manier le matériel.

                  Sinon le territoire algérien est vulnérable aux attaques aériennes des puissances occidentales et isaréliennes, y compris avec ces missiles il n'y a aucun doute.

                  Le principe est de donner du fil à retordre c'est tout.

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                  • #10
                    desoler de te decevoir mais ca ne tient pas la route non plus, l'exemple du liban est revelateur, si les libanais avient ce genre de missiles, ils auraient probablement subit une attaque avec des missiles sols/sols en lieu et place de l'aviation.

                    Le principe est de donner du fil à retordre c'est tout.
                    Pas en se basant sur le materiel "acheté", mais uniquement sur la motivation, à l'aide de la guerilla.

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                    • #11
                      >>>si les libanais avient ce genre de missiles, ils auraient probablement subit une attaque avec des missiles sols/sols en lieu et place de l'aviation.

                      Ce n'est qu'un choix mais le liban est un petit pays qui n'a presque pas d'armée normal qu'on voit là un simple tir au pigeon. Mais le hizbollah est avant goût de ce que peut être les gardiens de la révolution iranienne les troupes d'élites de tehran. Et sur le plan des missiles sol/sol ce n'est pas des feux d'artifices non plus...
                      Tout le monde sait que la syrie ravitaille la resistance libanaise, mais si les israéliens avaient les moyens de lui donner quelques fessées tu crois qu'ils s'en serait privés...ils savent très bien que personne ne leverai le petit doigt y compris les iraniens.

                      >>>Pas en se basant sur le materiel "acheté", mais uniquement sur la motivation, à l'aide de la guerilla.

                      Tout les moyens sont bons, tu ne veux pas qu'ils se battent avec des lames de rasoirs tout de même.

                      Personellement je pense que l'usage de l'aviation par israel pour décourager quiconque en disant voilà ce qui vous arrivera si vous touchez un cheveux des mes citoyens, je dis bien un cheveux..

                      Pas un seul dignitaire arabe n'a brandi une quelconque menace, donc tout est OK pour eux...

                      Quant à la resistance elle a quelque part déjà gagné cette bataille, il n'y a rien à dire, ils ont détruit le mythe et ont permi a pas mal d'observateurs de réaliser à quel point les israéliens sont vulnérables.

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                      • #12
                        En fait, ce que je voulais dire tout simplement, c'est qu'on ne peut parler de la puissance militaire d'une nation qui ne fabrique pas ses propres armes.
                        Y'a que les pays Arabes qui n'ont pas encore compris cette donne.


                        Donc avoir ces missiles aujourd'hui ou en 2011 ne changera rien à la situation mais c'est sûr ces missiles peuvent dissuader par exemple la force aérienne israélienne de s'approcher au risque de perdre la moitié de ses appareils. Cela suppose que les opérateurs soient suffisament fûtés et entraînés pour manier le matériel.
                        D'où la nécessité d'avoir sa propre technologie militaire, même avec ces missiles l'armée algérienne serait balayée en 48H.

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                        • #13
                          >>>Y'a que les pays Arabes qui n'ont pas encore compris cette donne

                          Ce sont les dirigeants qui détiennent les centres de décision. La sécurité des peuples n'est pas une priorité en tout cas pas autant que la sauvegarde des régimes.

                          Mais ils ont compris que la police repressive est une force de dissuasion mais pour leur propres peuples..

                          Ben ali est certainement le meilleur exemple en la matière.

                          Commentaire


                          • #14
                            Tout le monde sait que la syrie ravitaille la resistance libanaise, mais si les israéliens avaient les moyens de lui donner quelques fessées tu crois qu'ils s'en serait privés...ils savent très bien que personne ne leverai le petit doigt y compris les iraniens.

                            Une fessée à la Syrie ? mais ils occupent déjà une partie de son territoire ( le plateau du Golan), la balle est dans le camp Syrien depuis 67.
                            Il paraît que y'a plus d'un mois l'aviation israélienne avait même survolé le plais présidentiel à Damas, les syriens se sont contentés alors d'un simple communiqué " nos radars ont détecté quelque chose ".

                            Commentaire


                            • #15
                              >>>Il paraît que y'a plus d'un mois l'aviation israélienne avait même survolé le plais présidentiel à Damas, les syriens se sont contentés alors d'un simple communiqué " nos radars ont détecté quelque chose ".

                              Survoler la syrie ne dérange guère le régime, en revanche menacer directement le régime peut le rendre méchant, les fessées il en a eu dans le passé et à la pelle, une de plus n'est vraiment pas impossible pour les israéliens. En 2003, on a proposé à sadam de libérer le siège, pour sauver son pays mais il a refusé. Car il s'en fout c'est son régime qui compte.
                              Aujourd'hui soutenir le hizbollah est une nécessité pour montrer à son peuple qu'il combat...

                              pour optimiser tout les résultats de ce merdier, je ne vois qu'une seule solution...
                              -Arrêter les combats
                              -Reconduire Israel vers ses frontières
                              -Entamer des discussions ditectes avec Israel pour qu'ils libèrent défintivement les territoires et accepter le retour des palestiniens...
                              -Les dirigeants arabes sont défintivement en disgrâce aux yeux de leur population et il n'est pas impossible que ceratins pays vont se soulever pour détrôner les régimes...en ce sens qu'Israel est devenu une véritable bénédiction et un argument de taille pour illustrer la valeur exacte des régimes..

                              Cela permettra aux peuples de la région de vivre 50 années tranquillement, en attendant la prochaine déflagration...

                              Il n'est pas impossible de penser qu'Israel est fatigué de tout ces guerres, et objectivement s'ils veulent une perrenité pour leur pays, il est temps de raccrocher. Démographiquement ils sont déjà OUT.

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