8 fév. 2013
Syrie : Damas négociera si l’opposition dépose les armes
Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Fayçal Mokdad, a rejeté hier les conditions proposées par le chef de la Coalition nationale de l’opposition syrienne, Ahmed Moaz al-Khatib, pour l’ouverture d’un processus de négociation et a appelé les forces rebelles à déposer les armes. « La proposition de M. Khatib n'est qu'une tentative de l'opposition de réagir à l'initiative de paix formulée par le président syrien Bachar al-Assad en janvier, mais il faut que l'opposition renonce d'abord à la lutte armée pour que l'on puisse entamer un dialogue sur la crise syrienne », a déclaré M. Mokdad à l’occasion d'un entretien avec le chef de la diplomatie chinoise, Yang Jiechi. « Nous saluerons ceux qui déposeront leurs armes et viendront à l'idée des négociations », a-t-il ajouté. M. Khatib a récemment affirmé être prêt à négocier directement avec des représentants du régime de Bachar al-Assad n’ayant pas de « sang sur les mains », si le régime était en retour prêt à libérer 160 000 détenus politiques. (Source : RIA Novosti)
Syrie : Damas négociera si l’opposition dépose les armes
Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Fayçal Mokdad, a rejeté hier les conditions proposées par le chef de la Coalition nationale de l’opposition syrienne, Ahmed Moaz al-Khatib, pour l’ouverture d’un processus de négociation et a appelé les forces rebelles à déposer les armes. « La proposition de M. Khatib n'est qu'une tentative de l'opposition de réagir à l'initiative de paix formulée par le président syrien Bachar al-Assad en janvier, mais il faut que l'opposition renonce d'abord à la lutte armée pour que l'on puisse entamer un dialogue sur la crise syrienne », a déclaré M. Mokdad à l’occasion d'un entretien avec le chef de la diplomatie chinoise, Yang Jiechi. « Nous saluerons ceux qui déposeront leurs armes et viendront à l'idée des négociations », a-t-il ajouté. M. Khatib a récemment affirmé être prêt à négocier directement avec des représentants du régime de Bachar al-Assad n’ayant pas de « sang sur les mains », si le régime était en retour prêt à libérer 160 000 détenus politiques. (Source : RIA Novosti)
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