Une guitare à la main
De mon coeur une douce mélodie s’envole sans fin
Une mélodie nostalgique, d’amour, de tristesse
Ma pensée chante sans cesse...
Assis au bord d’un ruisseau
J’écoute le faible clapotit de l’eau
M’accompagner dans mes rêves
Où je m’abandonne avec trêves...
Le soleil commence à tomber
Pour laisser place à l’obscurité
La lune, vois je apparaître
Belle, elle semble renaître...
Le rythme de ma guitare s’appaise
Mes doigts parcourent le manche avec aise
Ils semblent écouter
La douce et mélancolique musique de la nature exilée...
Ma voix continue de fredonner
Un petit air de tristesse, mais l’espoir
Jailli quand approche la fin du soir
La nuit tombée est déjà bien avancée...
Qu’elle est belle, cette musique
Quand une guitare, une voix et la nature magique
S’accordent, marchent unis
A jamais, pour une heureuse vie...
Je reste là, à attendre
La fin du monde, quand tout sera cendre
Je te verrais alors, dans la luminosité
Un ange vient me chercher...
Soudain, la nuit touche à sa fin
une lumière aveuglante jailli sans fin
Le soleil, impérial, apparaît
Aucune pitiée pour la si belle Lune, elle disparaît...
C’est avec la nuit que sont partis mes envies
Triste de devoir quitter
Cet endroit source de vie
Je m’en retourne vers l’humanité, et son retour j’attendrais...
De mon coeur une douce mélodie s’envole sans fin
Une mélodie nostalgique, d’amour, de tristesse
Ma pensée chante sans cesse...
Assis au bord d’un ruisseau
J’écoute le faible clapotit de l’eau
M’accompagner dans mes rêves
Où je m’abandonne avec trêves...
Le soleil commence à tomber
Pour laisser place à l’obscurité
La lune, vois je apparaître
Belle, elle semble renaître...
Le rythme de ma guitare s’appaise
Mes doigts parcourent le manche avec aise
Ils semblent écouter
La douce et mélancolique musique de la nature exilée...
Ma voix continue de fredonner
Un petit air de tristesse, mais l’espoir
Jailli quand approche la fin du soir
La nuit tombée est déjà bien avancée...
Qu’elle est belle, cette musique
Quand une guitare, une voix et la nature magique
S’accordent, marchent unis
A jamais, pour une heureuse vie...
Je reste là, à attendre
La fin du monde, quand tout sera cendre
Je te verrais alors, dans la luminosité
Un ange vient me chercher...
Soudain, la nuit touche à sa fin
une lumière aveuglante jailli sans fin
Le soleil, impérial, apparaît
Aucune pitiée pour la si belle Lune, elle disparaît...
C’est avec la nuit que sont partis mes envies
Triste de devoir quitter
Cet endroit source de vie
Je m’en retourne vers l’humanité, et son retour j’attendrais...