Dans son rapport pour l’année 2012, l’organisation des droits de l’homme
Human Rights Watch estime que la situation des droits humains au Maroc
présente un bilan mitigé.
Dès le début du rapport, l’ONG critique le soutien de l’Occident au Maroc et à
sa monarchie : "On parle beaucoup des modestes réformes adoptées par le
Maroc au lieu de pousser sa monarchie à aller plus loin. Le message envoyé
est que l’Occident est disposé à tolérer les autocrates arabes qui appuient les
intérêts occidentaux et qu’il ne suivra le train des réformes que lorsque celui-
ci sera sur le point d’arriver à destination".
Ensuite, l’ONG internationale revient sur la répression policière de
manifestations et les "procès injustes" de leurs instigateurs, la liberté de la
presse et la liberté d’expression souvent bafouées. En exemple, HRW cite les
procès politiques du journaliste Rachid Nini, du responsable de l’AMDH Seddik
Kebbouri, et du rappeur Mouad Belghouat allias Lhaqed.
Les abus policiers contre les subsahariens, l’agression du député Abdessamad
Idrissi, le suicide d’Amina Filali, le retrait de l’accréditation du journaliste AFP
Omar Brousky et le travail d’enfants sont également pointés du doigt.
Plus positif, HRW note que les autorités marocaines ont autorisé la visite en
septembre dernier, du rapporteur spécial de l’ONU sur la torture au Maroc et
au Sahara.
Human Rights Watch relate dans son 23e rapport, plusieurs autres
évènements survenus au Maroc en 2012, avec un peu plus de négatif que de
positif...
Source : Mon Voisin
Human Rights Watch estime que la situation des droits humains au Maroc
présente un bilan mitigé.
Dès le début du rapport, l’ONG critique le soutien de l’Occident au Maroc et à
sa monarchie : "On parle beaucoup des modestes réformes adoptées par le
Maroc au lieu de pousser sa monarchie à aller plus loin. Le message envoyé
est que l’Occident est disposé à tolérer les autocrates arabes qui appuient les
intérêts occidentaux et qu’il ne suivra le train des réformes que lorsque celui-
ci sera sur le point d’arriver à destination".
Ensuite, l’ONG internationale revient sur la répression policière de
manifestations et les "procès injustes" de leurs instigateurs, la liberté de la
presse et la liberté d’expression souvent bafouées. En exemple, HRW cite les
procès politiques du journaliste Rachid Nini, du responsable de l’AMDH Seddik
Kebbouri, et du rappeur Mouad Belghouat allias Lhaqed.
Les abus policiers contre les subsahariens, l’agression du député Abdessamad
Idrissi, le suicide d’Amina Filali, le retrait de l’accréditation du journaliste AFP
Omar Brousky et le travail d’enfants sont également pointés du doigt.
Plus positif, HRW note que les autorités marocaines ont autorisé la visite en
septembre dernier, du rapporteur spécial de l’ONU sur la torture au Maroc et
au Sahara.
Human Rights Watch relate dans son 23e rapport, plusieurs autres
évènements survenus au Maroc en 2012, avec un peu plus de négatif que de
positif...
Source : Mon Voisin
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