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Un jeune homme se suicide après avoir été rejeté par la femme qu'il aimait

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  • Un jeune homme se suicide après avoir été rejeté par la femme qu'il aimait

    Il avait 20 ans. Un peu plus ? Un peu moins ? Peu importe. Quand on a 20 ans dans sa tête, c’est pour la vie. Et Mohamed Bassam avait une tête bien faite et si belle. Il ressemblait à Paul Newman, la beauté conjuguée au charme. Mais Newman était heureux aux States et Mohamed souffrait à Alger. Lui qui était “un rayon de soleil apparu dans notre maison dès qu’on l’a adopté”, selon son père Chara Boualem, n’était plus le même depuis un certain temps.

    Mohamed qui était la joie de vivre ne vivait plus, ne parlait plus, ne dormait plus. Il avait un mal aussi insidieux que le cancer quand il n’est pas ou plus partagé : le mal d’amour. Oui, Mohamed était amoureux d’une femme plus âgée que lui, plus expérimentée que lui, plus rompue aux choses du cœur et de ses artifices. Elle savait, cette experte, comment ferrer un homme, comment le garder, comment le subjuguer, comment le rendre dépendant d’elle, ne vivant que par elle, ne respirant que par elle.

    Terrible ? Quel amour ne l’est pas quand l’un se détache de l’autre brutalement, sans signaux. L’un est parti les pieds sur terre et la fleur aux dents, quand l’autre plane toujours dans le monde du rêve et de la béatitude. Pensez à la chanson de Brel : “Ne me quitte pas”, pensez à cette terrible chanson de l’amour malheureux, de la déchéance d’un homme prêt à tout. Alors on refuse ce rejet, on veut bien croire que tout n’est pas fini, hein, impossible qu’on ne soit plus aimé. On refuse d’autant plus qu’on n’est coupable de rien. Ou si : coupable d’aimer trop.

    Mais aime-t-on trop ? L’amour a-t-il des limites lui qui est illimité par sa nature et son essence ? On relance la cruelle qui a déjà tourné la page avec pragmatisme et bonne conscience. Elle répond une fois par curiosité, elle répond une deuxième fois par politesse, elle répond une troisième fois pour demander à celui qu’elle a fait sortir de son monde enchanté de ne plus rappeler.La quatrième fois, elle ne répond plus, et même la millième fois le téléphone sonnera dans le vide.

    Vous êtes devenu moins qu’un étranger pour elle : un importun, un empêcheur de vivre. Vous n’existez plus. Vous êtes mort pour elle. Et aucun fantôme ne la hante.

    Rejeté par son amour, Mohamed ne savait plus quoi faire. Comme les journées sont si longues sans elle, comme les journées sont vides, comme les journées sont tristes, subitement il perdit le goût de la vie.
    Que vaut la vie quand celle qui était notre vie nous quitte, je vous le demande ?

    Pour la dernière fois il décida d’appeler celle qui lui a brisé le cœur. Aucune réponse. Et puis il décida, lui aussi, de ne plus répondre. Ne plus répondre à la vie. Une vie pour une femme. Une femme pour la vie.

    Sa famille le trouva pendu dans sa chambre. Mort d’amour ? Mort d’avoir tout mis dans son amour. Mort d’avoir cru à l’amour. Amour, mort, comme les deux mots se ressemblent

    Hamid GRINE, Liberté

  • #2
    Bonjour morjane

    Quelle triste histoire !
    il n'a pas réussi à surmonter son chagrin d'amour ...triste fin pour ce jeune homme
    "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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    • #3
      Bonjour Spacialle,

      Envoyé par SPACIALLE
      Quelle triste histoire !
      C'est exactement ce que je me suis dit et qui m'a fait hésiter avant de la poster .Et, puis je me suis dit que si , à 20ans, on peut d'amour mourir . Même si "l'objet" de sa passion ne me semble pas mériter autant d'amour ..

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      • #4
        Inexcusable
        ca reste une forme d'idolatrie
        tchek tchek tchek

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        • #5
          Oui, Mohamed était amoureux d’une femme plus âgée que lui, plus expérimentée que lui, plus rompue aux choses du cœur et de ses artifices. Elle savait, cette experte, comment ferrer un homme, comment le garder, comment le subjuguer, comment le rendre dépendant d’elle, ne vivant que par elle, ne respirant que par elle.
          j envie cette femme j aimerai rendre aussi un homme amoureux a ce point la de moi
          sinon ca doit etre difficile pour la famille de ce jeune homme

          l amour c est pas sur commande on ne choisit pas
          y a quelque jours je suis tomber sur un txte de tariq ramadan
          si ca te derange pas morjane je le copie et le colle ici sur ce topic je m ecxuse si le texte est longue

          AMOUR ET DÉTACHEMENT

          Les spiritualités ont toutes mis en évidence les ambivalences et les ambigüités de l’amour. Ses différentes natures et ses deux faces. L’amour est une école initiatique où l’on apprend à progresser, à s’élever, puis à se libérer mais l’amour peut aussi être une prison dans laquelle on voit ses chaînes se multiplier, où l’on s’enfonce, se perd et finit dans la dépendance totale. Les enseignements universels des spiritualités, des philosophies et de toutes les religions se recoupent ici et formulent, au demeurant, les mêmes vérités : l’individu retrouve dans l’amour ce qu’il est venu y chercher car l’amour est autant son miroir que sa révélation. Enfermé dans l’émotion, l’emprise et le besoin de la possession, son amour se retournera contre lui et lui offrira la souffrance du manque et l’enchaînement du cœur. Habité et traversé par la spiritualité et la maîtrise, son amour le sortira du moi et lui permettra d’accéder à la plénitude de l’être et au don de soi.

          Ainsi l’amour est-il comme l’éducation, il faut « aller avec » et apprendre à se détacher avec cette conscience toujours approfondie de l’ambivalence des choses et de la nécessité de l’équilibre, toujours si difficile, toujours si fragile. Se connaître, s’aimer assez, aimer beaucoup, apprendre à aimer mieux, à offrir, à s’offrir et à pardonner sont des apprentissages de la vie, jamais achevés, jamais accomplis, à renouveler toujours. Aimer sans s’attacher et aimer sans attacher, sont sans doute les deux dispositions-attitudes qui demandent à l’être humain de développer un discernement aigu et de s’armer de profondes qualités d’être et de cœur. Aimer la vie et l’observer s’en aller, s’aimer sans s’illusionner sur soi, aimer ses amours au cœur du temps qui les emporte : aimer sans idolâtrer, aimer avec la conscience de la relativité de tout. C’est le sens profond de l’amour-compassion qui doit libérer dans la tradition bouddhiste de même que celui de l’unicité de Dieu dans les traditions monothéistes. Il s’agit de se libérer de ses illusions, de la fausse adoration de ses désirs et des idoles de son intimité, pour accéder à un amour-lucidité en quête d’une proximité discernant l’étendue de la distance dans l’absolu. C’est l’expérience mystique qu’al-Jilânî (11 et 12 ème siècle) et Rûmî (13ème siècle) ont tenté de traduire à l’unisson de toutes les expériences spirituelles et mystiques. Le Prophète de Gibran résumait cette sortie de soi, dans l’amour du Tout et/ou de Dieu, en affirmant : « Quand vous aimez, vous ne devriez pas dire, ‘Dieu est dans mon cœur’ mais plutôt, ‘Je suis dans le cœur de Dieu’ ».

          Aimer sans dépendance. Rien n’est aussi difficile et cela requiert un long apprentissage, exigeant et parfois douloureux. Il s’agit d’aimer sans illusions. Cela est d’autant plus difficile que l’on a parfois l’impression qu’aimer consiste justement à s’illusionner. Comment grandir de l’illusion de l’amour à la lucidité de l’amour ? Comment se détacher de ce qui, par définition, nous attache ? Le même Prophète de Gibran affirmait « L’amour ne possède pas, ni ne veut être possédé » mais qu’en est-il des possédés, de celles et de ceux que « l’amour rend aveugles » et emprisonnés ? Comment sortir de soi pour se fondre dans le cœur du Tout ou dans la Lumière de l’Unique ? L’amour est certes une promesse du bien, du beau et du bien-être mais cette promesse a toujours été accompagnée de tant de larmes, de tant de souffrances et de tant de douleurs. Vivre, c’est souffrir ; vivre, c’est aimer…aimer, c’est souffrir. Faut-il donc, pour vivre, finir par aimer sa souffrance jusqu’à ce que mort s’en suive ?

          L’amour qui dépasse l’amour est un amour qui libère. Il offre la plénitude avec le sens de la contingence. Il importe donc d’éduquer sa conscience et son cœur à aimer dans l’absolu de l’instant et dans la conscience du temps : être là et savoir que l’on s’en va. Aimer en apprenant à s’en aller : le plus bel amour n’oublie jamais la séparation, et encore moins la mort. L’amour et la mort forment le couple le plus humain qui soit : le plus profond amour humain ne cherche pas à s’illusionner sur le caractère inéluctable de la mort qui vient. Cette fragilité est sa force. Le pouvoir de l’humilité se cache aux abords de cette conscience - dans l’amour - de la mort.

          Revenir à l’origine. Les textes sacrés, les traditions anciennes et toutes les philosophies, de toutes les époques, tournent notre visage et notre attention vers la Nature, sa beauté, ses cycles, l’éphémère et l’éternité. Nous savons que nous aimons, naturellement, ils nous enseignent néanmoins à aimer mieux, consciemment, spirituellement, et à apprendre à appréhender le sens dans le détachement. Il faut faire un choix, au demeurant, entre la réserve de Kant ou la fougue de Nietzsche, entre la voie de Bouddha et celle de Dionysos, entre l’amour de Dieu et l’amour du Désir. Entre une idée de la liberté et la gestion des besoins, entre l’indépendance et la dépendance, entre le détachement et l’enchaînement. On ne choisit pas d’aimer mais on peut choisir sa façon d’aimer. La Nature est ce miroir devant lequel il faut lever notre visage, regarder dans la proximité et au loin, en sachant que si nous sommes présent, pleinement, aujourd’hui, la terre offrira à d’autres demain, et sans nous, une même plénitude sur une terre qui aura désormais consacré notre absence. Le miroir du temps et des espaces infinis le reflète, le soi libéré le comprend, l’Unique le répète : aimer, c’est être là, à proximité de l’extraordinaire de l’ordinaire et offrir, donner, pardonner. Aimer, c’est marier la présence des sédentaires et les migrations des nomades… les racines de l’arbre et la force des vents. Aimer, c’est recevoir et apprendre à laisser les êtres s’en aller. Aimer, c’est donner et apprendre à s’en aller. Et inversement.

          Tariq Ramadan
          Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

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          • #6
            il est mort en kaffir ! c'est tout ce que je peux dire sur lui !

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            • #7
              Envoyé par tenebre
              il est mort en kaffir !
              Pourquoi le traiter de "kaffir"?! T'es devenu fan de Mollah Omar?!

              Le malheureux jeune homme était très probablement mentalement fragile et avait une basse estime de soi, ce qui expliquerait son suicide suite à une déception amoureuse. La malheureux jeune homme devait être seul et n'avait pas des personnes (proches, ami(e)s...etc) à qui se confier pour vider son coeur et leur offrir l'opportunité de le conseiller et de le soutenir pour qu'il rebondisse rapidement. Qu'il repose en paix.

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              • #8
                parce que le suicide est haram tout simplement !


                se donner la mort à 20 ans alors qu'il avait toute la vie devant lui !

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                • #9
                  Un jeune homme se suicide après avoir été rejeté par la femme qu'il aimait

                  le pauvre rabi yarehamou

                  Oui, Mohamed était amoureux d’une femme plus âgée que lui, plus expérimentée que lui, plus rompue aux choses du cœur et de ses artifices. Elle savait, cette experte, comment ferrer un homme, comment le garder, comment le subjuguer, comment le rendre dépendant d’elle, ne vivant que par elle, ne respirant que par elle.
                  Ici on appelle ça une cougars elle aime les petits jeunes
                  lui le pauvre n'est plus de ce monde.......
                  Et elle vas jetais son devolu sur un autre
                  C'est comme celle qui sur le net fait croire a sa mort sur les forums

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                  • #10
                    Bonsoir

                    Moi je dirais " encore une cougar" OU une diablesse , quelque chose comme ca...sans cœur qui a joué avec ses sentiments et qui a finit par le lui brisé le coeur
                    Souvent elles choisissent des êtres fragiles , leur donnant l impression d’être des sur hommes....alors que mentalement ils sont fragiles et souvent la rupture est brutale et ca finit mal....La preuve ...:22:
                    " Regarde le ciel c'est marqué dedans , toi et moi. Il suffit de regarder les étoiles et tu comprendra notre destinée "♥ღ♥
                    M/SR

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                    • #11
                      coucou mon rebelle...

                      Je vois que nos esprits pensent pareils....

                      Allah yarahmou ce pauvre garcon...

                      ce genre de femme, même homme IL Y EN A aussi , faudrait un jugement spécial pour eux....
                      " Regarde le ciel c'est marqué dedans , toi et moi. Il suffit de regarder les étoiles et tu comprendra notre destinée "♥ღ♥
                      M/SR

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                      • #12
                        Envoyé par tenebre
                        se donner la mort à 20 ans alors qu'il avait toute la vie devant lui !
                        Biensûr que c'est malheureux de se donner la mort, mais ici, la question n'est pas d'ordre religieux, mais psychologique. Le jeune homme devait être mentalement fragile et devait avoir besoin d'être traité par un bon psychologue/psychiatre.

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                        • #13
                          Triste histoire.. etAllah yarahmou we yaghferlou .


                          Nuits bleu et Matrix allo , on ne peut blâmer la femme en question, on ne connait rien des circonstances, juste le fait d'etre avec quelqu'un de tres dépendant, personnellement,peut ( et surement ) me faire fuir très loin, et combien y en a des histoires que ça soit pour homme ou femme ou l'autre personne menace de se suicider si jamais il ou elle le lâche ?

                          et peut être qu'elle même a subi des pressions de leur entourage du fait qu'elle soit plus âgée que lui..
                          ça doit etre terrible pour elle d'entendre la mauvaise nouvelle et ce sentiment de culpabilité qui la suivra toute sa vie..


                          des milliers de personnes rompent chaque jours, ce n'est pas pour autant que tout ce monde se suicide..

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                          • #14
                            yazou Bonjour

                            Matrix allo , on ne peut blâmer la femme en question
                            je reagis en ce qui est ecris

                            Mohamed était amoureux d’une femme plus âgée que lui, plus expérimentée que lui, plus rompue aux choses du cœur et de ses artifices. Elle savait, cette experte, comment ferrer un homme, comment le garder, comment le subjuguer, comment le rendre dépendant d’elle, ne vivant que par elle, ne respirant que par elle.
                            Voila on peut vivre un parfaite amour avec un epersonne plus agé
                            je suis d'accord avec toi mais cette femme en question je ne pense pas elle c'est jouée de lui

                            Commentaire


                            • #15

                              او عادة في الزين إلا يتيه بالباطل يحكم
                              بعدما يحكم بالتيهان و يزيد الهجرة

                              Un etre vulnerable qui a donne sa vie pour un amour perdu ....

                              Je pense a ce pauvre jeune homme.. avant son suicide il a du souffrir au point de deprimer et se donner la mort.
                              Je pense a ses parents qui ont perdu un etre cher de facon tragique. Ils doivent se sentir coupables de ne pas etre suffisement attentifs a leur enfant dans ses moments difficiles pour prevenir un tel acte. Ils doivent vivre cette tragedie an ayant des remords .. rabbi m3ahoum

                              Le suicide laisse des traces profondes et indelebiles chez les proches de la victime.

                              On a pas le droit de juger ce jeune homme. il est aupres de son createur Lui seul le jugera. Arretons SVP de parler des choses qui nous depassent.

                              On ne connait rien a l'histoire pour juger cette femme. Rien n'oblige cette femme a l'aimer.
                              The Sea is Woman, the Sea is Wonder, her other name is Fate!

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