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Le temps coule dans le ruisseau ininterrompu de la vie . paisible dans sa force continuellement renouvelée . il décapite les hommes et nargue leur présence insensée dans ce monde certainement incertain.
je ne connais pas les hommes , et je n'aurai pas la prétention de parler de l'humain. j'avoue aussi qu'il ne m'intéresse aucunement . l'homme est une insulte a la vie et a ce qu'elle recèle de potentiellement beau. il est un mensonge au cœur de la vérité . il m'arrive des fois de tenter une introspection pour essayer de comprendre l'incompréhensible. une masturbation cerebrale qui me donne plus de maux de tête que de réponses . l'histoire est une catin qui évite le plein jour. j'ai tenter de comprendre la création et la vérité de l'être.
Mais en vérité l’histoire de la création est plus simple que ce que prétendent tous les livres. Et elle commence par l’ennui. Oui ! L’ennui. Seul dans son immensurable solitude et rongé par l’éternelle éternité, dieu créa le monde pour meubler son spleen et occuper son omnipotence.
Les anges étaient trop soumis, inoffensifs et les démons de nature, étaient chthoniens et enclins au mal. Le placard du grand architecte regorgeait de vieilleries, de créations obsolètes et de jouets qui n’amusaient plus sa divine divinité.
L’illuminé ; inspiré et solitaire. souffla dans les éléments de l’univers une nouvelle vie. Il modela de ses propres mains cette forme qui devint nous « humains ». La trouvaille qui amorça notre singularité fut un nouveau concept en phase expérimental « le libre arbitre » parait-il nous n’étions ni bon ni mauvais, certes nous pouvions jouer au diables autant que jouer aux anges mais nous restions trop différents du reste des créatures. Nos âmes instables et nos esprits déconcertants flirtaient avec les extrêmes. Le pacifisme autant que la violence gratuite, germaient dans nos cœurs insatiables. Haine et amour; lâcheté et héroïsme. Petitesse et grandeur ; bêtise et génie !!!
Nous fûmes le patchwork d’une muse gâteuse et schizophrène.
Sur terre en ces temps la. des créatures dotées de crocs plus que d’esprit peuplaient les espaces originaux. des colosses griffus, ailés, aquatiques régnaient en maitres absolus
L’humanité foutue dehors pour un acte gravé depuis l’origine des temps dans les anales du livre de la destiné se retrouva embourbée dans ce monde en ébullition. Fourvoyée dans cet espace menaçant qu’est la source du début incertain.
Des siècles d’évolution, ou plutôt des millénaires passèrent jusqu’au jour ou l’homme se prit pour dieu !!!!
Quelle erreur, aucune des créatures ne s’est substitué auparavant au créateur mais l’homme si.
Il se mit à créer, il n’arrêta pas d’inventer toutes sortes d’objets et de machines. Qui le confortèrent dans sa puissance et le bouffirent d’arrogance. L’humain est devenu l’homme et l’homme individu.
Six milliard de divine individualité dans un espace confiné et c’est l’apocalypse ; la fin des fins ; le bout du rouleau. Les Héraclès et les Ulysses ne sont plus capables de s’opposer aux dieux ils sont eux même déités. Alors l’homme contre l’homme est une équation plus que probable.
deux grandes guerres est une apocalypse pour bientôt , nous la voyons venir a grands galops . en ce début de millénaire. le monde va mal , le monde agonise , le monde se démode au rythme de l'arrogance des hommes qui elle est exponentielle.
sommes-nous aussi aveugles que ca ?
nous avons nous même créer les monstres qui nous mènent inexorablement a notre fin. je ris souvent des prophéties que nous avons créer . mais j'avoue qu'il est des jours ou elles me font peur et que même j'y crois.
je ne connais pas les hommes , et je n'aurai pas la prétention de parler de l'humain. j'avoue aussi qu'il ne m'intéresse aucunement . l'homme est une insulte a la vie et a ce qu'elle recèle de potentiellement beau. il est un mensonge au cœur de la vérité . il m'arrive des fois de tenter une introspection pour essayer de comprendre l'incompréhensible. une masturbation cerebrale qui me donne plus de maux de tête que de réponses . l'histoire est une catin qui évite le plein jour. j'ai tenter de comprendre la création et la vérité de l'être.
Mais en vérité l’histoire de la création est plus simple que ce que prétendent tous les livres. Et elle commence par l’ennui. Oui ! L’ennui. Seul dans son immensurable solitude et rongé par l’éternelle éternité, dieu créa le monde pour meubler son spleen et occuper son omnipotence.
Les anges étaient trop soumis, inoffensifs et les démons de nature, étaient chthoniens et enclins au mal. Le placard du grand architecte regorgeait de vieilleries, de créations obsolètes et de jouets qui n’amusaient plus sa divine divinité.
L’illuminé ; inspiré et solitaire. souffla dans les éléments de l’univers une nouvelle vie. Il modela de ses propres mains cette forme qui devint nous « humains ». La trouvaille qui amorça notre singularité fut un nouveau concept en phase expérimental « le libre arbitre » parait-il nous n’étions ni bon ni mauvais, certes nous pouvions jouer au diables autant que jouer aux anges mais nous restions trop différents du reste des créatures. Nos âmes instables et nos esprits déconcertants flirtaient avec les extrêmes. Le pacifisme autant que la violence gratuite, germaient dans nos cœurs insatiables. Haine et amour; lâcheté et héroïsme. Petitesse et grandeur ; bêtise et génie !!!
Nous fûmes le patchwork d’une muse gâteuse et schizophrène.
Sur terre en ces temps la. des créatures dotées de crocs plus que d’esprit peuplaient les espaces originaux. des colosses griffus, ailés, aquatiques régnaient en maitres absolus
L’humanité foutue dehors pour un acte gravé depuis l’origine des temps dans les anales du livre de la destiné se retrouva embourbée dans ce monde en ébullition. Fourvoyée dans cet espace menaçant qu’est la source du début incertain.
Des siècles d’évolution, ou plutôt des millénaires passèrent jusqu’au jour ou l’homme se prit pour dieu !!!!
Quelle erreur, aucune des créatures ne s’est substitué auparavant au créateur mais l’homme si.
Il se mit à créer, il n’arrêta pas d’inventer toutes sortes d’objets et de machines. Qui le confortèrent dans sa puissance et le bouffirent d’arrogance. L’humain est devenu l’homme et l’homme individu.
Six milliard de divine individualité dans un espace confiné et c’est l’apocalypse ; la fin des fins ; le bout du rouleau. Les Héraclès et les Ulysses ne sont plus capables de s’opposer aux dieux ils sont eux même déités. Alors l’homme contre l’homme est une équation plus que probable.
deux grandes guerres est une apocalypse pour bientôt , nous la voyons venir a grands galops . en ce début de millénaire. le monde va mal , le monde agonise , le monde se démode au rythme de l'arrogance des hommes qui elle est exponentielle.
sommes-nous aussi aveugles que ca ?
nous avons nous même créer les monstres qui nous mènent inexorablement a notre fin. je ris souvent des prophéties que nous avons créer . mais j'avoue qu'il est des jours ou elles me font peur et que même j'y crois.
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