La radicalisation de certains secteurs islamistes de Libye cause actuellement de sérieux et d’importants problèmes aux communautés chrétiennes vivant dans ce pays.
Depuis quelques mois, l’intolérance a augmenté. Il y a eu des menaces et des attaques d’églises et de fidèles, jusqu’à détruire quelques lieux de culte.
Ces dernières semaines, certaines congrégations, en particulier celles résidant dans l’est de la Libye, ont fait l’objet de telles menaces et de maltraitances qu’elles ont décidé d’abandonner le pays.
En Cyrénaïque à l’est du pays les menaces et les violences sont les plus importantes et c’est pour cela que les quatre congrégations catholiques, qui étaient encore présentes dans cette région, parmi les huit présentes avant la révolution, et qui avaient résisté à abandonner le pays, ont pris la décision de se retirer.
L’évêque de Benghazi a été agressé à plusieurs reprises, son véhicule a fait l’objet d’attaques et les religieuses vivant dans les différentes localités (Derna, fief de l’islamisme radical, Barce et Benghazi) ont été menacées.
De même, il est courant que la population de cette région les insulte et leur dise littéralement “nous ne voulons aucun chrétien en Cyrénaïque”.
À Tripoli et sa région, la communauté chrétienne n’est pas exempte de menaces et de quelques attaques, bien que de moindre intensité que celle de la Cyrénaïque.
La sécurité de l’unique église catholique de la capitale a été renforcée, car de jeunes Tripolitains insultent et jettent des pierres aux personnes assistant aux messes qui sont célébrées les vendredi et dimanche.
De même, des attaques se sont produites, sans atteintes personnelles, contre l’église grecque à Tripoli et contre l’église copte à Misrata. L’évêque de Tripoli, Mgr Martinelli, a indiqué cette semaine que les communautés catholiques de Cyrénaïque ont abandonné le pays sous la pression des fondamentalistes et a déploré que les communautés qui étaient présentes depuis plus de cent ans en Libye ont dû l’abandonner car leur vie est en danger.
Liberté
Depuis quelques mois, l’intolérance a augmenté. Il y a eu des menaces et des attaques d’églises et de fidèles, jusqu’à détruire quelques lieux de culte.
Ces dernières semaines, certaines congrégations, en particulier celles résidant dans l’est de la Libye, ont fait l’objet de telles menaces et de maltraitances qu’elles ont décidé d’abandonner le pays.
En Cyrénaïque à l’est du pays les menaces et les violences sont les plus importantes et c’est pour cela que les quatre congrégations catholiques, qui étaient encore présentes dans cette région, parmi les huit présentes avant la révolution, et qui avaient résisté à abandonner le pays, ont pris la décision de se retirer.
L’évêque de Benghazi a été agressé à plusieurs reprises, son véhicule a fait l’objet d’attaques et les religieuses vivant dans les différentes localités (Derna, fief de l’islamisme radical, Barce et Benghazi) ont été menacées.
De même, il est courant que la population de cette région les insulte et leur dise littéralement “nous ne voulons aucun chrétien en Cyrénaïque”.
À Tripoli et sa région, la communauté chrétienne n’est pas exempte de menaces et de quelques attaques, bien que de moindre intensité que celle de la Cyrénaïque.
La sécurité de l’unique église catholique de la capitale a été renforcée, car de jeunes Tripolitains insultent et jettent des pierres aux personnes assistant aux messes qui sont célébrées les vendredi et dimanche.
De même, des attaques se sont produites, sans atteintes personnelles, contre l’église grecque à Tripoli et contre l’église copte à Misrata. L’évêque de Tripoli, Mgr Martinelli, a indiqué cette semaine que les communautés catholiques de Cyrénaïque ont abandonné le pays sous la pression des fondamentalistes et a déploré que les communautés qui étaient présentes depuis plus de cent ans en Libye ont dû l’abandonner car leur vie est en danger.
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