Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Existe-t-il un marché noir d'armes nucléaires aux frontières algériennes?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Existe-t-il un marché noir d'armes nucléaires aux frontières algériennes?

    Existe-t-il un marché noir d'armes nucléaires aux frontières algériennes? D'où proviennent ces armes? Sont-elles entre les mains de terroristes, de contrebandiers?

    Rien que l'énoncé du sujet fait peur: la contrebande nucléaire! Tant qu'à nous frontières il s'agissait de cartouches... de kalachnikovs et de cigarettes, la situation était plus ou moins gérable. Mais que des ogives nucléaires puissent circuler dans ces vastes territoires, cela donne des sueurs froides. Plus encore quand les Américains s'y mettent.


    Réunis les 10 et 11 février derniers, des responsables algériens et américains, se sont penchés sur les moyens de lutter «contre la contrebande nucléaire et la sécurité des frontières». Selon un communiqué de presse envoyé par les services de l'ambassade des Etats-Unis à Alger, «ces discussions interviennent après un premier round de consultations bilatérales initié en janvier 2012 afin d'explorer les moyens et méthodes de faire progresser les capacités de prévention, détection et réponse aux incidents de contrebande de matériaux nucléaires et radiologiques, conformément au plan de travail adopté par les participants au sommet de la sécurité nucléaire de 2010, organisé à Washington, DC».

    C'est la directrice générale des affaires politiques et de la sécurité internationale au ministère des Affaires étrangères, Taous Feroukhi, qui a assisté à cette réunion de deux jours où la partie américaine a été représentée par le sous-secrétaire d'Etat adjoint chargé des Programmes de non-prolifération, Simon Limage. Ils ont convenu d'accentuer la coopération de manière plus étroite, «afin d'empêcher les terroristes et autres criminels d'acquérir des matériaux nucléaires au marché noir». Mme Feroukhi a souligné «l'importance de la coopération régionale et internationale dans la lutte contre le crime transnational organisé qui représente une menace pour la sécurité des Etats de la région».

    Le communiqué de l'ambassade des Etats-Unis souligne que «des représentants de plusieurs ministères du gouvernement algérien ainsi que des représentants d'agences gouvernementales américaines ont assisté aux réunions», sans préciser quel ministère ni le nom des agences américaines. Cependant, le document note que durant «la réunion les deux parties ont échangé des points de vues et partagé des informations sur les menaces et tendances actuelles de la contrebande». De même qu'ils ont discuté des meilleures pratiques dans le domaine de la sécurité des frontières.
    Et à ce niveau, c'est tout un programme qui a été décliné, à savoir la détection nucléaire, de la médecine légale nucléaire, de l'application de la loi et d'autres outils afin de prévenir, détecter, et répondre aux incidents de la contrebande nucléaire. «Les responsables américains ont présenté un aperçu des meilleures pratiques en termes de sécurité des frontières et de contrôle stratégique du commerce à travers le programme du contrôle des exportations et de la sécurité des frontières du département d'Etat», affirme le communiqué non sans souligner que «ces discussions ont ouvert la voie d'une future coopération entre les Etats-Unis et l'Algérie afin de renforcer les capacités nationales, internationales et régionales pour faire face au trafic illicite de matériaux nucléaires et radioactifs».
    Question: existe-t-il un marché noir d'armes nucléaires aux frontières algériennes? Y a-t-il des indices qui le prouvent? D'ou proviennent-elles? Sont-elles entre les mains de terroristes, de contrebandiers? En tous cas, le sujet appelle d'innombrables questions jusqu'à celle de s'interroger s'il ne s'agit que d'une mesure préventive qui donnera des arguments indémontables pour une installation à très long terme de l'armée américaine dans la région. Mais suite à l'assassinat de l'ambassadeur des Etats-Unis à Benghazi, à l'attaque du site gazier à In Amenas et à l'assassinat par les islamistes du chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, le Pentagone a-t-il besoin de plus d'arguments?

    L' Expression

  • #2
    Apparemment, le "caca" dans lequel nous a mis Sarko et ses amis, n'est pas encore fini.

    On en ai qu'au tout début !

    Commentaire


    • #3
      Pendant le pillage des arsenaux de KHADAFI la télé avait montré des entrepôts découverts dans le sud du pays, encore pleins des matériaux qui servaient dans les labos de la recherche nucléaire abandonnée par le Guide lors de négociations avec les Américains. Qui a récupéré ces matériaux ainsi que les armes chimiques ? Certainement pas des islamistes ignares. Ne manipulent ces ADM que des spécialistes. Les occidentaux ont récupéré ce qu’ils ont trouvé en occupant le pays. KHADAFI, comme SADDAM par le passé a du prendre ses précautions. Il a remis à des amis voisins son embryon d’ADM, avant d’essayer de se mettre à l’abri.

      aux frontières le seul trafic qui perdure est le classique qui ruine l'économie algérienne , avec la fuite des produits subventionnés, la drogue et les cigarettes fond de commerce des jihadistes, et l'armement léger russe.

      Commentaire


      • #4
        aux frontières le seul trafic qui perdure est le classique qui ruine l'économie algérienne , avec la fuite des produits subventionnés, la drogue et les cigarettes fond de commerce des jihadistes, et l'armement léger russe.
        Ce ne sont pas des islamistes intégristes mais de la mafia financière en usant la religion et la barbe. quelle époque merdummm !!!

        Commentaire

        Chargement...
        X