Née au Mexique en 1836 atteinte de l'hypertrichose dès sa naissance (des poils partout sur le corps), et ensuite d'une hyperplasie gingivale (rend la gencive et les lèvres épaisses) à l'adolescence, la femme mexicaine Julia Pastrana était à son époque surnommée "la femme la plus laide du monde". Certains médecins de l'époque qui ne connaissaient pas encore les maladies dont souffraient la fille, affirmaient faussement qu'elle a été conçue suite à une relation sexuelle entre un homme et un ourang-outan. Elle était ainsi aussi surnommée "la femme-singe".
Découverte et achetée auprès de sa mère par Theodore Lent, la pauvre Julia Pastrana a été exhibée comme un animal au public en Europe et en Amérique du Nord. Theodore Lent lui avait aussi appris à parle et à écrire 3 langues, mais aussi à danser et à chanter.
Décédée en 1860 à Moscou après un accouchement, Julia Pastrana a été plus tard conservée dans un institut de recherches à Oslo. Récemment, la Norvège a accepté de transférer le cadavre de la femme au Mexique où elle y sera dignement enterrée.
Découverte et achetée auprès de sa mère par Theodore Lent, la pauvre Julia Pastrana a été exhibée comme un animal au public en Europe et en Amérique du Nord. Theodore Lent lui avait aussi appris à parle et à écrire 3 langues, mais aussi à danser et à chanter.
Décédée en 1860 à Moscou après un accouchement, Julia Pastrana a été plus tard conservée dans un institut de recherches à Oslo. Récemment, la Norvège a accepté de transférer le cadavre de la femme au Mexique où elle y sera dignement enterrée.
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