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Dans le cadre du programme européen Tempu, pour le développement de l’employabilité dans les filières de l’ingénierie dans les pays du Maghreb, l’université de Béjaïa a abrité, avant-hier, une journée d’information sur le lancement d’une licence professionnelle dans le domaine du Génie civil.
Outre des universitaires et des étudiants, cette journée d’information a réuni l’association des promoteurs immobiliers de Béjaïa, des architectes et des représentants de la DLEP et du CTC. C’est la filière du Génie civil qui a été choisie pour le lancement de cette expérience, une première du genre depuis l’introduction du nouveau système d’enseignement, en l’occurrence le LMD (Licence, Master, Doctorat), de par le besoin d’une main d’œuvre ultra-spécialisée exprimée par le secteur de la construction bâtiment. Un secteur, faut-il le dire, qui demeure le plus important dans la wilaya de Béjaïa.
Dans leurs interventions, les constructeurs-bâtiment ont été tous unanimes à dire que la main d’œuvre que leur fournit l’université est en « inadéquation » avec les exigences du secteur, d’où la nécessité de créer une licence professionnelle destinée exclusivement pour le Génie civil. Selon M. Bezzi, vice recteur chargé des relations extérieures, « cette formation professionnelle sera lancée incessamment. Elle concernera, dans un premier temps, un nombre réduit d’étudiants, une vingtaine, à partir desquels sera vérifié le niveau d’efficacité de cette licence ». À noter que ces étudiants seront recrutés juste après l’obtention de leurs diplômes, informe également le responsable. Il s’agit, donc, de répondre aux exigences pratiques des entrepreneurs immobiliers, surtout, en ce qui concerne quelques domaines bien précis, tel que la charpente métallique ou l’isolation thermique. Cette spécialisation sera consolidée, selon M. Bezzi, par l’introduction au sein d’un programme technique (Génie civil), de filières dans les sciences humaines comme les langues étrangères, les sciences de la communication et de la gestion, dans le but d’affiner la formation.
La communication entre l’université et les entreprises est l’autre problème soulevé de part et d’autre. Pour pallier à cela, un bureau de liaison a été créé entre les deux parties, depuis quelques temps, pour garantir une meilleure communication.
M.H. Khodja la dépêche de kabylie
Outre des universitaires et des étudiants, cette journée d’information a réuni l’association des promoteurs immobiliers de Béjaïa, des architectes et des représentants de la DLEP et du CTC. C’est la filière du Génie civil qui a été choisie pour le lancement de cette expérience, une première du genre depuis l’introduction du nouveau système d’enseignement, en l’occurrence le LMD (Licence, Master, Doctorat), de par le besoin d’une main d’œuvre ultra-spécialisée exprimée par le secteur de la construction bâtiment. Un secteur, faut-il le dire, qui demeure le plus important dans la wilaya de Béjaïa.
Dans leurs interventions, les constructeurs-bâtiment ont été tous unanimes à dire que la main d’œuvre que leur fournit l’université est en « inadéquation » avec les exigences du secteur, d’où la nécessité de créer une licence professionnelle destinée exclusivement pour le Génie civil. Selon M. Bezzi, vice recteur chargé des relations extérieures, « cette formation professionnelle sera lancée incessamment. Elle concernera, dans un premier temps, un nombre réduit d’étudiants, une vingtaine, à partir desquels sera vérifié le niveau d’efficacité de cette licence ». À noter que ces étudiants seront recrutés juste après l’obtention de leurs diplômes, informe également le responsable. Il s’agit, donc, de répondre aux exigences pratiques des entrepreneurs immobiliers, surtout, en ce qui concerne quelques domaines bien précis, tel que la charpente métallique ou l’isolation thermique. Cette spécialisation sera consolidée, selon M. Bezzi, par l’introduction au sein d’un programme technique (Génie civil), de filières dans les sciences humaines comme les langues étrangères, les sciences de la communication et de la gestion, dans le but d’affiner la formation.
La communication entre l’université et les entreprises est l’autre problème soulevé de part et d’autre. Pour pallier à cela, un bureau de liaison a été créé entre les deux parties, depuis quelques temps, pour garantir une meilleure communication.
M.H. Khodja la dépêche de kabylie