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Que les procès soit justes , equitables mais qu'elle n'hesite pas , y a pas mal d'apprentis sorciers de tous poils qui aimeraient bien que des troubles de divers ordres eclatent en Federation de Russie
Sources ci dessous
Poutine vient de feliciter le FSB
2012 pres de 200 agents service secrets etrangers demasqués dont 12 en flagrant delit
"L'année dernière, grâce aux opérations de nos unités de contre-espionnage, 34 officiers de métier et 181 agents de services secrets étrangers ont été démasqués, dont 12 ont été pris en flagrant délit", s'est-il félicité.
"L'espionnage vise nos technologies de pointe, les plans de développement de nos forces armées et de notre industrie militaire, tout comme des informations cruciales d'ordre politique et économique", a poursuivi le président russe devant l'assemblée de gradés du FSB. Une autre priorité est la lutte contre le terrorisme, a encore déclaré le dirigeant.
"Il faut empêcher l'enrôlement des gens, de la jeunesse, dans les groupes terroristes et la clandestinité", a-t-il ensuite souligné. Il a par ailleurs mis en avant la nécessité d'empêcher "toute ingérence directe ou indirecte dans (nos) affaires intérieures", réaffirmant la nécessité de surveiller les activités d'ONG financées par l'étranger.
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Monde
(APS) jeudi 14 février 2013 15 : 49
Russie : plus de 200 espions démasqués, Poutine salue le FSB
MOSCOU- Le président russe, Vladimir Poutine, a salué jeudi le FSB (service fédéral de sécurité) qui a démasqué en 2012 plus de 200 agents étrangers.
"L’année dernière, grâce aux opérations de nos unités de contre-espionnage, 34 officiers de métier et 181 agents de services secrets étrangers ont été démasqués, dont 12 ont été pris en flagrant délit", a expliqué M. Poutine lors d’une réunion avec l’assemblée de gradés du FSB (ex-KGB).
"L’espionnage vise nos technologies de pointe, les plans de développement de nos forces armées et de notre industrie militaire, tout comme des informations cruciales d’ordre politique et économique", a-t-il averti.
Ancien agent du KGB soviétique et directeur du FSB avant d’accéder au pouvoir politique en 1999, M. Poutine, a salué le travail "honnête" de ses anciens collègues en 2012, selon le site du Kremlin (présidence).
Le président russe a en outre mis en garde contre "les tentatives de freiner le processus d’intégration" sur le territoire de l’ex-URSS. "Il faut empêcher l’enrôlement des gens, de la jeunesse, dans les groupes terroristes et la clandestinité", a-t-il souligné.
La Russie, qui partage une union douanière avec le Bélarus et le Kazakhstan, ambitionne d’en faire l’embryon d’une nouvelle Union économique eurasiatique sur le territoire de l’ex-URSS.
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L'opposant russe Sergueï Oudaltsov assigné à résidence
Par RFI
Un tribunal russe a assigné à résidence le leader du mouvement d’opposition Front de gauche Sergueï Oudaltsov, accusé d’avoir fomenté un coup d’État et d’avoir cherché à organiser des troubles massifs.
Avec notre correspondante à Moscou, Veronika Dorman
L’étau se resserre autour de Sergueï Oudaltsov. Jusqu’au 6 avril, l’opposant n’a plus le droit de quitter son domicile. Il ne peut rester en contact qu’avec les membres de sa famille et ses avocats.
Interdiction pour lui d’utiliser le téléphone ou internet pour communiquer avec l’extérieur. Les enquêteurs ont requis ces mesures, disent-ils, parce que l’opposant ne respecte pas ses obligations, alors qu’il est sous contrôle judiciaire.
L’affaire Oudaltsov a été ouverte en octobre dernier, après la diffusion d’un film documentaire douteux sur une chaine réputée pour ses sujets de propagande pro-Kremlin. Selon des images tournées en caméra cachée, Oudaltsov et deux complices auraient été en train de préparer un coup d’État.
Les trois protagonistes de cette séquence sont également accusés d’avoir organisé le clash entre la police et les manifestants le 6 mai dernier, à la veille de l’investiture de Vladimir Poutine.
L’assignation à résidence de Sergueï Oudaltsov n’est pas un cas isolé. Depuis plusieurs mois, le pouvoir multiplie les mesures répressives contre l’opposition et ses leaders.
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Russie: coup de filet à Saint-Péterbourg dans une enquête liée au terrorisme
REUTERS/Stringer/Russia
Par RFI
Près de 300 musulmans, dont des ressortissants étrangers, ont été interpellés, vendredi 8 février à Saint-Pétersbourg, dans le cadre d'une enquête pour « appels aux actes terroristes » ou « incitation à la haine », a annoncé hier, samedi, la branche locale du comité d'enquête.
De notre correspondant à Moscou, Véronika Dorman
Le raid a eu lieu vendredi 8 février dans le centre de Saint-Pétersbourg. La police et les services spéciaux ont ratissé un grand marché et perquisitionné les lieux de prière. Selon un communiqué du comité d’enquête, 271 personnes ont été interpellées. Il s’agit de citoyens d’Azerbaïdjan, des républiques centrasiatiques de l’Ouzbékistan et du Tadjikistan, ainsi que de ressortissants du Caucase du nord.
Tous ces migrants musulmans arrêtés par la police sont soupçonnés par le comité d’enquête d’être liés à une affaire d’« appel aux actes terroristes » et d’« incitation à la haine ». De la littérature extrémiste aurait été saisie pendant l’opération.
Selon le FSB, les services secrets russes, 20 personnes qui sont impliquées dans des affaires criminelles, ont été acheminées au comité d’enquête. 250 autres, résidant illégalement en Russie, ont été envoyées au Centre pour la prévention de l’extrémisme du ministère de l’Intérieur.
De son côté, un portail d’information de Saint-Pétersbourg, Fontanka.ru, conteste les informations officielles et affirme qu’il y aurait près de 700 personnes interpellées.
Sources ci dessous
Poutine vient de feliciter le FSB
2012 pres de 200 agents service secrets etrangers demasqués dont 12 en flagrant delit
"L'année dernière, grâce aux opérations de nos unités de contre-espionnage, 34 officiers de métier et 181 agents de services secrets étrangers ont été démasqués, dont 12 ont été pris en flagrant délit", s'est-il félicité.
"L'espionnage vise nos technologies de pointe, les plans de développement de nos forces armées et de notre industrie militaire, tout comme des informations cruciales d'ordre politique et économique", a poursuivi le président russe devant l'assemblée de gradés du FSB. Une autre priorité est la lutte contre le terrorisme, a encore déclaré le dirigeant.
"Il faut empêcher l'enrôlement des gens, de la jeunesse, dans les groupes terroristes et la clandestinité", a-t-il ensuite souligné. Il a par ailleurs mis en avant la nécessité d'empêcher "toute ingérence directe ou indirecte dans (nos) affaires intérieures", réaffirmant la nécessité de surveiller les activités d'ONG financées par l'étranger.
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Monde
(APS) jeudi 14 février 2013 15 : 49
Russie : plus de 200 espions démasqués, Poutine salue le FSB
MOSCOU- Le président russe, Vladimir Poutine, a salué jeudi le FSB (service fédéral de sécurité) qui a démasqué en 2012 plus de 200 agents étrangers.
"L’année dernière, grâce aux opérations de nos unités de contre-espionnage, 34 officiers de métier et 181 agents de services secrets étrangers ont été démasqués, dont 12 ont été pris en flagrant délit", a expliqué M. Poutine lors d’une réunion avec l’assemblée de gradés du FSB (ex-KGB).
"L’espionnage vise nos technologies de pointe, les plans de développement de nos forces armées et de notre industrie militaire, tout comme des informations cruciales d’ordre politique et économique", a-t-il averti.
Ancien agent du KGB soviétique et directeur du FSB avant d’accéder au pouvoir politique en 1999, M. Poutine, a salué le travail "honnête" de ses anciens collègues en 2012, selon le site du Kremlin (présidence).
Le président russe a en outre mis en garde contre "les tentatives de freiner le processus d’intégration" sur le territoire de l’ex-URSS. "Il faut empêcher l’enrôlement des gens, de la jeunesse, dans les groupes terroristes et la clandestinité", a-t-il souligné.
La Russie, qui partage une union douanière avec le Bélarus et le Kazakhstan, ambitionne d’en faire l’embryon d’une nouvelle Union économique eurasiatique sur le territoire de l’ex-URSS.
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L'opposant russe Sergueï Oudaltsov assigné à résidence
Par RFI
Un tribunal russe a assigné à résidence le leader du mouvement d’opposition Front de gauche Sergueï Oudaltsov, accusé d’avoir fomenté un coup d’État et d’avoir cherché à organiser des troubles massifs.
Avec notre correspondante à Moscou, Veronika Dorman
L’étau se resserre autour de Sergueï Oudaltsov. Jusqu’au 6 avril, l’opposant n’a plus le droit de quitter son domicile. Il ne peut rester en contact qu’avec les membres de sa famille et ses avocats.
Interdiction pour lui d’utiliser le téléphone ou internet pour communiquer avec l’extérieur. Les enquêteurs ont requis ces mesures, disent-ils, parce que l’opposant ne respecte pas ses obligations, alors qu’il est sous contrôle judiciaire.
L’affaire Oudaltsov a été ouverte en octobre dernier, après la diffusion d’un film documentaire douteux sur une chaine réputée pour ses sujets de propagande pro-Kremlin. Selon des images tournées en caméra cachée, Oudaltsov et deux complices auraient été en train de préparer un coup d’État.
Les trois protagonistes de cette séquence sont également accusés d’avoir organisé le clash entre la police et les manifestants le 6 mai dernier, à la veille de l’investiture de Vladimir Poutine.
L’assignation à résidence de Sergueï Oudaltsov n’est pas un cas isolé. Depuis plusieurs mois, le pouvoir multiplie les mesures répressives contre l’opposition et ses leaders.
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Russie: coup de filet à Saint-Péterbourg dans une enquête liée au terrorisme
REUTERS/Stringer/Russia
Par RFI
Près de 300 musulmans, dont des ressortissants étrangers, ont été interpellés, vendredi 8 février à Saint-Pétersbourg, dans le cadre d'une enquête pour « appels aux actes terroristes » ou « incitation à la haine », a annoncé hier, samedi, la branche locale du comité d'enquête.
De notre correspondant à Moscou, Véronika Dorman
Le raid a eu lieu vendredi 8 février dans le centre de Saint-Pétersbourg. La police et les services spéciaux ont ratissé un grand marché et perquisitionné les lieux de prière. Selon un communiqué du comité d’enquête, 271 personnes ont été interpellées. Il s’agit de citoyens d’Azerbaïdjan, des républiques centrasiatiques de l’Ouzbékistan et du Tadjikistan, ainsi que de ressortissants du Caucase du nord.
Tous ces migrants musulmans arrêtés par la police sont soupçonnés par le comité d’enquête d’être liés à une affaire d’« appel aux actes terroristes » et d’« incitation à la haine ». De la littérature extrémiste aurait été saisie pendant l’opération.
Selon le FSB, les services secrets russes, 20 personnes qui sont impliquées dans des affaires criminelles, ont été acheminées au comité d’enquête. 250 autres, résidant illégalement en Russie, ont été envoyées au Centre pour la prévention de l’extrémisme du ministère de l’Intérieur.
De son côté, un portail d’information de Saint-Pétersbourg, Fontanka.ru, conteste les informations officielles et affirme qu’il y aurait près de 700 personnes interpellées.
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