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Les pays arabes ont enregistré une croissance économique de 5,2 % en 2005. Un taux qui dépasse aussi bien la croissance mondiale qui a atteint 4,8 % que celle des pays développés et qui a atteint 2,7 % durant la même année, indique un rapport publié par la Société arabe de garantie des investissement et rendu public dimanche par le quotidien Asharq Al-Awsat.
Un autre rapport sur l’investissement et le commerce dans le monde arabe souligne, par ailleurs, que la croissance économique réalisée par les pays arabe en 2005 est inférieure à celle de 2004 où elle était de 5,5 %, mais supérieure à celle 1996 où elle était seulement de 2 %.
Avec 5,3 %, l’Algérie figure parmi les 10 premiers pays arabes qui ont réalisé un taux de croissance supérieur à 5 % durant l’année écoulée, selon le rapport arabe qui précise que le Koweït vient en tête avec 8,5 %. Il est suivi par les Emirats arabes unis et le Soudan qui ont réalisé un taux de croissance de 8 % chacun.
Viennent ensuite la Jordanie avec 7,2 %, l’Arabie saoudite avec 6,54 %, le Bahreïn avec 6,4 %, la Libye avec 5,8 %, le Qatar et la Mauritanie avec 5,5 % chacun et l’Egypte avec 5 %. Les autres pays arabes ont réalisé une croissance inférieure à 5 %.
Mais le taux le plus faible a été enregistré au Liban où il était de moins de 1 %. S’agissant des pays qui ont réalisé un taux de croissance supérieur à celui de 2004, l’Algérie vient en deuxième position juste avant le Bahreïn. Ils sont suivis de Djibouti, de l’Arabie saoudite, du Soudan, de la Syrie, du Koweït, de la Libye, de l’Egypte et du Yémen.
La même source indique, par contre, que neuf autres pays ont enregistré une régression de leur croissance économique en 2005. Il s’agit de la Jordanie, des Emirats arabes unis, de la Tunisie, d’Oman, de la Palestine, de Qatar, du Liban, du Maroc et de la Mauritanie.
Le rapport indique que le taux d’inflation dans le monde arabe a enregistré une légère hausse en 2005 estimée à 4,4 % contre 4,2 % en 2004. Un taux plus élevé que celui enregistré dans les pays développés (2,3 %) mais inférieur à celui des pays en développement (5,4 %).
Le taux d’inflation dans huit pays arabes s’est établi entre 0,1 % et 4,2 %. Il s’agit de la Jordanie, du Bahreïn, d’Oman, de l’Egypte, des Emirats arabes unis, de la Mauritanie, du Koweït, de la Syrie et de la Libye. Dix autres pays arabes ont connu une baisse variant entre 0,1 % et 3,8 % de leur taux d’inflation.
Il s’agit de l’Algérie, de l’Arabie saoudite, du Soudan, du Yémen, du Maroc, de la Palestine, de la Tunisie, du Liban et du Qatar. Par ailleurs, ce taux a dépassé 10 % dans certains pays dont la Mauritanie (12,1 %), le Yémen (11,8 %) et l’Egypte (11,4 %).
Par Le Jeune Indépendant
Un autre rapport sur l’investissement et le commerce dans le monde arabe souligne, par ailleurs, que la croissance économique réalisée par les pays arabe en 2005 est inférieure à celle de 2004 où elle était de 5,5 %, mais supérieure à celle 1996 où elle était seulement de 2 %.
Avec 5,3 %, l’Algérie figure parmi les 10 premiers pays arabes qui ont réalisé un taux de croissance supérieur à 5 % durant l’année écoulée, selon le rapport arabe qui précise que le Koweït vient en tête avec 8,5 %. Il est suivi par les Emirats arabes unis et le Soudan qui ont réalisé un taux de croissance de 8 % chacun.
Viennent ensuite la Jordanie avec 7,2 %, l’Arabie saoudite avec 6,54 %, le Bahreïn avec 6,4 %, la Libye avec 5,8 %, le Qatar et la Mauritanie avec 5,5 % chacun et l’Egypte avec 5 %. Les autres pays arabes ont réalisé une croissance inférieure à 5 %.
Mais le taux le plus faible a été enregistré au Liban où il était de moins de 1 %. S’agissant des pays qui ont réalisé un taux de croissance supérieur à celui de 2004, l’Algérie vient en deuxième position juste avant le Bahreïn. Ils sont suivis de Djibouti, de l’Arabie saoudite, du Soudan, de la Syrie, du Koweït, de la Libye, de l’Egypte et du Yémen.
La même source indique, par contre, que neuf autres pays ont enregistré une régression de leur croissance économique en 2005. Il s’agit de la Jordanie, des Emirats arabes unis, de la Tunisie, d’Oman, de la Palestine, de Qatar, du Liban, du Maroc et de la Mauritanie.
Le rapport indique que le taux d’inflation dans le monde arabe a enregistré une légère hausse en 2005 estimée à 4,4 % contre 4,2 % en 2004. Un taux plus élevé que celui enregistré dans les pays développés (2,3 %) mais inférieur à celui des pays en développement (5,4 %).
Le taux d’inflation dans huit pays arabes s’est établi entre 0,1 % et 4,2 %. Il s’agit de la Jordanie, du Bahreïn, d’Oman, de l’Egypte, des Emirats arabes unis, de la Mauritanie, du Koweït, de la Syrie et de la Libye. Dix autres pays arabes ont connu une baisse variant entre 0,1 % et 3,8 % de leur taux d’inflation.
Il s’agit de l’Algérie, de l’Arabie saoudite, du Soudan, du Yémen, du Maroc, de la Palestine, de la Tunisie, du Liban et du Qatar. Par ailleurs, ce taux a dépassé 10 % dans certains pays dont la Mauritanie (12,1 %), le Yémen (11,8 %) et l’Egypte (11,4 %).
Par Le Jeune Indépendant
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