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Avec cette nouvelle réglementation routière, les automobilistes algériens pourront perdre leur permis par l'intermédiaire de sanctions de type retrait des points en cas d'infractions au code de la route.
Ces nouvelles règles présentées par le ministère des Transports ont pour objectif de limiter l’hécatombe sur les routes. Promis depuis des années par le ministère, le permis à points est entré en vigueur le 1er février.
Le nouveau permis concernera dans une première phase les nouveaux conducteurs qui recevront le document auquel sera affecté un capital de vingt-quatre points. En fonction des infractions commises, ce nombre sera déduit en rapport avec la gravité des infractions au code de la route.
Les nouveaux demandeurs de permis se verront dorénavant délivrer le permis à points, un document de couleur bleue qui devra obligatoirement être présenté à chaque contrôle routier.
Amar Tou, ministre des Transports a expliqué que "le détenteur du permis à points peut récupérer la moitié de son capital de points s'il se soumet, à ses frais, à une formation avec un programme de sensibilisation aux causes et aux conséquences des accidents de la route. A l'issue de cette formation, il lui est délivré une attestation de formation."
Le conducteur aura droit, au plus, à deux formations par an.
Le ministre a affirmé que ce permis à points a une "visée pédagogique".
Officiellement et selon les statistiques du ministère des Transports, les accidents de la route font plus de 3 000 morts par an.
Pour Flora Boubergout, présidente de l’Association nationale de soutien aux personnes handicapées El Baraka, le permis à point obligera les conducteurs à être plus vigilants.
Boubergout a elle-même été victime d'un accident de la route.
"Cette méthode a connu un franc succès dans les autres pays. Il est temps que notre pays l’adopte pour diminuer le crime routier. Les campagnes de sensibilisation doivent commencer dans les établissements scolaires, car les enfants d’aujourd’hui sont les conducteurs de demain," ajoute-t-elle.
Boubergout affirme que 3 375 handicapés sont recensés chaque année suite à des accidents de la route.
Source: Magharebia
Ces nouvelles règles présentées par le ministère des Transports ont pour objectif de limiter l’hécatombe sur les routes. Promis depuis des années par le ministère, le permis à points est entré en vigueur le 1er février.
Le nouveau permis concernera dans une première phase les nouveaux conducteurs qui recevront le document auquel sera affecté un capital de vingt-quatre points. En fonction des infractions commises, ce nombre sera déduit en rapport avec la gravité des infractions au code de la route.
Les nouveaux demandeurs de permis se verront dorénavant délivrer le permis à points, un document de couleur bleue qui devra obligatoirement être présenté à chaque contrôle routier.
Amar Tou, ministre des Transports a expliqué que "le détenteur du permis à points peut récupérer la moitié de son capital de points s'il se soumet, à ses frais, à une formation avec un programme de sensibilisation aux causes et aux conséquences des accidents de la route. A l'issue de cette formation, il lui est délivré une attestation de formation."
Le conducteur aura droit, au plus, à deux formations par an.
Le ministre a affirmé que ce permis à points a une "visée pédagogique".
Officiellement et selon les statistiques du ministère des Transports, les accidents de la route font plus de 3 000 morts par an.
Pour Flora Boubergout, présidente de l’Association nationale de soutien aux personnes handicapées El Baraka, le permis à point obligera les conducteurs à être plus vigilants.
Boubergout a elle-même été victime d'un accident de la route.
"Cette méthode a connu un franc succès dans les autres pays. Il est temps que notre pays l’adopte pour diminuer le crime routier. Les campagnes de sensibilisation doivent commencer dans les établissements scolaires, car les enfants d’aujourd’hui sont les conducteurs de demain," ajoute-t-elle.
Boubergout affirme que 3 375 handicapés sont recensés chaque année suite à des accidents de la route.
Source: Magharebia
en algerie c est pas les lois ou reglements qui manquent.il faut les appliques!
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