Salam, Bonjour,
âme en paix…
Dis moi toujours,
qu’y-a-t-il de plus
qu’y-a-t-il de moins,
que je n’ai pas eu
que je n’ai pas craint,
un lointain début
ou un mauvais train,
un coton tissu
un chemin pentu,
un petit cœur fendu
un matin moulu, couru,
dis moi encore,
qu’y-a-t-il de plus
qu’y-a-t-il de bien,
que je n’ai pas vu
que je n’ai pas moins,
une cause perdue
ou un mauvais teint,
une image obtus
une histoire charnue,
un petit rien cousu
un amour paru, accru,
je t’envoie mes silences c’est à toi que je pense
je t’écris mes absences c’est à nous qu’elles sont denses
je l’appelle mon immense c’est à lui qu’il avance…
dis moi souvent,
qu’y-a-t-il de fort
qu’y-a-t-il de sûr,
que je n’ai pas cœur
que je n’ai pas mur,
un premier décor,
ou un doux murmure,
un second effort
un certain futur,
un petit coin dehors
un dessin nature, armure,
dis moi alors
qu’y-a-t-il de lien
qu’y-a-t-il de ride,
que je n’ai pas plein
que je n’ai pas vide,
un nouvel écrin,
ou un vieux sordide,
un partage certain
un courage avide,
un petit frère humain
un parent candide, solide,
je t’envoie mes silences, qu’y-a-t-il encore
je t’écris mes absences, qu’y-a-t-il ailleurs
je l’appelle mon enfance c’est en elle qu’il arbore
Salam, merci…
âme en paix…
Dis moi toujours,
qu’y-a-t-il de plus
qu’y-a-t-il de moins,
que je n’ai pas eu
que je n’ai pas craint,
un lointain début
ou un mauvais train,
un coton tissu
un chemin pentu,
un petit cœur fendu
un matin moulu, couru,
dis moi encore,
qu’y-a-t-il de plus
qu’y-a-t-il de bien,
que je n’ai pas vu
que je n’ai pas moins,
une cause perdue
ou un mauvais teint,
une image obtus
une histoire charnue,
un petit rien cousu
un amour paru, accru,
je t’envoie mes silences c’est à toi que je pense
je t’écris mes absences c’est à nous qu’elles sont denses
je l’appelle mon immense c’est à lui qu’il avance…
dis moi souvent,
qu’y-a-t-il de fort
qu’y-a-t-il de sûr,
que je n’ai pas cœur
que je n’ai pas mur,
un premier décor,
ou un doux murmure,
un second effort
un certain futur,
un petit coin dehors
un dessin nature, armure,
dis moi alors
qu’y-a-t-il de lien
qu’y-a-t-il de ride,
que je n’ai pas plein
que je n’ai pas vide,
un nouvel écrin,
ou un vieux sordide,
un partage certain
un courage avide,
un petit frère humain
un parent candide, solide,
je t’envoie mes silences, qu’y-a-t-il encore
je t’écris mes absences, qu’y-a-t-il ailleurs
je l’appelle mon enfance c’est en elle qu’il arbore
Salam, merci…
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